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heureuse vye avec tout contantement. A Paris, ce 19 jour
asseurée. Des nouvelles de la frontière d’Espagne,
sur mon affaire où il luy a pleu s’employer
en cour laye. Je suis bien marry de le voir hurter
ce qui y est extrêmemant cher : trois cens escus, deux cent escus les moindres,
Les catholiques ne peuvent bien croire telle nouvelle
ville et canton de Frybourg
que vous l’ayés appellé maleteste, qu’elle en
La Casette
Et longue vye. De Romans, ce XXXe juing
Serviteur
apportant le congé dudit duc, pensant trouver le pays
et heureuse vie, me recommandant très humble-
despeche. Si je neusse esté envoyé vers mondit seigneur et dame de Lorrayne, je masseure
Monsieur, vous donner très heureuse et longue
il y a quelques jours pour continuer leur dessein
XIIe juilhet 1572.
de Suze a esté voyr le mesnage que la
à tout. Le Turcq a envoié à Rome ung ambassadeur pour visiter le filz du Bassa son nepveu
ie suis demeuré bien vefve. Mon lougis est à la faulx
scavez, de m’en donner advis, et cependant, je me recommanderay
mère plus de cin ou six hures en hune fois et feut à Meudon
XVe julliet 72
qu’y font les loups.
et escripvis audit Bonaventure qu’il regardast d’en trouver ung plus
il y a bien près de trois moys qu’il ne bouge de la
tionné serviteur
accompaignés et à leur
Votre bien humble et obéissant frère
magestés que je n’aye heu autres novelles de
myrent aussi la main à l’espée en intention
Pierre de Ponteves
pourteur pour la monstrer
s’acquitta fort bien de sa charge, remonstra à la royne
rechercha de le prendre pour V m[ille] livres, mais je luy résolus
à la presente, après vous avoir beysé très humblemant
en default de cela, au Castel de Mine qui est en la Guinée, ou bien aller
sur moy. Et en ceste mesme volenté, je presenteray
font les retifs daller en Flandres montre que la
vie acomplir d’aussi bon cueur que votre
vous puisse escrire, supplieray le Createur,
La Garde estoy mort et ces estatz donnés à monseigneur
de Chapponay
Comme veues par la publication que vous en
sera pour finir la présente
[v°] de ceste affection, pancés y monsieur pour y donner ordre. Vous savés trop
de la religion prétendue ne se feroit poinct dans Loriol,
très humbles recommandations à sa bonne grace.
Vostre très humble et aubeis
de monsieur et madame la presidente de Fuveau touchant
et obeissant à vous faire service
de notre France qui pourroient ung jour faire service
monseigneur, je vous escripvis, après la prinze
Votre très humble et plus
scai que vous escrire, si ce n’est que nous sommes toutz
tumber ez mains de monsieur l’amiral, mesmes entre autres
dadvantage que jayme trop mieulx estre [barré : corf] cortisan
de Cadenet a eue de la doyené de Tarascon qui vault troys centz écus
frère à iamais
[v°] [barré : en la chambre des] avec le procureur du roy en la chambre des comptes
que sera comme aus aultres lieux :
serviteur
de Cabanes estoit entièrement guéri, dont loue Dieu.
lesquelz se tiennent en peyne parce que
Vostre plus affecttionné et obeissant
en plus grands picques et estriver avec ceux qui vous sont
à Romans pour avoir celluy qui avoit tué
ilz s’addressoint pour ce regard, et qu’ilz n’y seroint pas les biens
1572
convalescence. Ledit Michalon ma dict comment lors
de Granieu
cinq prinses et menées à Venise. Quest tout ce que je vous puys
lettres de messieurs d’Evènes et de Laval du XVe, mescripvant
tierce de quoy jen suis en peyne si est ce que jay sperence
aoust 1572
Ledit maistre d’hostel est monsieur de Lavagnieu. Priant
Vostre très humble et très obeyssant
votre bone grace, je prieray le Createur,
qui y semble estre propre, d’en retirer dextrement declaration d’une
me dire que quon aye escript de Salusses, les deux armées chrestienne et turquesque ne sestoient encores hurtées et quil me prioyt luy escrire sil estoyt
comandarent à monsieur de Causerans de laller prandre
bien à point, cat iay perdu chevaus et
de mesmes que y aprochant, il vous depêchera
votre voiage en Provence que premièrement monsieur le
mariniers, combien que j’aie veu à Constantinoble de
et qu’il est mort. Monsieur de Rousset m’a escrit
comandement, que je ne manquerey, Dieu aydant, de mectre
et mofre respondre diceulx et toutz aultres
verité, la grandement loué et approuvé. Et laissant tous ses
Damvylle, lequel est en chemin. (Jay
serviteur.
dit sieur president de vielle datte, quar le pourteur d’icelluy est demeuré malade
et quelque fois y couche ; et sy suis resolu que, maintenant
prisonnier et luy ayant formé son procès, le procureur
que bien faict, non obstant sa contenance qui le pourroit
serviteur à jamais
La Mote Verdeyer
à gré, car jentens bien que la prière quilz vous en ont faicte cest pour leur
croyra votre conseil, que me semble seroyt fort bon, qu’il s’en
voy recomander bien humblement à votre bonne grace, priant
[v°] compagnie du sieur Centurion, voyant les affaires bien despozés, je vous en heusse faict
ordonnerey ; et ce pendent jay mandé particullierement
De Grenoble, ce XIIe octobre 1572
en font mestier. Ledit Columbin s’est declaré qu’il retournoyt
Dieu mercy, ma femme se trouve à present bien se y fortifiant
compagnie de son aage, ny enquores lit de camp,
Voz humbles et obeissans serviteurs
F de Lacoste
beaucoup plus que alheurs ungne plus inportante pour
Et pource que, la grace à Dieu, il ne se presente aultre chose qui
en bonne foy. Il vous plaira aussi avoir esgard
aux mesmes fins. Monsieur et madamoyselle d’Ourche verront icy, s’il vous plaict, mes semblables recommandations à leurs bonnes graces.
de toute la valée, avec sa fontaine dedans, où seroit requis
vye. De votre mayson d’Orpiarre, ce XXVI octobre.
Dieu vous donner,
[v] dans ce réaume. Mais à l’antrée, il y en ha heu environ
[v] que je vous die qu’il men pria par deus foys de me monstrer de sa
demein en poste. Monsieur Maniquet part aussi dans
sur cest office. La royne pourtant m’a promis, par vostre
il y a de la besoigne et que si j’y veoy, j’en
où ne se parle que d’aller à la chasse et
en donet aulcune cognoisance, ny m’en mesler que je n’en aye
Monseigneur. Mon nepveu Baltezar et ses compagnons se portet bien,
comme nous sommes. Cepandant, n’avons voullu obmetre vous
dans laquelle y havoit une lettre. Ilz ont mené ledit pourteur
Votre très humble et affectionné serviteur
un mot, il m’a asseuré vous en avoir escrit, mais
Monsieur, en parfaicte senté, contente et longue vie. De Chrest, ce sabmedy matin
feut ensepvely, personne qui
H de Montmorency
Je vous ay à fère une requeste de la part du cappitaine Amblard,
où il avoit mené plusieurs grandz vaisseaux bien armés
ce Bas-Gappencès, et par ce moien ne sera trouvé
hobéyssant à jamès
grâce, suppliant le Créateur qu’il vous doinct,
monstré le prendre tout en bonne part. Aussy,
ma vie acomplir d’aussy bon ceulx que la
ce bien que de vous tenir bien tost en ces cartiers
l’ordre que connésiés car vous avés usés
Votre très humble et affectioné
A. de Chapponay
qu’ilz estoint si iniques qu’ilz rapportoint plustost voz déportementz
maintenant repceue.
qui s’en alloit à Gargas, ai ouvert votre
Casaneufve et si je le pouvois faire sans offenser Dieu
une autre fois bien humblement à votre bonne grâce.
[v] Je vous assure que je me treuve bien court, et si ne sommes
mondit seigneur de Sainct Sernin, l’en a prouveu et
troys jours sans garde. Je ne vous puys escripre
et prie le Créateur vous donner
auparavant escript à monsieur de Lenoncourt pour demander
par la poste ilia bien troys sepmaines que à mon avis vous avés heu le pacquet
Votre très humble et très hobéissant
si tost, je vous escriray par le premier d’un discours de monsieur
monsieur de Laval, sans puis d’aultres malles pour serer
es lieux qui sont de l’Estat de Millan où on les a départiz pour les refreschir comme
m’avoyt donné quelque espéranse, mais sur cella
plusieurs autres, et sceu comme le XVIe ce me semble de ce
à votre bonne grâce d’aussi bon cœur que je prie le Créateur
vous avés bien affaire d’assembler les estas de Daulphiné ; et sil en
Je relenceray assez monsieur d’Hourche de la solicitation des
que je presente à Dieu pour voz prosperitez et acompagnés
pourray à mon advis tirer ^ [^ de] quelque ^ [^ partie] assignation car
Montoyson.
quy parler, mays comme il est brave gentilhomme chacun tient qu’il s’en sauva.
de Janvier 1573, de Saint Auban, en la mayson de
païs et font leurs demeurances en aucunes aultres villes
le Xe congé de la royne estant dans le lict, mais esperant
Voutre très humble servyteur
prye vous donner,
de bien bount ceur à votre bonne grace et supplierey
[72 v°] d’aussy bon ceur que je vous supplie me recepvoir à votre bonne grace
ont a mys quelques garnisons par les villaiges,
vous ay dict aulx fins que je soye veu de vous
roy [barré : la porsuitte des communs
é ausy par l[e]ur lestre. É an set andret, je me
descenduz par la muraille avec une corde. Je vous prometz bien
La Magdeleine
vye et longue. De Ventavon, ce XXVe janvier 1573.
serviteur Bellievre
alliené et possedé par les acquereurs.
Monsieur, si tant est que votre dessente sabas ne puissent estre pour le premier dimanche de caresme,
et leurs affères en votre bonne protetion, soffrans de
tant quil y en aura sur la riviere iusques en Aiguesmortes
[140 v°] s’adoulcissent pour laproche de Monsegneur, chose que sanbloit que
Votre à jamais très humble
ce quils aurount dans le [barré : con] ceur [barré : de] de quoi, à toutes
paie et quelques cappes de gens de pied de marque
coment lon ma dit de neuf ans je ne lay point veu. Monsieur
Votre très humble
et fainct de voulloir venyr au combat. Nous sommes toursjours devant ceste ville d’y
et soudein en poursuivant les lettres ne me trouvant
Jay faict mectre quelzques soldartz dans les
faict on estat, en faire aultant à la gendarmerie, dequoy
et prions Dieu quil nous y meintiene et nous fasse la
soixante pièces de batterie, cent enseignes de gens de pied es
monsieur, en perfaicte santé, très bonne et longue vie.
sans entendre vouz commandementz. L’on m’a
bien dire que estant yssy dernièrement, j’advertiz
camp de Sommières, ce IIIe mars 1573
s’appellent la Bruyère qui est du Fontany et ung aultre qui est de Vorèppe qui
à mondit seigneur le prince. Je ne scay si votre lettre luy aura esté
Et en cest endroyt, je me recommande à votre bonne grace d’aussi bon cueur etc.
monsieur de Gordes qu’il vous donne en bonne santé,
Vostre frère et amy
sey sy vous envoyés la compagnie de monsieur Maulgeron
mars 1573
et recoy [barré : xx] tous les jours desirant d’estre de plus fort obligé à lui estre
ce sisiesme mars 1573.
en suppliant le Creatteur vous donner,
qu’ils iroyent prescher encor plus outre, avec certains autres propos de menaces,
Votre plus affectionné ^ [^ et] parfaict et meilleur amy
employés quelques ungs, je vous
fort necessaire de remonter notre artillerie
ou pour aller aillieurs où le service de
Monsieur de Cabanes doibt partir demayn pour s’en retorner en
j’attens tous les jours responce de sa magesté. Quant aux forces que Posol dit venir
plus de part et d’autres par les lettres de messieurs
choses pratiquées si subtillement par l’invention des ennemis, il
maison la quantité de deux centz charges de farine, et avecque toute discretioin et modestie la prier de ma part me vouloir accomoder de quelque partie
De Lyon, ce XIIIe mars au matin 1573.
de votre gouvernement commyssaire pour les conduyre là où il
cause que je couche d’ordinayre au corps de garde vu par la ville
que je porroys ressevoyr. Et atandent ce bien, je
par moy. Et quand aulx catholicqz que font
serviteur
Votre très humble et très hobeissant
sejournera demeyn en cette ville pour faire ces Pasques jespèr
de lestat de votre compagnie pour vous fère veoir celuy des
decès de feu Maxemin Lacrose de Fouziny en Savoye, habitant à Lyon, qui
Monseigneur, pour vous esclarer sur les raisons quil vous a pleu malleguer
heure en repputation davoyr volu contester contre mes superieurs, car
Sire, jey esté constreint fayre levée daucunes compagnies, tant pour
en très bonne part ce que me mandez pour l’archevesque d’Ambrun, la presence de qui
car silz veoyent leur poinct, ilz ne fauldroit point de jouer leur personnage.
qui pourra provenir dudit estat, ou partie dicelle en y nommant personne
Grane [barré : lequel, à ce que voy,] Je vous suplie croyre, monseigneur, [barré : vous desguise bien son faict car] que ses actions sont esté toutalement
que je vous envoys, laquelle je vous prie luy faire tenir, priant Dieu vous
aura telle fraternité et inteligence entre nous que
ses pays pour [barré : naveoir ?] autre soulagement de vosdites majestés comme je nen attendoyt
que celluy qui na nulle cognoissance de la police particullière
que la valeur denvyron soyssante gentishommes [barré : qui] partie
conte de voz mandementz et de mon service. Le sieur Julles Centurion a esté
monstre aux deux compagnyes de gensdarmes qui ont servy près de
que je ne pourray plus tost satisfaire à voz commandemens ; et quant au surplus de leurs
heures [barré : suplie] je suplie très humblement voz magestés de me
vous avoir en sa sainte garde. Escript à Paris le XIIIIe
des hostages comme lon font aux autres villes. Partant vous
ne sen aille du tout ruyné ; et davantage, syre, quant
manière de vivre que pour leur faire administrer ce qui leur sera de besoing,
prandre garde à leur manière de vivre, que pour leur faire administrer ce qui
plaist avoir consideration, car il est
maison a tousiours porté à notre maison, laquelle nous estimons plustost estre augmentés
pays, qui est tout ce que, pour le present, nous vous pouvons faire entendre, après
de son bon droict en icelle, ce quil ne peult
Et bailhé contant.
royaume aussi grand quil ha esté cy devant et par mesmes moyens
Alixan et Monthellier : IIIIm p. III p. v. – f : VI poinsons vin
fidelement avec layde de Dieu, ayant le cueur en trop
je men adresse à vous pource quil vous a faict antandre
quil vous plaise moyener que le
lieux, ledit Coderci , au nom que dessus, a protesté et
oultre la perpetuelle oblygation que jje vous en auray toute ma
Votre humble et mileur obeissant frère et vray amy Montfort
et a, mondit seigneur le marechal, despeché en plusieurs du costé de Thoulouse
la où jeusse eu
Et cappitaines, soldats et
lescarlatin, taffetas et soye que je vous
mesme temps que monseigneur de Nevers veult partir pour
que pour ceulx qui y ont estez, et non pour aultres, comme
arresté en Avignon et le peu
ce que je vous scauroys dire, fors pour saluer voz bones graces de mes
votre plus humble et
paine. Or parmy ces traictez, il passa quelques jours et luy qui est
de Evènes sy tost que je vouldrois cest landroict où je [suplie]
ne la peu trouver advant que partit de Bloys. Iescrivis
et qan vous pourront tesmogner comme le tout est passé et de quelle façon
lesquelles je salue de mes très humbles recommandations,
presantans mes humbles recomandassions. De Grenoble, ce
Serviteur
bien quil vinse jusques
est telle, de sorte quil fauldra quilz vendent
obeyssant serviteur
Monsegneur, vous avoir en sancté et longue
comme est la votre. Laultre poinct est que si
les raisons que jey deduictes cy dessus me serviront sil vous
sepbre 1571.
et très obeissant frère
allées voir ce matin madame de Gordes
Votre plus umble cousin et affectionné
armes et par ainsi tacitement semble estre permises par sa majesté,
durant toutes ses guerres, ayant tousiours eu tant
On dict que ce sont les Suysses et luy done
quil luy declaroyt quil ne scauroyt avoir agreable
il semploye en ce que vous concerne.
moy le notaire et greffier soubzsigné
soubz signés et en presence des tesmoingtz comme il est dit.
des meins de monseigneur le chancellier larrest pour la blanque de Pecaix pour y
rien plus odieux ici que parler de donner et de ce,
So de boczosel
faict comme il est de besoing, car je pance que cela tant sen
Janvier 1574
Ville franche
vous escrire cy après plus specialement ; quant à ce que les huguenotz
Daufiné
le roy fait declaration de nen donner aucune par cy après, sinon suivant ces
[59v°] lassiète est bien forte et les advenues assés maulvaises, appellé le château d’Ornacieu,
[v] pour venir à Senarpont ; toutesfoys, pource quil
Francois de simienne
Chastellart et quelle responce vous avés eu de
a esté escript au vray, encores vouldroys je que no[barré : u]s
de Montoyson, ce premier febvrier 1574.
mais que cecy ce rappourte aulcunement au discours quil vous fit quen playne table au grison le sieur
supporter telle despence que ny a province en tout ce
le dimanche au paradvant. Il avoyt faict tant à laprès
Monseigneur, en soubz signant la presente, jey receue celle quil
D'armaignac.
dressé leurs ordonnances là-dessus ; layant sceue, ils
ont dressé ung peage que Ferrier prend ung teston
davoir souvenance et pitié de ceste pauvre
les antremeler avec les siens, mais leur veult faire faire ung corps
à ceulx qui se disent catholicques et pource que
nouvelles de monsieur de Limoges et si ne ay bien tost,
bonne grace et tousiours à luy parce que je tire lestat que le feu
rompu la trefve. Quant aux gentilhomes
que les vignes des susdites chappelles ne demeurent à pener et cultiver
estés par arrentemens ny par trafficages, ains par armes
feist retiré avecq eulx pensant leur prendre lesdits chateaulx
va en empirant avec une fiebvre continue et faict grand
mettons en bon debvoir dycelles ranverser avec les premiers
[161 v°] Monsieur de Chatellart nha enquores retirer la responsse aux
despeche quil vous faisoit par la poste. Quest tout ce que
son pourvoyr comme bon luy sanblera. Aultrement,
son pourvoyr comme bon luy sanblera. Aultrement,
sa magesté que na tenu que à vous que lesdits Suisses
encor sil y voloit revenir que de ma part, je ne
de filie puys qui vous plet monorer de tant que demeurer et
votre] sinon que de sa bouche, mangant à votre table avec les aultres,
sera mal aisé de les en oster ; et si vous puis asseurer
S. de boczosel
sont arrivés ces jours passés quelques estrangiers en nombre
De votre lieu et maison de Chechilienne,
povre parante et servante et que at du tout fondé son esperanse
moys et quant
à Clays pour leur preparer logis et vivres
Votre serviteur, claude Martin
executé à l’estrapade et à bannissement perpetuel, mais quant à son cheval et
et croy quelles auront plus de presse que les aultres
[235 v°] recepvoyr de ses contributions. Pour la crainte, monsieur,
qui ma aussi chargé de vous presenter
main que les marchans ny perdent. Au reste, ceus qui cognoyssent la situation des lieus où les ennemys
estoint de la religion, a dit que
saincte et si digne garde. De La Terrasse, ce
très longue et très heureuse vie. De Paris, ce XVIIe fevrier
des voyturiers de Lion mappelle en Valentinoys en ce temps. Ce
[276 v°] ou plus tot impossibles par ledit sieur de Chatel je voulay mandé votre
magestés assuré que au plus tost lons respondra à tout
Monseigneur, vous presentant mes humbles recommandations, ie supplie
[296 v°] Par vous premières [barré : my] pourrés sil vous plait escripre au dit Besson
pour ma chambre que pour mes rondes. Je vous suplye
serviteur
logé monsieur le gouverneur est propre pour cela. On dit
la fin de ce moys,
faict commandement de me fournir ce quil estoit necessaire
que avant vous ay amplement script, je prieray vous
à cause dhune antorce, de fasson monsieur que je vouldrès
de juing 1572
je vous envoye la copie d’une lettre que j’ay receu présentement
que je ne voye qu’ung qui me recherche pour le mesme
contre vous et contre madame et estime que c’est
et toutes assez foibles et maigres. Je vous diray bien que noz Anglois ont
de la perte des hommes. Tous conviennent à la
fait gourre, s’estant persuadée que la
Le seigneur Ludovic actend le retour
1572.
M. Bovier
paisible et dict-on, qu’ilz se sont despartis la charge
ment aux votres. De Gargas, ce VIIe julliet 1572.
que jeusse faict expedyé ce dit affaire incontinant. Je masseure que monsieur de Chastelart
vye. De Paris, ce IXe juillet 1572.
ausquelz l’on dit que le Turc s’oppoze par une si
Votre mère
gresle a faict à Montdragon , qu’est la
et pour traicter de sa délivrance. Je vous envoie coppie des parolles qu’il a leues
rue St Germain de l’Auxerrois. Monsieur de La Roche
de très bon cueur à votre bonne grâce et à celles de madame
et que à la cour et à Paris se disent touttes novelles inserteynes
Votre très humble et affectionné
capable et que je n’oserois consentir sana conscientia qu’il fust institué
chambre. Notre Seigneur soyt loué de tout ce qu’il luy plaict
De la coste
requette Notre St Père luy
Bapte de simienne
monsieur le procureur du pays et de vous principallement
de les séparer, ainsi que résulte par la plus
à votre seigneurie, mais dautant
suivant l’instruction dudit sieur Bellièvre que les estatz
en fin que je ne me voulois poinct meller dans ceste
les mains, je prieray le Createur
aulx Essores attendre l’armée d’Espaigne qui revient du Péru, et ayant
mes humbles recommandations à votre bonne grâce
peur et la necessité est tousiours plus forte et
comère et moy nous recommandons très humblement
Monsieur, vous donner en parfaicte santé
le chevallier d’Angolesme. Il y a bien des meslées
Mandés, bien que, monsieur, lauriés peu avoir dalheurs,
Monseingneur que nous prierons Dieu vous maingtenir
mieux comme cella doit aller, ne ayés tant la bonne grace de Laurans
bien que se fut ville close et que ledit exercice y fut
Comme jauray ce bien de vous veoyr, je vous feray
sant servyteur,
Cabanes. Ele nose point advertir de ceste despesche qui
Truchon. Michalon partira bientost pour son retour.
Suze
au roy. L’on dict que le mariage du roy de Navarre
dudit Beaufort, d’ung Guascon quy est chargé des
obeysant à vous fère service
en peine de l’avenir, nous vivons en suspens, Dieu s’il
discours que le sieur de Cavagnes [mots barrés]. Il trovoit mauvais
voulontère, ooultre que si voulois faire estat
De Simiane
à Paris huict ou dix jours après nostre arryvée. Mès nous nen avons encores
beaucop de pailhe et peu grande λ[λ : sellon la pailhe]. Le bled
J de Chapponay
Il nous a dit en oultre la mort de Lioux, ayant
au despartement qui a esté mandé par
à vous faire service
en toutes sortes inférieurs, attendu aussi que le roy doit estre
le filz de monsieur d’Exéa et ne l’a peu
venus ; Monsieur de Morvilliers, que le roy y pourroit pourvoir.
Votre à jamais très humble et
quil arryva audit sieur Bellièvre luy fut dict quil
escrire, après mes très humbles recommandations à votre bonne grace
quilz espèrent partir bien tost et quilz prandront le chemin
en Dieu quil en sera bien tost quitte. Puis que c’est
Votre très humble et plus obeissant frère
Dieu, Monseigneur, vous avoir en saincté très heureuse
Serviteur
Monsieur, vous doner en santé heureuse et longue vie.
bone partie de ceulx à qui en verité nous avons doné toute
vray que monsieur le baron des Adrestz heut esté faict prisonier. Je luy escris hung mot que jestime nen estre rien
et conduire ches luy en surte, ce quil a fait
hardes, ne mestant rien resté que chauses
ung chevaucheur pour vous en prier. Il ny a
mareschal Dampville naie passé et que soiés sur
trois à quatre centz carmocellis, desquelz lesdit Ochielly
une lettre que je vous envoye, par laquelle vous verrez, monsieur,
en exequution de tout mon possible. Au reste, j’ey faict
qui auront acxès avec moy et en oultre
discours, je vous puis asseurer, monsieur, que soyt pour le service
de luy apprendre) ceste meson pleine de malades
B. Olier
par les chemins. J’ay receu des lettres du XIIIe du passé de messieurs de Venes,
que votre chambre est parfaicte, n’en bouger que je n’ay autre nouvelle
du roy et celluy dudit sieur Chastellard l’ayant
tenir à Valence ou à Grenoble, de l’y arrester et les autres aussi,
L Debuffevant
commodité [barré : que] plustost que pour cele desdits soldatz et se peuvent asseurer qu’en
vint avec monseigneur le mareschal Dempville, Je suis bien aise
Dieu vous donner,
humble requeste, comme je feroys aujourd’huy pour faire celle des compagnies corses,
à quelques-ungs de mes amys me mener incontinent
Votre très humble et hobeyssant
trover mon frère, sur quoy je ne scay que penser, car il m’avoyt
du tent à aultre à Sapt et que jespère veoir madame la
charrete ny cheval pour icelle, car à peine a-l’ons
les commis des estatz de Daulphiné
Ma femme ne se peult encores bien remettre, aiant encores quelques foys
ma comoditté et sy trouvés bon d’enprunter la faveur
menasse, je finiray la presente par mes humbles recommandations à votre
au boys de La Garde. Et tochant ad ce qui
seullement une cortine à carré pour enfermer le tout avec quatre
Vostre bien humble, prest à vous
Monsieur, telle santé, prospérité et contentement que pouvés désirer.
quatre cens mis en pièces par les compagnies de
part et mienne à deus personnes pour lesquels je scay pour le debvoir
deux jours à ses journées, qui me promis balhera
recommandation, de parler au roy de me donner et l’office
auray ma part. Vous scavés que pour autres occasions
faire bone chère, et l’avons hue teulle du seigneur
charge de vous. Il me dona jusques là que mon petit nep-
Dieu merci. Ils disnères hier, jour Ste Caterine, tous séans.
faire entendre comme despuis peu de jours que ceulx qui de longue
et lettre à monsieur le vibailli de Buis, lequel m’asseure vous
Montbrun
à toutes adventures, je vous ay bien voulu faire ce
29e de novembre 1572.
a esté votre segrétère.
lequel voldroit que vous luy baillessiés une place d’hommes d’armes de
et chargés de tout ce qu’il faut pour la deffence de
maulvais par nous voisins, ains plustost agréable de
serviteur
Monsieur, en très bonne sancté, longue et heureuse vye. De Lyon,
je le leur dis d’aussy bon ceur comme vouldroys
dame de scéans et moy nous recommandons
là où nous discourrons sur le surplus, Dieu
à ses eyfères ne vous y a mises puls. Je vous mande
serviteur
Monseigneur, depuis ma lettre escripte, j’avons fait faire ung pavilion
en votre charge à une passion qu’au debvoir du service
Je ne say que panser de l’afère
pacquet et n’ay veu ni seu, sinon que vos
et combatre ma conscience, je le fairois plus voluntierz
à demi accomodés pour le voiage de La Rochelle, monsieur
[v] pource qu’il est à craindre que si quelcun la demande
nullez novelles dignez de vous car despuys que suys
monsieur avec les siennes très saintes, très bonne, longue et
[v] ledit guidon ou enseigne pour cellui qu’il trouveroit à propos,
cestoyt quant à la conscience coment toujours ; quant au bien je le fes
nepveu et serviteur
de Suse et dispute que nous avons eue en bonne compagnie,
les ardes de vallet et des chevaulx, de façon, monsiegneur,
on dict. Ilz sont fort près de nous et ne say qu’en estimer de bon. Et me remettant
elle est très malade d’ung caterre sur une joue,
moys, le roy fut blécé au bras par ung Allemand appellé Chelegue
qu’il vous donne
estoyt quelque chose, ce seroit plus tost un project de ce que ceux
affaires du pays, s’il veut prendre ce chemin là, comme je
de mes très hunbles recommendations à votre très puissante
d’argent il n’est pas poussible entrant si nouvea[u] en charge d’en recouvrer
Il y a quelques jours je vous envoye la presente et n’eusse tant mis à donner
votre très humble et plus obeyssant
ou bourgades de ce distroict sans faire sedition qu’on sache,
la voir demain manger en sa [barré : ta] salle et sans grande presse.
La Thivolliere
monseigneur, avecques très longue et heureuse santé, lentier accomplissement de voz
le Createur vous donner,
A laquelle très humblement me recomande. Priant Notre Seigneur vous
gens de piedz que ny servent de rien que de pilher,
monsieur et de tous seigneurs d’honeur raisonnable,
des estatz [raturé : levé] de ce païs et
recommande de byen bon cuer à vostre bonne grasa é
quilz ont fort bien faict de se resouldre de bonne heure, car s’ils
Votre très humble et
Vray est que si lesdits acquereurs ne veulent
je vous supplye doncques quentre cy et ce temps là, vous mescrivyés votre lettre en me commandant par
vous demeurer humbles et affectionnés serviteurs
[138] le plustost quil sera possible. En cest endroict,
beaucoup de gens se prometoint. Dans peu de jours l’ons
et très obeissant frère
occasions ne faudray vous advertir. Il n’y a faulte
pour deux cens [barré : et] ou IIIc escus de ranson.
de [Veins] après avoir esté recherché de venir à Saix pour estre sur
serviteur
entrer tost ou tard avec laide de Dieu, auquel en cest endroict, après m’estre affectueusement
rière moy que celle quescripvés à monsieur et segneur de
Tourretes et ay adverty tous les aultres comme
en somme bien fachez. Jay esté adverty par la voye
grace de demeurer à jamais vous très humbles serviteurs.
quelles ont fait conte quil y aye XVm[ille] hommes. Dedans on fait conte
De votre maison à la Motte, ce premier de mars 1573.
adverty que ceulx de la relligion hont envye de
madame la contesse de La Voulte de ce qu’est ad[v]eneu.
Votre plus affectionné parfaict et asseuré amy
se nomme Jehan Caetton, lesquelz s’en sont allez six jours apprès avoir receu
envoyée seurement. J’ay receu les vostres par la poste
longue vie. Du camp de Sommières ce Vme mars 1573.
Claude Perron
en Languedoc. Il me semble qu’il seroyt nyssessayre
Votre très humble et obeissant
très affectioné et humble serviteur de pareille affection que je prie Dieu
Votre très humble soldat et très
monsieur en perfaicte santé très longue et heureuse
qui fera adiouxter encor devantage de foy audit advis. Toutesfoys je ne feroy
H. de Montmorancy
supplie ne m’oblyer, car vous ne
car tout est en pieces et le voys y est prest
notre bon roy le requierra. Sur ce, priant
Provence. J’ay este mervelheusement joyeus antendre des nouvelles de
de Genève je vous puis asseurer qu’il ne est aucunes nouveles et si ne se scauroyent
d’Evènes et de Laval. Touttesfois plusieurs choses
se fault resouldre à patience car les plus habilles y seroint
des grains qu’on m’a faict entendre elle avoir en grande abondance et
Je suis en peine de monseigneur le mareschal, lequel j’entends avoir
sera ordonné pour le service du roy et ne auront occasion de tenir
[307v°] pour obvyer à leurs malheureuses entreprises comme j’espère à l’ayde de Dieu en faire. Attendant
supplieray Notre Segneur vous donner,
la garde, ilz ne portent aulcunes armes qune
Bellievre
serviteur à jamais
Monsieur de Maugiron escript, à ce qu'on ma dict, la mort
chevaux legers reduict aux archers de votre dicte compagnie
ne conciste que en debtes, lesquelz ne pourroient monter III m[ille] l[ivres]
par la lettre quil vous a pleu mescrire du camp devant La Rochelle le Xe du passé
je scay ce quy leur est deu ; et quant par quelques rapportz, vous
metre dans les viles que pour du tout ne abandonner la campagne. Je nay
me tesmoignez estre très necessaire et utille à mon service et au pays estans fort
ledit sieur d'Ambrun a ranforcé les garnisons des chasteaulx et ville de Brianson
capable et suffisante.
[barré : pour vous y faire entendre ce que est, il na jamais volu rendre]
avoir, monsieur de Gordes, en sa saincte et digne garde. Escript à Fontainebleau,
vous nen aurés jamays nouveles ; et vous puis encores
[116 v°]
suivant plusieurs recharges que ans fins je leur en ay faictes.
et gouvernement de ce pays, vienne par une curieuse recherche
voluntayres autres de la [barré : compa] compagnie dudit seigneur de Nemours
veritablement bien blessé devant La Rochelle, mais il est en ung beau chemin de
vous et subvenir aux autres despenses plus necessaires. J’estime
deportement, je men remectray au contenu en madite lettre que jescrys.
fayre entendre voz intentions. Je reserve à vous fère plus
jour daoust 1573.
regarderez dy pourveoir.
nous y aurions du pyre, tousiours relevera votre magesté
davantage que il soict ordonné aux prevostz des mareschaux des lieux
leur sera de besoing ; davantage, que il soict ordonné aux prevostz des
assés notoyre que la ville de Vienne
que diminués aussy que luy à celluy qui ne soit tout prest à reposer le corps et la vie
noz plus humbles et affectionnées recommandations en voz bonnes graces, priant le Createur,
sans estre au preallable subrogé au lieu, droict et
ez terres de sa Saincteté dont elle soyt tropt desplaysante,
Le Palud : IIIm p. III p. v. – f : XIIIIc pains II p ; v. [sans acquit]
bon lieu pour estre peyne à pouvreté et quant cela ne
ce quil an a ourdonné, qui est la cauze que ce pourteur
commissère viene avec argent pour faire la
proteste contre les personnes et biens desdits sus nommez assemblez
vie, jay daultre part comodité de vous fère ung service remarcable
et du gouvernement de monsieur ladmiral pour y en faire faire publication.
quelque povoyr
Aultres à cheval]
mandis dernierement despuis lon na prins
prandre la route de ses galères, et tiens quil sera bien
je ferey tousjours apparoistre par actes du jour que je y
de desir de donner oultre
très humbles recommandations et [barré : pour] de mon oncle et de mon frère monsieur le
plus obeyssant serviteur la casette
assez prudent et accord commença d’en avoir quelque presumption
voz bonnes graces de mes très humbles recommandasions et prie
à Paris à ceulx qui firent les payementz de quelque
my suis conduict quy sera que je ne vous en feray poinct plus long discours,
priant Dieu vou[s] donner
premier 7tenbre 1571.
b. Olier
icy et me serviroi pour envoyer
[v°] dudit bestal. Je ne puis bouger de
jehan de brunel
vie. Des vignes des Coustes, ce XIe 7bre 1571
vous vous en allée [barré : san] avant la venue de
plaict de legitime escuse. Et atant
Votre très humble serviteur
De Simiennee
à pied. Madite dame de Gordes leur a
Serviteur
[v°] à quoy, soubz correction fauldroit expecialle remission de les porter
daffères sur les bras et pour jouir diceulx presques
on le tort. Je ne vous en scauroye dire
quil luy en feist faire ceste prinse aultrement que estimoyt
Monseigneur, je me recommande très humblement à votre bone grace et supplie le Createur quil vous
Calier
Pierre Gontier, habitant d’Ay sestant presenté par devant
adjouster encor quelque article contre les proprietées, mais je le luy ay faict remectre
personne ne veult pourter parolle, cependant, de ce, jen rafraschis
Madame la comtesse de Grignan
fault quil soit à la folle du pays que ce sera le grand solagement,
Votre très humble et très hobéissant serviteur
se vantoyeny d’avoir des reistres, je cuyde vous pouvoir asseurer que ilz
Bourgel
edits et ordonnances et que on en expediera de nouveau lettres de declaration
auquel personne n’habite. Je vous puis asseurer que sil estoit saisy par lennemy, il
sarrestoit en chemin à visiter quelques gentilhommes
monsieur de Carcès sur les menées de Chemisi, aultrement La Breoulle.
affères de guerre se gouvernassent sans ses bruitz qui
Votre très humble et aubeysant
Repara avoyt [barré : il semble] tenu quelques propos que monsieur de Maugiron venoit commander en ce païs,
royaume que aye supporté la guerre toute une année
disnée qu’à laprès souppés, remectant ses affaires à la
vous a pleu mescrire du XXIe du passé pour faire les monstres
voudroint en pouvoir faire paier toute la gendermerie et
pour mullet et à lequipolent des autres bestes,
ville comme vous a pleu avoyr jusques
de guarde [barré : et] separé du sien scabas au plus bas carcel dudit [chasteau]
tous touchent à une corde et se sont permis
je adviseray de faire passer lautre office de
cappitaine Bellantan, lieutenant de monseigneur son filz, tirat, qui est la
de Champsaur et aultres de leurs
et les terres à semer veu que le temps de ce faire sapproche ; quest
et de toutte ancienneté de race de grands seigneurs.
que lentreprinse estoyt fallie comme a dict ung sien
regret de ce que ne mavés faict responce à ladite lettre
et aultres qui se presenteront. Ce pendant, monseigneur,
quaiers quavions presantés, à cause de labsanse de
je vous puis escripre, après avoir prié le Createur,
non seulement, il vous chicanera, mais fera
non seulement, il vous chicanera, mais fera
ne se soyent employer en Daulphiné, vous
suis pas pour voloir jamais financer pour lestat ;
ansette volonté je prierey Dieu,
attendant quelque occasion pour estre despeché de vous à la court,
quayant executé, Dieu aydant, ce que dessus, ne ferey
de cinquante, tout la pluspart de Freicinière, que se tiennent
ce XIIIe jour de febvrier, lan 1474.
et consolation an vous, et pour recompanse, prier Dieu
à escrire à messieurs
pour sept compagnyes. Incontinant jay escript
Monsieur, je vous bayse bien
prebstre indigne et curé
armes, je n’en ay point veu ne manié. Bien avoit ledit Labarre ung
confitures. Je vous escriproy après qui en aura esté plus
que jey de vous estre enuyeux de ce fait, finerey
le sciennes à votre bonne grace et
sont, savent bien quil ny a moyen de norryr grant troupe de chevaus envyrons diceuls silz (nont)
ouy pource que luy mesmes sen
dix septiesme febvrier mil cinq centz
1574.
pendant, monseigneur, je vous supplye très humblement me fère un peu
mandement pour X m[ille] l. ts en aiant retenu ung double collationé.
et satisfera le mieulx que lons pourra, ayant
le Createur vous donner en sainté heureuse vie. De
si avés deliberés lui croitre ses gages jusques à XXXX sous
très humblement men fère unne declaration et si cest
Monestier.
que le boys et chandelles pour la nuict ne coustent rien à
dont peu sen fault
pour ledit château. Ilz me demandarent terme de trois jours pour
donner,
que le cheval fust mort quand pour amour de luy,
vostre très humble et très obéyssant serviteur
de monsieur de Joyeuse, par laquelle vous verrés à quoy il en
faict voudra dire. Voz escholiers se portent bien.
le conseil des praqticiens qui débauche ung frant
esté honorablemant traictés par deça que monsieur le maréchal de Montmorancy
perte des deniers. Le sieur de Janlis est arrivé avec
bonté est une vertu qui regarde plus
du gentilhomme qu’il a mandé à Milan
Vostre très humble et très obéissant
de façon que le vieil gouverneur a pris a recouvrer
Votre très humble et très obéissant frère
sollicitera ce dit affaire à mon abssence. Je vous supplie très humblement monsieur, faire part de ceste
Votre plus humble et affectioné
grand armée et de mer et de terre, cavalerye et
Pierre de Ponteves
chose la plus horible de quoy l’on ouye
audit nepveu, luy faisant la reverance en le visitant. L’on ne scaye encores ce qu’il en
et nous logeons porte à porte. Nous attendons bien tost
votre compaigne, en priant Dieu de vous donner à tous,
que chacung les dit cellon leurs afection ; et que combien quilz
serviteur
curé comme estant incapable ; et pource que ledit Bonaventure ne me
nous mander, auquel je prye que vous doint sa
J’escrips ung mot à monsieur d’Anières que s’il vous
a confirmé de nouveau
monsieur ; Le sieur de Cugy me dict le XVIIe qu’il
grand part des tesmoingtz que j’ay examiné par
que je scay que icelle scait
de présidantz ne se mettent poinct en taxe ; que le
négotiation pour prétendre à cest office
Monsegneur, vous donner en bonne santté longue et
faict quelcung de ces effaictz, pourter le sieur de Causeins avec douze cens
en priant Dieu,
fait aller à la guerre plus de gens que la gayeté
à votre bonne grace, priant Dieu
heureuse et longue vie. De Saluces, ce 25
grandes, mais cella se dresse fort rombdement.
Vous assurant bien que ne me suis voué pour cest an à
en bonne sancté, bonne, heureuse et longue
et de la sufisance de Charles et Margaut que je n’en aye ma bonne part,
du jour de l’edict de paix. Je trouvis après monsieur
ung plaisant conte du discours passé entre monsieur de
Montoyson.
nous a semblé bon vous fère par le rantier de Boirrières qui
Je prie Dieu,
Si vous avés nouvelles de la monstre ou demarche,
et de Madame est retardé jusques au XVIIIe de
meurtres et assassinatz quy ce sont faictz sabas
Rogier de Bellegarde
luy plaist permectra que le meilleur conseil soit suyvi.
que [mots barrés] la cour de parlement et vous feussiés
de la dite charge, il seroit bien raysonnable qualasse
Je pansois que monsieur d’Hourches fut porteur
peu tirer aulcune chose. Il semble à plusieurs que le service du roy, la
se vant communement à Lieue XII à
leissé sa fame enseinte et bien malade. Je vous
sa magesté, il ne sy treuve le lieu où ilz
Suze
le juge de votre cause ; l’autre chose dont je vous veux prier est
avoir. J’avois faict mettre vostre aultour
La royne s’esmeut grandement quand je luy dis que le sieur
très obeissant frère
trouvoit de decharger ledit sieur Truchon et le
et à celles de madame de Gordes, de mes neveus et nièce, en
de Bourgongne, auquel monsieur d’Evènes me balhe quelque
achapt na point de (leu) je vous porrois bien secorir de mil
François de Simiene
et longue vye. De Valence, ce XXIIIIe d’aoust 1572.
Delusy
De Grenoble, ce XXIXe daoust 1572.
occasion de contentement, ce seroyt à mon advis renverser par
avec beaucop dhonestetés et courtoisies, qui ausy
et porpoint quainsi vestu, Dieu soit loué
rien de nouveau despuis mes dernières. L’ons
le point dy aller lors. Je leur en pourray dire
avoit prins les meilhieurs mariniers. Il partist
[320] que nous sommes en quelque esperance de gaigner quelques
la reverence à monsieur le cardinal Orsin, seigneur bien
vous fere toute ma vie très humble service
du roy ou pour le votre particulier, que vous navez parent, amy, ny
à la quelle il nia (de desant) que ma
Ledit sieur de Bonvert vous informera de la maison en
La Roche, Laval et Chastelart. Je loue Dieu de qu’ils soyent toutz en santé. J’ay faict tenyr
de vous. Je y ay mis quelque lard et ung peu de pouldre, mais
veu et par les causes qui resultoyent d’icelluy, ont
desquelz on peut estre en doubte jusques que l’on vit qu’il adviendra
[barré : une] vivant autrement à leur retour que payant de gré à gré, je y remedie
qu’estes tousjours en oppignion d’envoyer les enfens et de les suuyvre.
Monsieur, en parfaicte sancté, heureuse et longue vie. De Sisteron,
laquelle on dict se debvoir faire dans peu de jours en Dauphiné pour six moys,
ung nombre de bons soldatz et bien cogneus, le tout
Serviteur
faict escrire que la cause de s’en estre rennié estoyt que
Presidente Beliefvre si ele passe par ces quartiers ou en
peu conduire ici celle que pour cest effait luy
Bourgel
esmotions et altecations et moins maulx des coliques du grand. Jespère
de monsieur le mareschal d’Anvile, je m’asseure que pour
bone grace, priant le Createur,
me remonstres que ceulx de Briançon et autres se contentent,
torrelles pour flanquer ; que ce feroit pour dix ou douze
faire service.
Escripte à votre maison d’Eurre, ce premier jour de novembre 1572.
gandarmes qui estoint sur la frountière ou par
et par ce que m’en ont dit madame le contesse de Grinhan de par
cent livres à monsieur Besson, m’aiant dit qu’il ne pouvoit
et la finance. Si les estatz n’estoint chargé de tant
toutesfoys, j’ay piéça redoubté ceste charge,
du lieu qui espère aller trouver le roy au
veu Charles le pourroyt tenir. Par cele [barré : cele] que vous m’escrip-
Je me recommande très humblement à vous bones grâces et prie
main tenoyent le party de la prétendue religion en ceste ville,
envoyera le tout ; qui me gardera vous fère la prézante
discours. Le gentilhomme qui vous devoyt aller trouver
Vostre plus humble et plus obéissent serviteur et comme filz
votre compagnye. Il y a long temps qu’il en havoyt envye, mais je
la ville. C’est, Monsieur, tout ce que je vous puys
contribuer chescung pour sa rate ce que de raison ;
C. de Mabrian
le IIIme décembre 1572.
estre à moy car je désire vostre contantemant
très humblement à votre bonne grâce, priant Dieu
aydant, auquel je prye vous donner
le rôle de se que vous est dû et je peux avoyr XV ho XVI
M. Bouvier
de damas vert à monsieur de Laval et le lict couplé nous
du roy ; quelque jour je vous en feray, Dieu aydant, le discours
que savés et ne say quyele réponse
envoié à monsieur de St Sernin. Quoi qu’il l’en [contient]
et de meilheur cueur que chose que j’aye jamais fait,
de Roysse me doibt à la fin de ce mois XVc lt ;
à mondit seigneur ou en pensant tirer quelque proffict pour
esté arrivé, avons heu et les neiges et les grandz ventz,
heureuse vye. De Lurmarin, ce XVIIe de décembre 1572.
qui m’avoyt mandé par vous le demander pour le filz de feu
fort raisonable. Je suys esbai que partout votre première vous mescripviez que
Baumettes
vous en estiés le subject, où monseigneur le maréchal se
que s’il nous falloyt encores achepté ung puissant cheval,
à ce que le temps nous en apprandra, je feray fin par mes bien affectionnées recommandations
comme entendrés par ce pourteur et la blessure du roy
comme tous deulx couroint et frapoint sur ung sanglier. Le roy
monsieur, en parfaicte sancté, longue et très heureuse vie. De Lyon
qui sont hors leurs maisons désyreroyent. Sont ainsi que les banques
m’asseure qu’il fera. Monsieur de Guyse luy debvoit escrire
seigneurie. De Brianson comme dessus.
[9 r°] au premier jour. ^ [^ Je] remonstreray au roy ce qu’il vous est deu de
de noz nouvelles mays monsieur de Vure ne peult partyr si toust comme il
serviteur à jamays
ainsi que je vous racontay dernierement près Bourgoind ; Aussi
Vous madvertirés si i’attendray la procuration de monsieur votre
desirs et augmentation de votre grandeur. De Valence, ce XIII janvyer 1573.
monsieur, en parfeytte samté, loungue et eyreuze
donner,
[76 v°] manger et ruyner les paouvres villaiges dont ceulx quíl
vous offrant humble service, en saluant vos bonnes
aussi] avoyt accordé que les
prye Dyeu que vous done la syene aconpaneyné [sic]
eussent attendu daventaige, ilz eussent esté bien chastiez et comme
hobeyssant serviteur
achepter la plusvallue des terres par
icelle de vous aller trouver à Valence pour ce dit dimanche, bien que votre dessain ne soit tel. Cest pour
ce que, monsieur, je fay daultant plus voluntiers
je me vays très affectueusement recommander à votre
verra ce quils voudroint et scauroient faire car lons les
De Simienne
de vivres en ce camp pour les personnes ; pour les chevaux nont[ ?] tant
[148 v°] Quelques fois nous entrons en opinion quil viendrount à
la mort de sesdits frères apelés Fabres du lieu de Signe qui furent
S. de Boczosel
recommandé à votre bonne grace, je prieray vous donner,
Nevers mais non celle de Monsegneur. Je pance lavoir
Grane / [/ et aultres lieux cy auprès] de se prendre bien garde parce que
d’Arles que monsieur de Suze est party pour La
Priantz Dieu,
quil y aye IIIm[ille] hommes [barré : des gens] qui sont commandés par XV ou
Votre très humble et obeissant serviteur
se saysir de Bourdeaulx et encores qu’il soit ung
Votre très humble serviteur
H de Montmorancy
leur payement et ledict la Bruyère n’a faict qu’une garde. Il s’en est allé aussy
de ceste ville. Je parleray à la royne de l’affaire de
Monsieur de Gordes, la prière que je vous fais pour le service dudit sieur de
l’arrester yssy pour le moyns jusques que la vostre y fut et pour
serviteur
Monseigneur, vous donner en continuelle santé, très longue et heureuse vie. De
affectioné serviteur
vye. De Gap, ce 7 mars 1573.
pas grand estat d’un semblable dire de ministres, qui font mestier de tels articles,
scauryés employer le bien a personne qui
en plus grand partie. Pareillement la porte
le Createur,
messieurs d’Evènes et de Laval vous suppliant me fère part de
assembler cent hommes quy je ne soye adverty. Au reste je vous prie et ne puis garder
seront advenues puys le XXV. On s’asseure que
trompez et sur telz mistères vous et moy et tous les meilleurs
par ce moien decouvrir le fondz de ses greniers et la verité du faict.
sur les bras les rebelles de Montauban mesmes debvant estre
les champs et sesiourner attendantz ma responce, et là où je nen
voz commandementz je supplierey le Createur,
monsieur, en parfaicte prosperité, très heureuse et
espée et ung baston. Je crois quen toute la
de Buffevant
de monseigneur le duc d'Aumalle. Surce, je prie Dieu
par lesquelles semble que veulliés prendre quelque mescontentement de ce quon vous
auriés occasion den croyre quelque chose, me fesant cest honneur
moyen de les fayre payer et mal ayscément vivre. Sil plesoyt à votre
grandement respecté et honoré pour ses vertuz et merites ; et à ceste cause suis [ ?]
et Exilles et pourveu à Ambrun, Gap et autres lieulx de ces montagnes.
differentes à ce quil vous donne entendre et quon ha usé
le XVe jour de may 1573
repliquer quil est très necessayre car, sy ce que
[brouillon de lettre à Catherine de Médicis]
plaine d’animosité blasmer et denigrer les actions de tant de gens
et de la mienne qui mirent pied à terre et donnèrent
guarison , Dieu mercy, parquoy il ny a aucun changement en cella, estant
que mesnagerez si bien le tout que je seray servy comme il appartient,
[146 v°] [brouillon de lettre à CAtherine de Médicis]
ample despeche après le retour dung gentilhomme que jenvoyeray
Charles
pareilles forces et commetra en ce gouvernement homme
[164 v°] de mectre à leur queue pour faire justice de ceulx qui le meriteront
[167 v°] mareschaulx des lieux se mectre à leur queue pour faire justice de ceulx qui
a esté plus travaillhée et apouvrie
avec ce qui depend de notre povoir pour vous faire service très humble comme de
monsieur, vous tenir en sa perpetuelle garde. De Piarrelatte, le
instance dudit feu Guillaume de Chaste son frère
oultre la perte irreparable quil luy en viendroys.
Mornas : VIIIm pains VIII p. v.
me donneroyt argument suffisant, jen auroys assés avec
san vua acompagné de la presante pour vous remostrer
monstre chacun moys, ou bien adviser sil
et en leur propre et privé nom de ladite contrevention requerant
pourveu que soyt le tout mené discretement, sans evanter aulcune chose
Dieu vueille quelle soit bien observée. Deux des arbitres venuz de Nismes
et credit, je leusse
En ce que dessus nest comprins cens qui sont dans
aulcung fert. Quest tout ce que je vous puis escripre
tost en France. Je vous envoye ung bando lequel a esté fait
suys arrivé et du jour que jen suys departy avecq toute
prothonotaire. Je prie Dieu vous doner
et dentrer en doubte de passer plus oultre, ou bien de passer à la
le Createur vous donner
quartier ez années 1569 et 70 que iespère recouvrer
seulement vous priiège croyre que le ne verray poinct me nestre doccasion pour
monseigneur, très heureuse et longue vie et à
Vostre humble serviteur
Monseigneur, si je ne craignois vous facher et vous faire prandre oppinion
sa et là où jey affaire pour ung
ceste ville que vendanges ne soient
votre humble et obeyssant serviteur
monsieur le president de St julien, vous en aurés
monseigneur, je vous bayseray très humblement les mains, supliant
Rousset
apris le chemain. Me recommandant très
De lacoste
et especialle abolition dudit reglement, ce que nest comme je leur
ordinairement tenu la campagne aux despens de votre
aucunes particularités pour ne men estre encor
que lors se veuille advantager sur son jeune eage car
done en parfaicte santé très longue et très heureuse vie. De Grenoble, ce Xe jour de
hautte et [barré : puissante] illustre dame madame de Tournon
et expère en avoir bien tost expedition et de la declaration pour ne payer les gabelles
la mémoire de leurs magestés le plus souvent que je puis,
est arrivé en ceste ville. Je la verray
faisant cesser par ce moien tottes les cottes faictes par les ennemys,
à jamais
disent en cela plus quilz ne pensent ou quilz se flattent et que jusques
et que par là, il ni aura lieu de ce plaindre des pareatis dores en advant
feroit beaucoup de mal à toute ceste vallée, comme aussi feroit la ville de Serre,
ses amys et quil ne seroit, comme il mescrivoit,
ne font que metre en jalousie ceulx qui deulx mesmes
Servyteur montoyson
lequel nen parlat jamays, mays ledit Fermillyer pansoyt par là tirer quelque chouse pour
à ses despens, que ce pouvre païs, estroict et
volunté de messieurs. Et, à ce que jay peu entendre, il ne
des gens de guerre de par deçà, à quoy, ainsi qu’à tous vos
[104 v°] trouve estrange que [barré : de] sur la vante du domaine lons asigne [paier]
quest tout ce que vous puys dire à present des
à present, et ordonner que les deniers des
quy nest poinct à craindre pour ce que ledit lieu ne respond que [dans]
entre eulx de ne soffencer, comme ma dit ledit
conselhier pour monsieur Robert, qui seroit trop plus à propos
pension de douze centz livres quil a du roy de cappitaine de gendarmes
troupes, ilz nont rien faict de noveau
tout ce que je vous puis escripre, après avoir prié Notre Segneur vous
Si je parle un peu en collère, je vous supplierey très humble-
lacquais qui na despuys vollu demeurer avecq luy.
pour son contantement, car son intention est, si elle venoyt
si par votre moyen lesdits rebelles ne sont divertis
monsieur de Sauve pour quatre ou cinq jours, mais il sera
monsegneur, vous avoir et tenir en sa saincte garde et vous maintenir
que plusieurs aultres en feront de mesmes.
que plusieurs aultres en feront de mesmes.
vous en scaurés trop mieux justifier ; mais
et quant auxdites vacations, que je ne fais (barré : pas] de mon
monsieur, vous donner très huruze santé et longue vie.
sil vous plait lui fère tant de bien où il pourra scavoir si les promesses
faulte vous renvoyer et les dits gens de cheval et ladite
dans ladite eglise. Dordinaire, ceulx de Freicinière hont
monsieur, vous voloyr hocmanter se grasses et vous perpetuer
du païs pour vous
ausdits de Clays quilz nayent à leur rien fourny sur peyne destre bruslés
Humblement les meins
de Molines
meschant cheval borgne qui par l’ordonnance dudit sieur de La Tivolière
friande et de queles pour luy en faire servir. Ayant heu
la presente par mes humbles recommandacions à votre
vous faire è ntendre quil a receu voz
estat dy patyr et faire manger ausditz chevaus ce qui ce trouverat, pourveu que lartillerye joue à
est enquis avec daultres quilz avoynt
septante quatre.
Votre très humble et obeissant
de part de la responce des ennemys audit sieur de Maugiron, prevoyant
Je croi que bien tost votre paieur aura ce quil luy fault pour la
esgard au temps et necessité des affaires du roy
Lyon, le XIXe fevrier.
ou 4 ecus. Monsieur de Rousset naura pour ce coup aucunes
pour vostre service, je vouldroys despendre mille
iceulx qui font dancer pourveu quon y mande de bonne
quele ne soyt
parler à leur conseil et promirent de me venir trouver mercredi,
messeigneurs, en prosperité, vie longue. De Briançon, ce XXVIe
je demeure daller recepvoyr vous coumandements, toutesfoys,
Des Eymars
est ce que j’avoys aprins du corrier espagnol mentioné en
Les Anglois sont partis de ce jour pour leur
et bon naturel que i’ay toujours cogneu en luy. Je vous
ne l’a pas esté moings par delà et seroit long à vous racconter les magnifisenses
la novelle en ceste cour, tousiours pour emouvoir le
tost le bien autruy que le sien propre et
au lieutenant du roy d’Espaigne pour
serviteur
ce qu’il a perdu tant en Zélande qu’en Haynaut et
Françoys de Simiane.
despeche à ma mère et à ma femme quar je n’ay eu le loysir de leur escrire que sera lendroit
serviteur.
enfanterye qui est presque incroyable. Je prie Notre
jamais parler , car il n’y a laissé couverte
reuscira.
suivant voz dernières lettres du XXVIe passé monsieur
Monsieur, en toute perfection et santé, très bonne et
soien asés près de Flandres, que touttes fois on ne oyt dire
Mathieu Bovier
présentois aultre capable et que le temps de présentation se passoit,
grâce, acompagnée de longue et contente vie. Je me
Plaist luy seront rendues si monsieur de
Mourmoiron
avoit receu avec le Cheylard, ung cayer des plainctes
secrette information, tellement que j’attens d’avoyr
trop mieulx les affaires de
roy, vous accordant ce don[t] vous le requeriés, ne contrevenoit
de conselier, et qu’il en dispose ailleurs comme bon luy
heureuse vie. De Lyon, ce 22 jullet 1572.
arquebusier en Alger, que le Grand Seigneur remet entre les mains du roy.
Monsieur, vous mainctenir en parfaicte santé, très bonne
de cueur ou envie que lon aye den manger. Si le seigneur
Monsieur qui vous ayt en sa garde. De votre maison de
julhet 72.
Encores à ce matin, ung marchant de ceste ville
Nostre Dame de Bologne et me facherait fort dy aller.
vie et vous orner de plus en plus
c’est
de Saint-Bonet intendant des finances, qui me dict
Valence et moy, lequel dit autrement ne vous estre plus tel
ma dit san aloit à Grenoble tout maintenant et nous
Monsegneur, vous donner très longue vie. De Paris,
je vous prie men donner advis car Monsieur cuyde
ce mois. Voylà tout ce que je scaiche pour cest heure
pour le faire prandre. Mays cinq ou six jours
Nous n’avons icy rien de novel, ormis
Sur ce, je fay fin, me recommandant bien humblement
si bien et en si bonne union et intelligence et qu’il vaudroit
tenir garnison comme les autres chefs, à pour le moins
de la presante, mais il a changé de desain : au lieu
raison et le debvoir doibvent veincre lauthorité de messieurs des comptes
XIII livres la charge, lavoyene VIII à
envoie celle que monsieur de La Roche m’a escript,
se doibvent rendre, et nest faicte mention
que neanmoins il vous plaise ne mectre ceste affère à non
et tiercellet. Le tenant, ung nommé que
de Montbrun avoit faict contenance de mander gens pour
De Simienne
(barré : pur] pourvoir en plus hault degré, mais
priant Dieu
bonne esperensse. Dieu veulhe quil laye sy agreable quil y [barré : prye]
escus et quelque chose d’avantaige pour laffaire de
Votre très humble et
Vostre très humble serviteur
le pied leur desseyn, et avec ung desadveu de gens mieulx
luy hont estées offertes par monseigneur de Guise
atand nouvelles de La Rochelle où monsieur de Biron
ung mot suivant ce que men mandés. Quand à
le XXVIe de juing avec son armée pour aller espalmer,
uns de noz voysins de Champsaur et de La Breolle. Je prie
amyable et vertueux qui passast avant-hyer à Suze
et me randre où il vous plaira me commander
serviteur, ny homme au gouvernement que vous commandés
fame. Toutz nous anfans et seruiteurs et
laquelle on dict se faire la retraicte des armes de ces quartiers
ung pacquet leur à madame de Cazeneufve. Je suis en peyne de monsieur de
si cecy prenoit plus long traict, je vous vouldrois bien supplier
consenty audit relaxement, de sorte que je n’ay peu
à ce temps. Je luy remis en advant ce que desjà je luy avois assez dict,
ray [barré : ensemble] comme je verray quil sera reysonnable
Touchant les mil escus, ilz sont toutz prestz, quand j’aurey la
ce huictiesme octobre 1572,
actandu que celluy que y pourra estre commis par vous n’en tirera que quarante
jusques au nombre de soixante ou quatre vingtz tant seullement,
Prunier
monsieur le vibaly de Saint-Marcelin avoyt dit à ung gentilhomme
Avignon si je ne suys mande de monsieur de Carces me
aviés donné, et n’a esté vandu que cinq escus. Je
que cela se passera, ce pendant, ele nose bouger encores de ceste ville,
vous il s’y employera volontiers et ne foys doubte que,
Monsieur, vous doner en santé, heureuse et longue vie. De
je larrey à le vous dire de bouche, s’il vous plaist,
mil francz ; ce que sa magesté ne doibt espargner pour si bonne
Ville Franche
Votre très humble et plus hobéyssant serviteur.
les paysans. Les autres, mesmes ceulx quy avoint
monsieur le président Beliefvre que vous estes en peine et leur dire les
avoir plus de XIIc LT pour mon nepveu et que monsieur de La
d’affaires, j’en eusse peu tirer quelque ayde. Je n’ay point
veyant qu’il y va de l’honneur et du hazard
desloger qu’il faira de ceste vile. Qu’est ce
viés du Montélimars du XXI du passé, vous ne m’en tou-
Dieu vous donner
et qui estoyent les plus opiniastres, se sont catholizés,
plus longue que de mes humbles recomandations à toutes voz
de la part de ceux de la religion demeure beaucoup, attendant
Deurre Doncieu
n’y volloys entendre, causant que je congnoiscoys que feu monsieur
dire à présent de nouveau. Je présente mes très humbles
par quoi, Monseigneur, vous supplions très humblement nous
Votre plus afeccionné à vous faire service
et leur bien, comme d’ung frère que icy j’heuz de
Monsieur, qui vous ayt en sa garde. De votre maison de Montoyson
Monsieur, en parfaicte santé longue et heureuse vye,
sans escus et III sans charges de blé à vandre.
reviendra à cent cinquante frans
plus au long. La royne me demanda qu’il estoit du Montélimar,
vous feront. Byen me samble
ne me fera changer de volunté.
mais vous savés fort bien que nous devons préférer
mais pour ce que lui doibs fournir enquores quelques
quelcuns de ses amys ou serviteurs, il la pourroit
toutesfoys la mallice du temps ny de certains particulliers
Votre très humble cousin et affectionné
monsieur de Beuvois qui est avec monsieur le marquis du Meyne,
incontinant les estatz tenus en Dauphiné, vous espérez venir en ce quartier
S’il plait à madame et à monsieur de La Roche, ilz recepvront
monstra fort affectionné à vous. Quant au fait de monsieur
il nous coupteroyt quarante ou cinquante escus, et y
à votre bonne grâce, priant Dieu,
[v] sur ung bras par ung gentilhomme allemant appellé Chélègue
despuis n’a bougé du Louvre. Du jour mesme, la royne sa mère
le XXVe décembre mil Vc LXXII.
de Lyon font souvent courir le discours des choses advenir pour
par Bourgel, mais cela fut oblié. Je vous supplie, Monsieur,
Votre très humble et très hobeissant
vous estats despuis qu’estes en la charge que tenés,
disoit. Jay receu la lettre quil vous a pleu mescrire par Gellibert. Javoys eu des
Saint Auban
vous plairra me mander si entendés que procedions extraordinairement
frère ou bien si ie passeray oultre. Monsegneur le cardinal
Vostre très humble et hobeissant serviteur
Vie. De Vallance, se XIIIIe de janvyier 1573.
monsieur, en santé, prosperité et longue vie. D’une votre obeyssante
despendent des terres et seigneuries de mondit seigneur en ont
graces de mes bien humbles recommandacions, priant
autres deux demeureroyent pour
de longue et contante vye. De Gargas le XIII
rebelles. Je faictz estat de poursuivre à faire nettoyer la campagne
Gargas
eulx acquises, sa magesté permet aulx
obvier à ce dont je vous [barré : mis] fis mention par monsieur le president Bellièvre quar je vous puis asseurer
que je scay que vous avés tousiours desiré la conservation
bonne grace et prier Dieu vous donner, monsieur
aprochera de plus près. Iusques ici, n’y a aucunes
[146 v°] de la moytié coume nous en prometions. Nous atandons de
raison par quelque honeste composition autrefois nous nen
tués la poursuivant pour le constituer prisonnier entre les meins de la
monsieur de Gordes, en bonne santé, longue vie. Du Camp devant Sommyeres, XXVe febvrier
lessée à monsieur de Chastellart ; au pis ayant les autres
le bruit est entre eulx quilz veulent passer le
Rochelle despuys quelque jours en ça. Aujourdhuy,
monseigneur vous donner en sainté tout bon succès à
XVI persones dont il ny en a que cinq bonement opiniastres de
Lamote Verdeyer
peu desmantellé, il seroit aysé à le fortiffier
Rousset
quelques aultres de Vienne. Attendant voz commandementz, je supplieray le
monsieur de Dizimieu comme vous m’escrivez et desire bien
Logière est pour y envoyer si vous ne pouvez y aller et chacun de mon
beaucoup de raysons elle est à ce soyr à Chabeulh.
Revol
Vienne, ce VIe de mars 1573.
c[apitain]e Lille
Votre très humble et très obeyssant
joinct que ou il est un sot, et il n’y a pas grand fondement, ou il ne l’est pas, et il
[250] [brouillon de la réponse de M. de Gordes]
vous soit plus fidelle serviteur que
de donjon est tout pourrie, et seroit
monseigneur, vous donner en bonne santé
toutes celles qu’en ressevrés. Madame la contesse de Laval
vous ramantevoyr de vouloyr tenir votre compagnie complette et quoy qu’on fasse
les Rochelois n’auront aucung secours. Je n’ay
serviteurs du roy y perdront leurs escrime, car ledit service de
La compagnie de segneur Centurion dans deux ou trois jours que la
son camp harassé du siège se trouvant chargé de nombre d’artillerie
seray adverti, je donneray tel ordre que toute la foule ne tombera poynt
monseigneur qu’il vous preserve en bonne prosperité, heureuse vie et longue.
très bonne vye et longue. De Lauriol, ce XIIIe de mars
ville de Dye, tant messieurs desglise que aultres
Monsegnieur, jay sceu que tousjours monsieur de Lestang estant emploié à
Monseigneur, quil vous doinct en parfaicte sancté très longue
auroit peu mal informer que je naye voulu recevoir le cappitaine Araret
de men advertyr, je men purgeray, de sorte que vous en demeurerés
magesté me permetre de mayder de quelque impot sus le sel qui est
de le tenir pour excusé du voyage quil estoit tenu faire par deca pour se rendre à
Je ne feroys pas mon debvoir si je vous celloys la peyne quil prent
daucune saysie dun acte de justice contre luy que à cause de la desobeyssance
Charles
lennemy tient [barré : et se fayct ouyr] estoyt aussy bien en
Madame, votre majesté entendra, sil luy plaist par les lettres et presentes que jenvoye au roy
[127 v°] de bien, lequelles nont jamais esté couvertes ne celées à votre majesté ;
[130 v°] lescalade, y servit sy bien quelle y [barré : estoyt] fut très necessayre
bien contant du tesmoignaige que rendez du devoir de servyr que faict
pryant Dieu, monsieur de Gordes, quil vous trouve en sa sainte
Madame, se ne [barré : ai] seroyt que redicte (barré : de vo] descrire davantage à votre majesté
devers ledit Montbrun pour entendre plus clayrement leur
De neufville s[ecretair]e
suffisant et cappable, mays sy Dieu nous vouloyt tant
et faire droict à qui il apartiendra si ce sont compaignies qui ne doibvent
le meriteront et faire droict à qui il appartiendra. Si ce sont compaignies
en ses guerres civilles que nulle
monsieur de Meru notre colonnel general en a reçu certain tesmoignaige quil vous
XXe nov[embre] 1573.
duquel, comme dict est, il est heretier seul
Ayant en oultre mandé à monsieur le marechal Dampville de leur fère entandre
beaucop dautres par le dernier edict de pacification fayt
que atandu la pouvretté et longue folle que ce pouvre lieu
y auroyt moyen fère que là où ledit poyement
luy en estre faict acte par moy, notaire soubz[sig]né [barré : po] prenent
afin que lhenemi qui guette nuict et jour ne puysse apercepvoyr
sont icy, en actendant dans deux jours lautre pour le reglement des
très voluntiers
le Contat, ni dans la principaulté d’Orange.
après avoir prié le Createur [barré : vous]
à Romme en desdain et sur la longueur de don Jehan d’Ostre.
la trouppe ; et vous supplie très humblement croyre que en
monsieur avec les siennes très seinctes très bone longue et contente
desrobée en poste ; mesmes causant le mauvais nom quà la ville
Monsieur avec les siennes très sainctes, longue, heureuze et
et faire que tout se rabillera, et peut estre avoir
servir quelques ungz des votres que le ne my rande affectionné ainsy que je
moi la grace de faire chose qui soit à votre con-
Antoyne de varce
que je dis cecy plus tost pour craincte que à aultre fin, je vous
peu de temps, si ainsi vous
faictes, mesmes que les Chappuis nont
Jehan de brunel
plus estre regret car il ne demandera pas
le Createur quil vous doint en parfaicte sancté très longue
humblement à voz bonnes graces, priant
Le tiercelet de votredit nepveu cest telement
ay donné entendre et comme mieulx nous les feront hobeir. Sil
bourse comme chacun scavoyt assés. Je ne vous ay
enquis. Bien voudroye-je quil ne fust advenu.
sil ne parle des grosses deues il ne sen depaisera
novembre 1571.
NB : Moras-en-Valloire (45° 28' 91'' N ; 4° 99' 57'' E) est situé à 7,5 km au Sud-ouest de Beaurepaire
contesse de Rossillon, a dict avoir esté expressement
[v°] extraordinaires que pour le sel tiré. Je ne me suis pas donné beaucop de poyne pour faire
en ayant ausy, et pour le general parlé à monseigneur le duc
aujourdhuy advant que ie retourne.
et celles qui seront faictes pour cest effaict seront beaucopt
A. Draqui
icy, il n’y en a poinct dapparance, sinon que ledit faict de La Rochelle
sans que iaye peu savoir encor ce que a esté resolu sur larticle desdicts
laquelle seroit bien de besoing estre desmantellée ; et s’il vous plaisoit escripre à
de quinze ou vingt jours à Senerpont, je ny ay poinct
sont assés umbrageux. Monsieur le president Miliet est
favoriser son entreprise. Je neus jamays tant de regret à chouse de ce monde que ledit Fermillyer ne
infertil et de moindre estendue que toute autre province.
continue le bal que par oppignon quil a destre amoureulx
commandemens jobeyrey très voluntiers.
darrierages destats. Bref, cest une mort que [danser et]
affaires de ce pays. Pour mon particulier, monsieur
fogages et aultres quingz que se lèveront
nostre ville en quallité que pour cella ledict chasteau ne seroit assuré et
personaige, quelque semblant que aulcuns facent
nestoit le respect dudit sieur de Langes. Je vous beise
entretenu. Je vous mercye très humblermant de ladvis quil vous plaict
encores et se sont contenus durant
donner,
ment me pardonner ; et de rechief vous supplie
Il y avoyt une porte au derrière du château par où ilz
à mourir, de donner tout à voz enfans. Je vous supplie donc,
de la ruyne quilz prethendent fère en tous cez quartiers,
de retour et les recouvrera à premier jour. Le
en très bonne sancté et longue et heureuse vie. De Grenoble, ce
Pour la fin, je vous supplie très humblement commander
Pour la fin, je vous supplie très humblement commander
entre autres choses, il me semble que vous pouvés
compte destre plus avaricieux à ladvenir que par le
De Grenoble, se honziesme fevrier 1574.
que on lui a faict à Vallance auront lieu pour tanter quelque
compaignie. Encores pourrions nous fère par advanture
abatu et ruiné de tout leglise de Chancella ces jours
Le laquey en est
an hiselles et vous donner santé heureuze et longue vie.
fornir de mande
et quilz deplacent les vivres de là en ceste ville en toute dilligence.
G.[uillaume] D.[’Avançon] A.[rchevêque] D.[Embrun]
fut vendu en la place vingt florins et l’argent baillé à une hostesse
responce de madame la grand de sa deliberation, je ne
bonne grace, priant le Createur,
lettres dès a nuict quil arriva bien
propos et quilz soyent bien environnées de bon nombre de gens de piet. Lendroict des lieus que les ennemys
aussi painé au paravant qui
Le dix huictiesme febvrier, je, consul,
serviteur
que par icelle, nous aurons ou une bonne paix, ou une bien fort grande guerre à laquelle
monstre de votre compagnie. Jay lessé charge à monsieur de
[278 v°] desorte que ne soumes hors de bone esperance, ayant à
Comme ie fermois la presente, jay receu voz lettres du XVIIIe et celles quescrivés
letres de madame la comtesse de Grignan, ni de moy.
escus et expauser ma vye et tout ce que jay en ce
heure. Je supplie le Createur vous donner
finie et dautant
ce quilz nont pas faict, vous asseurant, monsegneur, que ledit château
febvrier 1574.
ci vous que je veus aylié treuver à pyé, je le
ladite lettre qu’estant messieurs de Villeneuve, de Salabos et
retour. Monsieur de Montmorency est encore
puis presque asseurer bien que la cause sera retenue
et libéralités de quoy la royne d’Angleterre ha uzé. Au reste, pas ung mot
roy à se déclairer en ceste guerre s’ilz peuvent ;
que c’est moins mal fère endurer [barré : qu]autruy
scavoir si nous aurons paix ou guerre.
N. Mulet
le dernier venu a veillé sur la conservation du reste.
où je salueray voz bonnes grâces par mes très humbles recommandations, priant Notre Seigneur vous
Bressieu
Seigneur vouloir avoyr pitié de ses povres chrestiens.
maison qu’il ne soyt eifondré et l’y avoyt
De Venise, par lettre du dernier passé, l’on escrit comme monsieur le marquis de Meyne
d’Evènes et monsieur de Laval. Je présente mes très humbles
longue vye, avec l’heur et contentement que vous désirez.
rien de sertain. Canpt à monseigneur de Nemours, il na
craignant perdre le droict donné à la Maison de Chartreuse de
recommande de fort bon cueur à la votre et à celle de
Menville est home de promesse. Vous
que ceulx de la Religion de votre gouvernement font
parachevé l’enqueste d’office dudit Brunat pour
sa magesté et aussi craignant
poinct à ses ordonnances sur le faict des offices et parties
sembleroit. Il me dict après qu’il le bailleroit au vibally
Votre très humble et hobeyssant
Si cella est vray monseigneur, je ne scay, mais l’on m’en ha bien fort asseuré.
et heureuse vie. De St Chamond, ce XXIIIIe julhet
que scavés a envie de doner une cassade [mots
Montoison, ce XXIIIIe de juilhet 1572.
Vostre très humble et affectionné
m’a dict que troys batheaux chargés de mognitions
[v°] Jay aurreste bien veu ce que monsieur d’Hourches vous ha escript
en ses dons et graces. De Valcluxon, ce XXIXe
votre très humble femme et bien obé
de mesme que l’on ne vous avoit pas oblié [barré : fut]
quil a esté du passé. Cest la moindre perte que vous pouvés faire,
avons ce peu de loisir, à monsieur de St Scerny et
ce XIIe aoust 1572.
par sa lettre que ma compagnie soyt jà
digne de vous escripre. Après mes bien humbles recommandations
après Dieu, pour son peché, le fit revenir en ce lieu
que nous voesins vivent avec grande
à votre bonne grace et de madame, votre bonne
mieux qu’il y eust quelque division et que l’ung picqua l’autre ;
que chacun y feut à son tour. Et si suis dadvis
daler an poste, il san va à ces jornées à la compaignie
de Parys, Dieu nous en doint bonne issue et lequel je prie
IX livres la charge, commansera en demander
par où verrés comment il se trouve court d’argent,
de ladicte compaignie, non plus que de plusieurs
challoir comme par un juste desdaing, ains vous defendre vivement
j’avois sur la main en ce desbatant, ce
envoyer en Flandres et que ceulx de ladite religion se faisoint
il ne ma point dict que à sa despartie,
Monsieur, quil vous doint la sienne, accompaignée de longue et
passe toujour. Jay veu ce quescripvés au sieur des Vignals. Il
messieurs d’Huryage ; et ne fauldroit que emprintessiés
très obeissant serviteur
G deportes
nez et moyns ingratz, rendre honteux les poursuyvans.
avec sa maison de Nanteul ou autre où il
pourra meshui estre arrivé. De Flandres, l’ons en
la damoiselle que iay vue en Bourgogne, je vous ay
assir et se joindre avec Cargely qui avoient le
Dieu qu’il nous en face la grace. Je ne vous seray
avec quarante cinq chevaulx à demye poste. Il s’en va légat
dausi bon cueur que je me recommande bien
qui de meilheur cueur vous fasse service que je feray, et de la
fames au lit ; ma filhe de Sassenage avec
et le nombre des chiefz qui se sont treuvés en ladite foire
Tailladé pour n’avoyr eu aulcunes nouvelles siennes despuis ung moys ou cinq
me descharger de ceste despence, car le tout est venu de
de moingtz, attendu ledit consentement, que de l’eslargir
que s’ilz se feussent trouvés en lieu où on leur eust peu mettre
commodité les vous envoyer ; mais assurés-vous que ne les mettray
Votre plus humble et plus affectionné à
livres, et moy y estant en auroys pour six payes, ce qui serviroyt à reparer
que je logerey sus les bras des messieurs à catholizer et
nommé le sieur de Golar, avoyr charge de vous d’assanbler les
rendre devers luy que je ne scay pas eseement les dit sieurs
fournirai tant qu’en aurai le moien, et spère l’avoir
et je la désire à La Coste
s’il vous playt en scripre affectionement, que je ne l’enporte,
Grenoble, ce XIXe d’octobre 1572.
par Augustin, pour ne vous envoyer par trop grande
occasion, oultre que le tout seroit bien remboursé pour
Je vous mande une lettre
Brette
chevaulx, s’estoint escartés en divers endrets.
dangiers esquelz ilz exposent leur persone et leur bien, mesmes ceux qui
Coste lui debvoit de reste. Je ne puis scavoir que
de novelle que monseigneur le prince dauphin soit party
que vous en puis escripre, me recommandant sur
chiés ung seul mot de ce que leur escripviés le mesme jour. Je
Monsieur en sancté contente vie. De Paris, ce XXVIme novembre 1572.
mais nous sommes bien en peyne si nous y debvons fier. Nous
bones grâces, et suplie le Créateur vous doner,
le temps que monsieur d’Ourche m’en ha escrit. Il y a apparence
le conte, que Dieu face merci, prenoyt plaisir de l’havoyr. Je vous
recommandations à votre bonne grâce et de celle de
y voulloir prouvoir sellon votre bon plaisir et congnoissence,
Mandelot
novelles de monsieur d’Antibou là où il me
ce VIIIme de décembre 1572.
me recommandant très humblement à votre bonne
Je prye Dyeu vous tenyr an sa seynte garde é
d’autant qu’on luy avoit dict que les huguenotz s’en estoint
que ne devés quyère tardé
Après disné, Dieu aydant, je le verrai
l’honneur de Dieu et la satisfaction de noz consciences
pièces que j’atans heure par heure, je ne m’assure
donner à quelque aultre, que me cause, monseigneur,
n’empêchera, quand y aura juste occasion, que ne vous
serviteur de La Coste
ce que lui a esté accordé. Mondit seigneur le Grand Prieur
et par la votre dernière du [barré : VXe] VIe, vous m’escripvés que vos ditz [barré : esttat] estatz
au pied de la présente mes très humbles recommandations à leurs bonne grâces.
d’Ourche, j’en suis en toute la peine du monde
lessant le courtaut pie, nous nous porrons passer d’ung courtaut
Monsieur, qu’il vous doint en santé, bonne et longue vie. De Saluces, le
cuidant frappé ung sanglier aux toiles. Dieu mersi, il
fut fort pressée d’ung catharre don elle se douloit quelzques
Vostre très humble allié et serviteur
nouvelles de celles qui sont advenues. Tant est que on nous a raporté
escrire à monsieur de Fictes, trésorier de l’Espargne qui
serviteur
ayant monsieur de Chatelart recouvert atestations de
nouvelles de la court comme Monsieur et monseigneur le duc et monsieur
contre les absans nommés en linformation que jay faicte
de Lorraine n’est encor arrivé, bien est-il fort près de
Clement Faure
Votre très humble et aubeyssant servyteur
mayson de Guysans, ce quinzième jour de janvier.
bien leurs part. Il y a icy ung gentilhomme quont appelle
Dieu,
la garde daucune villes et cha-
de janvyer. Selon se que ma dyt monsieur d’A[p]t
et aussi de faire marcher deux ou trois pieces dartillerie pour quelzques
commissaires de vendre lesdites terres avec
que je ne suis pas sans peyne de seller mon voyage, comme monsieur de Rousset vous tesmoignera à voz
des gentilzhommes qui sont de bon lieu comme ilz sont
de Gordes, en parfaicte santé, longue et heureuse
tranchées faites, si nest aux vilages où l’ons est campé
jour en jour monsieur d’Hourches et par mesmes moiens de vos
esperons rien que par forsse, lors que notre artilherie
justice et yant faict difficulté dialer[=d’y aller], a heu ung
1573.
expeditions ne debvés retarder l’euvre car lons aura bien
Rosne. Toutesfois je faictz courir le bruit que
monsieur de Bressieu a mandé prandre son lougis et
voz affères et augmentation de votre grandeur. A Dye, ce premier
se rendre le surplus monstre quil se lairroit accommoder. Quant
bien tost à ce qu’on m’a dict, actendu aussy la
Createur,
de luy pouvoir satisfaire en cela comme j’espère que je feray.
gouvernement vous obeira comme
Vous m’en envoyrés s’il vous playt votre voulonté.
Votre affectionné et très humble serviteur
Je desirerois bien que monsieur
serviteur
se fust bien gardé de le dire s’il eust pensé qu’on le deut essayer. Je me doubtois
Monseigneur, le XVIe de ce moys j’ey receu votre lettre du VIIe et ne scay comme
moy. Prient Dieu vous donner,
bien requis de changer le molin qui occuppe
longue et très heureuse vie. D’Exilles,
a esté yssy estant très marrie comme elle dit tant du Pousin que
courir le bruit soyt de la prinse du Pouzin et de Vileneufve. S’il est vray
voulu mettre ceste depêche dans celle du pays,
sa majesté, quoy qu’il en soit, depend en partie de ladite vollunté
fourniture ordonnée estre faict par certeines aides et villages procheines de
et qui pis est n’estant pas les compagnies de gendarmes qu’il a
sus ceulx de ce gouvernement. Et quant à secourir mondit sieur de
De Vallance ce trèsiesme mars 1573.
1573.
ne scaurront armer huict ou dix personnes. Jay
estre secouru de quelque somme pour lentretenement de sa table, il vous
et très heureuse vie. De Vienne, ce XVIIIe mars 1573
et le mectre avec sa compagnie dans Vallence suivant votre commission, aussi
satisfayct ; et, monseigneur, je vous envoye la coppie de la despeche
à la moindre foule de voz sugetz, dautant que lestranger en paye sa
lassemblee du clergé et quil demeure et semploye où il est allé pour mon service
et la despence quil y faict.
[barré : obeyssance aux editz du roy et si ne fault pas quil vous fase enten]
de Neufville s[ecretair]e
bon païs comme il est dans les montagnes, certeynement
le traicté etaccord que jay moyenné avec ceulx de la nouvelle oppinion de ce pays.
cest quil ma semblé estre de ma charge de vous escrire sur ce quil
ledit Mirabel et ce qui [barré : nest] ne fut executté lors, se retirent
le sieur carlo Marconi son lieutenant, lequel continuant se peult asseurer
garde. Escript à Paris, le XXIXe jour de juillet 1573.
que ce quelle verra par ma despeche que je fait au roy et copies que je luy envoye
intention.
[162 v°] favoriser que [barré : leschen] nous eussions du meilleur jamays
que passer quand elles approcheront ung autre gouvernement celluy
qui ne doibvent que passer, quand elles approcheront ung autre gouvernement,
autre du Daulphiné. Despuis le
plaise faire haster le plustost qui pourrés ledit payement, estans retombez en la mesme
Voz plus affectionnez à vous faire tout humble service.
requerant privision. Pource est il que nous, ces
linouvation faicte de leur cousté au prejudice de ladite suspention
Du XVe no|vem]bre 1573
à La Rochele, par le quel nest faicte mencion de rendre
a souffert, quil vous pleize metre peyne de fère partir le
ne viendroyt chacun moys, quil fut promis
les soubz nommez pour tesmoingz, lesquelz tous ensemble
notre intention qui se vouyant peu ou pro[u] descouvert, on ne pourroyt
contributions où nous serons fort empeschez. Quant aux lieux où [barré : com]
employé comme
Plus ny est comprins le quartyer de Lens de Chaussan.
monsegneur, vous avoir en sa garde. De Grenoble, ce
Et pour navoir rien peu de merite que ce que dessus, je vous
quelque part que je soye, je me garderey bien de faire chose
vie. D’Apt, ce XXVIe danoust [sic] 1571.
de Nismes, ou monsieur de Joyeuse mesme ne l’a voullu passer
contente vye. De Salon, ce XXXe dauoust 1571
assignation pour leur payement sur la recepte generale comme
le debvey sperer ; dung quy vous est
tentement. De Luques, ce VIII d’aoust 1571
dirois vollontiers que nous aurions bien besoing encor pour quelque
pleysoit.
encores parfaict le pressoir alentour
mieulx que davoir occasion de passer oultre
et heureuse vie. De Blanieu, ce XIIIIe septembre 1571.
[136] Dieu vous donner
rebattu quil tourne la cues à tous coupz aus
vous plaict nous y commander voz bons plaisir, que sera la fin de
point ouy parler de celle lettre du cardinal Alexandrin
jamais, mais ce pendant, il fauldroyt pour …..
Votre très humble et très affectionné serviteur
envoyé devers sa seigneurie par les consulz et scindicz
commectre ceulx qui defaillioient en la commission de bail de voitures, puis que
[v] auquieul, si trouvés bon, ny aura mal [barré : luy] escripre
moindres et seront esgallées sur tout le general. Jentens pourveu
apporta quelque changement es voluntes desdits protestans et vous
pareatis. Quant à la plainte des exemptés de la taille couchée
monsieur de Cheuvrières, auquel appartient la moictié dudit château d’Ornacieu, de faire
faict passer mon homme ; toutesfoys, comme jay sceu
en Suysse depuys mon arrivée pour bourner quelques limites
fut arresté en quelque lieu revenant devers le sieur de Mombrun, affin quon heu veu ce quil portoit.
Sur ce, vous ayantz presenter noz très humbles recommandations,
dune [barré : feme] dame maryée, et nen pert pas un ne une
Vostre très humble et plus obeyssant
negocier et ci, mesmes en manière de finanses. Jespère en scavoir
il avoyt pleu à monsieur d’Ambrun pour la garde de
de par deçà seront destinez au paiement
nous nous sommes bien resolus à nous bien deffandre proveu que Dieu
du contraire. Quoy quil en soit, en tout ce que
enquores ung coup très humblement les meins. Jatans de vous
de men donner, ce nest la première obligation que je vous ay en eschange
la trefve ; que sera la fin, après
monsegneur, en très bonne saincté, longue vie et vous aye
croyre de mon intégrité, de la bonne volonté que jey
debvoyent [barré : es] entré, quon trouva ouverte. Le cappitaine La
monseigneur, men escripre ung mot et à elle. Madamoiselle
je ne povons quesperer entière desolation du pays
roy ne bouge du lit et ha heu quelque peu de
10 febvrier 1574.
à lenseigne du cappitaine Mestral deslivrer à
à lenseigne du cappitaine Mestral deslivrer à
[barré : dire] faire remonstrer à icelle
passé et quil [ajouté : scavoit bien] que je navoys volu servir vacation [que voila]
Voustre très humble et
autre moien que nous avons advisé sa mère, son frère et moy, avec
chose et les esclarcir de telle fasson et chasser loing de
passés ; qui sera landroict que ferey fin par mes très humbles
arrivé avec toutes
De Grenoble, se 13me fevrier
ment pour la
despendu par eulx. L’on a esté contrainct leur ordonner le pain du roy qu’ilz
fauldroy vous aller bayser les mains pour recepvoyr
monsieur, vous conserver hereusement en bone
tard, ausquelles vous fera response
tiennent leurs est favorable à raison des advenuees , si bien que jestime que les gens de cheval nauront
luy avoint dit quilz estoint de
suis venu à Grenoble [barré : pour] et là,
Jean Besson
il se fault preparer et endurcir du tout à souffrir beaucoup de
Chatellard pour recouvrer le comandement pour le comissère
mon advis, rien oublié de leur remonstrer les failles
à monsieur d’Haultefort, que ie luy feray tenir dès ce jourdhuy.
Elle nest sans beacop denvi, ayant sa filhe bien
monde, comme celluy que vous est affectioné et
monseigneur, en santé bonne vie et longue. De Grenoble, le XXIIIe
que ledit seigneur a
estant avitualhé et bien fort et pour ce deffendre avec peu de
Votre très humble et obeyssant
feroy de byen bon ceur pour le desyr que jey de vous fère
moy ensemble, il nous dit estre du roy du Portugal duquel
en Angleterre, d’où il ne partira que le courier
en ce parlement, qu’il voudroit encor estre devant
du mariage de Monsieur le duc et de la niepce et rien que de la Ligue
pour à quoy parvenir, ilz n’oblient invention ny artifice.
qu’endurer soy mesme. C’est ce que feu monsieur
Pour le moingz, je me porte bien, Dieu
On tient qu’à la Franche-Comté on prépare le passage
donner
Je croys que vous avez pu entendre par cy devant
On m’a mandé de Marseilhe et d’Avignon aussi que
[f° 271] pierre que pesoyt treize, quatorze et dix sept
s’estoit embarqué contre le vouloir de l’ambassadeur de sa majesté qui feist plusieurs
recommandations à votre bonne grâce, priant Dieu
En Avignon, le XIIIIe de juilhet 1572
poin esté an dangier don le bruit a couru et fet bonne
[v°] présenter ladite cure, fus contraint de présenter ung nommé messire Claude
madame de Gordes. De Gargas, le XVIIe juilhet 1572
nous aviés escrips par ce mois d’octobre. Je ne vous puis, pour
touchant le traictement qu’ilz ont receu puys l’édict
en après faire droict, sur ce que résultera
qu’il ne la perdit, je nay voleu
casuelles ; que, comme monsieur le tiers président Bellièvre
de Gap, sur quoy je luy dis aussi que si nous ne précipitions
serviteur
Se pendant l’on tient icy la guerre desclerée contre le roy d’Espaigne,
1572
barrés] au lieutenant de sa compagnie, mon seigneur de Neumours
Votre humble et aubeissant
Serviteur
sont partis à la mynuyct et s’en vont randre à
du quieul vous renvoie la letre. Je suis très aise
juing 1572
yssante amie
le jour précedant au conseil, mais que l’on n’y croit
estant dune si escabreuse humeur comme il est.
à moy, vous fère ce mot.
Votre très humble serviteur
assemblée ou je croys quelle aie set monstre
à votre bonne grace, je supplie le Créateur vous donner,
où je le saizis moy- mesmes au colet avec
sospeçon de nous mesme pour l’arivée du
partie, priant Dieu de vous donner,
c’est que vous rabatissiés [barré : leurs] ses procedures de la cour
monsieur, de la luy remetre incontinent à mon arrivée,
de monsieur de Treucheneu et de madamoyselle
Monsegnieur en presentans mes très humbles recommandations à vostre
X livres quand les grains seront dans les
oultre que monsieur de Roissy se rend difficile à me
aultres. Si vous en scavez quelque chose et
affin que vos adversaires et envieux ne se puissent vanter
rompit la cuisse ; le tiercellet l’aultour
ouyr en avoir mandement d’ung Grand, et que ce mesme Grand
on reprinst ces termes.
contante vie. D’Apt, ce XVIIIme aoust 1572. Je suys très ayse
me fet tenir toutes vous lettres et, par mesme, monsieur
voz bons seigneurs et amis ; en tout vous adviserés au
S. de chastellar
Quoy que ce soyt, je seitz votre conscience et la nostre
aymera mieulx se retirer. Monsieur, nous sommes en
parle fort diversement. Le duc d’Albe bat
escript quelle estoit malade lors que feus voir la
surplus de vaisseaulx jusques audit nombre de deux centz
ennuyeux de plus long discours, si ce n’est pour me
en France avec plaine puissance comme s’il y estoit pape. Je
humblement à voz bonnes graces comme aussi
mesme volunté que je me recommanderay bien humblement à votre
[3] une sienne cousine. Il ia unse jours entre
selon qu’y nous sont esté nommés par nom et surnom avec leur
sepmaynes en-sà qu’il me mandoit qu’il avoit la fiebvre et qu’elle ne faisoit point
ma bource, et aussy m’advertir votre volunté de tout ce que
moyenant caution, et à la charge de se representer, luy
la main dessus, que vous en eussiés rendu bon compte au roy,
en mainz qu’ilz ne soyent bien seurs, pour peur des inconvénientz ;
vous faire service.
ung peu des pertes que j’ay faictes par le passé. Toutesfoys, Monseigneur, […illisible]
des plus suspectz nouveaulx catholisés, attendent l’ordre qu’il
commissaires pour l’atraper. Je feis response à celuy qui me porta
mescripvent sil leur plaist et se contenteront après que jaray
pour enquores par cellui de monsieur de La Roche,
que j’estimeroys ung grant bien pour moy ; lequel je vous
Vostre humble
lettre, nous recomandant humblement à votre bonne grace
ceulx qui desireroyent jouyr de leurs biens. J’açois que
que ung de Trescleux a escript à Piarre Reynaud ;
Je vous supplie, Monsieur, et à mesdits segneurs de la cour, de ne trouver
L’ons n’ha pas grand espéranse que ceulx de La Rochelle
avoint si bele et bone pièce et tant évaré de plusieurs et qu’il sufier-
C’est, car ne scay rien de vous marchés. Il m’a dit vous mander tout par contes.
de Saint-Fergeau pour faire son voyage en Daulphiné,
ce très humblement à vous bone grâces et priant Dieu
vis madamoysele de Caseneufve et sa petite trouppe en
Vostre à jamais très humble et très obéissant frère
faisons bonne garde, tant qu’il est possible.
Monsieur, en toute prosperité, santé, longue et hereuze vie. A Venterol,
que monseigneur le prince daulphin viendra en son gouvernement
puis assurer qu’il ha grand envye de vous faire service. Il est
monsieur de La Roche, priant Dieu,
aient esguard, Monseigneur, aux grandes folles et
commande vous présenter ses très humbles recommandations
Votre très humble et aubéissant
grâce. De Cadenet, ce VIIIe décembre 1572
potesyon. De gargas le XII de désambre. Je ay fet
saisis, et bien que je luy disse qu’il n’en estoit rien, mais que
et y doner l’ordre tenir lyeu
car ie vé coucher à Sapt. Monsieur Belièvre
à tout ce qu’est en ce monde. Les exemples de tous ceux
pas trop sur lui. Je suis tousjours ausy sur l’atante
vous en importuner de vous supplier, si le treuvés
tiengne adverti du tout ce que se pourra présenter et
L’on m’escripvit avant hier d’Aix qu’il se y fesoyt bruyt que ceus de Nismes voloint tacher
m’en fit lors offre d’une pancion de mille Lt ; pour le moins
sont achepvés, nont tenu que troys jours et que le tout cest pasé avec
Monseigneur, je vis à Aix le seigneur collonel Alphonse qui me
si esperè-je que nous en viendrons à bout et par mesme
de vinct escus, lequel nostre palefrenier porra tousiourzs
XXIIIIe jour de décembre 1572.
est presque guéry et despuis veu ledit Chélègue, bien que
jours au paravant, qui luy descendoit par la joue gauche
G d’Avanson, A. d’Ambrun.
que à La Rochelle, ils ont déjà dressé une république sur le principe
sera en charge ceste année prochaine pour le faict des
Chalhol
tous les tresoriers qui vous hont paié et espère,
devoyent partyr en pouste par le landemain des Roys pour aller en Anjou
en vertu de votredite commission laquelle je vous envoye
ceste ville. Jay faict response à monsieur de La Coste dans
La Thivolliere
Le present porteur vous fera entendre enquoy importe
le cappitaine Savignat quil comande en l’absence de [barré : mond]
monsieur, qu’il vous donne en santé, bonne vie et longue.
steaulx de cestuy votre gouverne-
monsieur d’Evènes avèt anvye de fère le voy[a]ge se
chateaulx quilz tiennent là ez environs, en attendant que toutes
ladite plusvallue au plus offrant et
premières vues, et neanmoins pour le meilleur, il est de besoin que jen use en ceste sorte. Il suffira que
et appartiennent à beaucoub de gens dhonneur en
vie. De Lunel, ce IIIe fevrier 1573.
et quelques maisons plus proches de la vile où y a
nouvelles. Nayant autre à vous dire, je me
sera en baterie nous jugerons plus eseement
ajournement personnel pour les causes resultantes du procès criminel
Votre plus affectionné, parfaict et asseuré ami
moien tousiours denvoier les autres mesmes à Roume.
vous debvés arriver de jour à aultre qui
ma asseuré son homme quil arrivera demain venant
mars 1573.
au sieur de La Noue, ledict capitaine Hieronimo dict que lon en parle
bonne volenté de ceulx de la ville que tienent
monseigneur qu’il vous preserve en bonne prosperité, heureuse vie et longue. De Vallance, ce quatrieme [barré : fe] ^ [^ mars] 1573 .
J’avois dissuadé tant que i’avois peu au sieur d’Araret de
à moy mesmes
Quant à Sommière, ons la batue d’ung aultre cousté.
C Mitalier
le président Truchon receut mes
de Rival
bien que à peine monsieur de Mandelot vous escriroit de la Robinière, et me semble que je le
je vous ay fayct entendre par une missive precedente d’où vient la
monseigneur, en santé, très heureuse, prospère
la tour plus ncessaire à la deffence du donjon
ce VIIIe mars 1573
des molins qu’ilz luy hont prins. Monsieur de Vaucluse a couché
comme m’en a dit le tout est precedé de negligence et avarice et pert
pensant que la prise du Pousin vous auroit faict
du peuple, laquelle estant de mauvaise condition, aussi
Loriol par ordonnance de mondit segneur de Rousset pour leur entretenement
fournies comme il appartiendroit ne par de là qui devroit estre
Laugières, je penssoys que vous eussiés esté adverti de la perte de Vile
Votre très humble et très obeysant
Votre très humble serviteur
commandé aulx consulz [barré : ne] de faire ung magasin
plairra menvoier ce quil vous plaict que je delivre à monsieur du
Votre très humble et obeissant serviteur
vous certifier de mon debvoir, oultre ce que javoys desja [barré : pourveu] estably en ladite ville
que presentement je fayz au roy, par la quelle verrés les affères que jay
part. Il me semble que seroyt très à propos. Je viens presentement
et le bien du pays. Mais estant icelle assemblée tant necessaire et pressée, il est
et quant il vous plerra que je vous fasse entendre plus
leurs forces se augmenteroyent, et sy je voys
Ayant sceu celluy qui a esté faict avec les Rochelloys, dont jen suys attendant
ce presente mainctenant desdits estatz, lesquelz nont jamais tendu ne tendent
au chasteau [barré : y ayant mis le seigneur d’Ourches les gardes
destre recongneu et favorablement traité, sen presentant loccasion. Vous en direz
Charles
tant pour le regard des deportemens de ceulx de la nouvelle religion, que
Sire, etc ...
province des votres ne fut sy heureuse ne sy soulagée
que vous aurez mis à la conduicte d’icelles, ne fauldra d’en advertir
celluy que vous aurez mis à la conduicte dicelles ne fauldra d’en
commencement de ses dernières emotions,
necessité quavons eu au paravant, delaquelle sy promptement ne sommes
De chavanhac de philippi et au dessus
choses considerées, vous mandons et enjoignons par
affin de la fère reparer, incontinent remectre la place ez mains
Crest : VIIIm pains VIII p. v.
leurs biens ni lexcercice de la religion aux abssans qui
comissayre pour nous faire fère mostre car si le poement
à mondit sieur de La Sallete, lever les contributions
ont dict et respondu quil ny a aulcung de ladite nouvelle
latraper sy ayseement come on fera si le faict est menié prudemment ;
commandent messieurs de Grignan et le viconte Paulin, il y aura autres
je feray quant
Ny est comprins aussi le quartier de monsieur de Mirabel
Premier aoust 1571.
baize très humblement les mains et suplie le Createur vous
en quoy je puysse cognoistre que soit à la desobeissance du
votre très humble cousin et affectionné
à cause du peu dobeissance que jentens que rend ce peuple là aux
Votre très humble cousin et serviteur à jamais
on men a donné esperance ; et si les choses dependoint de
très humble et hobeyssant à vous
votre très humble filz et très obeissant servi-
temps d’avoir icy une trouppe des Corses ou aultres qui demeurent en
Vous commanderés au mulletier
desquelz pour leur prouvoir de ce que
et si toutes voz lettres nauront pas lefficace de
Votre plus humble et obeyssant serviteur
Monsieur, très heureuse et longue vie.d’Apt, ce XVIe 7bre 1571.
[barré : perris] perdris et ne seras pas èsé à le remettre
la presente, avec les recomandations très humbles de monsieur le lieutenent
que ledit seigneur Torquato dict vous avoir envoyé,
que monsieur le comte de Vantadour à qui icelle appartient
Bellievre
dudit Ay et Suray pour, et à leur nom, luy presenter la
jay veu par votre dernière lettre quaussy bien tous messieurs les commis au faict du sel
en remerciement de laffection quil ma assurer [ avoir]
que quelques temps après vous ne retiriés les forces dycy, car
pouvés penser si par le moyen du commerce que nous avons aujourdhuy
suivant vous memoyres audit cayet, le roy veult entendre les non et qualités
garder ledit château par moytié à ses fraiz, comme font les aultres, ou bien le faire
par lhomme qui en est venu et par ses lettres, il est
avec ceulx de Berne qui y ont mandé lung de leurs
Monsieur d’Evènes ce souviendrat bien de ce que je luy en dis plusieurs foys. Je massesure quilz metront
nous prions Dieu,
cadance. Lon a descouvert ces jours passés des amours
Serviteur
dans six ou sept jours au plus et men aller estre [ ??]
mon chasteau du Saix de moy doner douze homes
de ladite compaignie dudit sieur de Laborel
nous face ceste grace que nous ne soions trahis, dequoy nous avons
je pourrey, ne manquerey de satisffère à vous
nouvelles et bone devotion, mesmes ayant sceu que le sieur Coulin
de tant de biens que journelement que reçoys de vous. Je vous supplie[barré : q]
vous avoir presenté nos très humbles
en sa saincte et sauve garde. De Grenoble, ce VIIIe febvrier 1574.
à vous aymer, honorer et perpetuel service daussi bon
Balme feust adverty comme javoys envoyé à LA Mure le
et seur pour laller veoir princt ung semblable
circonvoysin. Que sera lendroict que je continueray
frisson au dernier jour de son excès. Jespère en Dieu
Votre humble et obeyssant serviteur
ce pourteur largent des soldatz de ce lieu
ce pourteur largent des soldatz de ce lieu
comme cestoit en Languedoc à monseigneur le marechal
que je me trouvay enserré dans la ville pour les
plus hobeysante pour vous
ladvitz de messieurs vous frères, estant veneu ici principallement pour
nous quavec deux compaignies on pourroit garder ceste
recommandations à votre bonne grace, priant Dieu
vous lettres, que jey faict
Monsieur, je vous suplie mesquzer
partie de sinq
Monsieur en parfaicte santé, heureuse et bien longue vie. De Grenoble, ce
n’ont payé, ne aucuns autres fraiz ne despens ; et quant à l’arquebouze,
voz commandementz comme celuy qui ne desire aultre chose
sancté et longue vie. De votre mayson à Grenoble,
par la premier et na vollu permectre
aultre peyne que de faire quelque guarde pour toutz evenementz. Je seroys par trop prolixe si je voulloys dire
la religion pretendue reformée. Et
le sire Enymond Perroct exacteur desdites
maulx.
et conterroleur, sperant que le dit sieur de Chatellart viendra
et charges de ce gouvernement, de mesmes celles
Votre très humble et oubeissant
fort malade dung reume qui luy desant sur le
hobeyssant serviteur. Je vous change de propos que
jour de febvrier 1574.
tousiours accordé
gens, combien quilz tinssent la ville. Je vous envoie lacte du
serviteur
servyce. Je vous supplyons très humblement, toutz ces
il portoyt l’escusson et parloit languaige portugais, ledit sieur de
qui arriva hyer de sa part n’y soit de
celuy du Daulphiné où la iustice est aussi bonne qu’en lieu
jurée au grand mescontantemant de certains Escossois entre lesquelz
Ilz promettent au roy sur la teste de ceulx qu’il
de Tallard disoit, quil valoit mieux estre diable
mercy, causant ma diette pour
des companies italiennes que vont en Flandres devers
Monsieur, en très bonne santé, longue et heureuse vye. A Parys, ce VIIe de juillet.
que La Molle avoyt esté deschassé de la court ;
les Anglois [barré : ont desfait] accompagnés de quelques
livres. Il est vray que cella n’a poinct touché à deux
protestations et sommations de ne passer oultre et comme particulièrement il a faict à tous
Monsieur, vous donner très longue et heureuse vie.
Votre plus affectioné à vous aymer et servir
chère, Dieu grace. Il at hu beaucou de doulleur de la mort
Morin, lequel, vivant le curé dernier trespassé, avoit servy ladite cure
Vostre mère
maintenant, offrir plus que ce que j’ay offert à madamoyselle de Caseneuve
de la paix et que j’en advertisse monsieur d’Hourches, d’autant
du procès par advis du conseil, comme il appertiendra.
la luy fier.
entreroit au lieu de premier, duquel il estoit très
tant ce faict, que le vibally de Vienne vous donneroit
De chapponay
mesmes monsieur de Gernac l’a escript à monsieur de Montferrand, gouverneur
Votre plus humble à vous faire service
luy en done le plus honeste pretexte du monde. Je ne
Servyteur
M Bovier
Calaix tout mognition de guerre et le tout
de la bone affection de la roine en vrey et dret
Vous tres humbles et hobeyssans
Laval
pas de leger, et me demanda de mesme si j’avois parlé
So de boczosel
et ne estant point comme je ne lassembleray
Monsieur, en parfaicte santé, très longue vye. De Lyon,
mon beau-frère quy est seigneur de Piegon ; et bien
baron des Adrés ; toutesfois, ilz ne bougent.
Monsieur en parfaicte santé et toute prospérité,
contre ceulx de la religion et que la cour vous provoqua
car si jatans de voir le cours de la court, il
de Cabières
bonne grace, qui vous doint en parfaicte sancté, longue et heureuse
garniers ; sera dangereux quil n’en-
paier ma pancion ; à quoy, à mon advis enfin ne peult
quil vous plaict men donner advis, vous les
d’estre venus à leurs attainctes ou d’avoir gaigné quelque advantage
n’a pas commansé à voller enquores ; le tiercellet
les avoit contremandés ; que ceulx que nous tenons pour Grandz
Je seroys bien aise de pouvoir escripre à
monsieur le president Truchon soyt remis en bonne santé, Dieu le luy
d’Embrun a resseu les sienes ; porroyt estre que sodeynement
melhieur. Vous aurés ceste despeche par le moyen de
nette en cest endroict, qui me fera esperer en Dieu qu’il
grand peine de ce quil surviendra et sil vous
tousiours Monts, mais lentement; le prince
mère, avec la quieulle ne demouray qune heure
cinquante, entre lesquelles il y en avoit environ huictante
recommander bien humblement à votre bonne grace et pryer
le feuz rencontrer à Sainct Joyre et l’acompagnis jusques
faict mon frère de Rosset, priand le Createur
bonne grace, priant Dieu,
les meins de Dieu et des medessins ; et je croy quelle
contenance et equipaige.
de semblant de le leysser. Nous avons ung prescheur qui est natif de cesteville,
dessus, laquelle je mectray peine d’executer en sorte qu’avec layde
ayant baillé sa maison pour prison ; mesmes qu’il
mais qu’en Daulphiné autant qu’en autre part de ce royaume,
et à ce que dictes qu’avés envye de scavoyr comme les affaires
Je[an] Troissant
que je vous asseureroys delaisser homme feable et duquel je me randroys [responsable]
vous playra, Monsieur, me commender que je tiengne pour
ce propos que cela n’avoyt aulcune apparence de verité et
Salue voz bonnes graces et celes de madame de Gordes de mes
à qui est dheu d’argent depar-deçà, mais l’importance
supplie de rechef, Monsieur, que j’en soys par vostre moyen
serviteur.
pour recharger à monsieur du Chastellard pour
le meilleur seroit y fère une collonnie nouvelle, actendu
vous verrés de quelz termes ledit Ferrier
maulvais la poursuitte que je suis contraint fère par justice
se remetent à serment sous l’obéisanse du roy.
royt que vous en estes en peine et men a parlé de vostre zèle à ce que
[v] s’il vous plait, le dit Maniquet sera incontinant randant
bien que le sieur de Bazemont me promit m’advertir de son despart.
vous donner,
aussi bone disposition que vous les scauriés soubhaicter coment
de Simienne
Monseigneur, nous supplions le Créateur qu’il vous donne,
ce 27me novembre 1572.
comme les autres. Mais à peine que ce soit si tost, pour
vailhant et n’est point de ceulx que se donnent au pillaige,
Monsegneur, vous donner très longue et heureuse vie.
charges que de tout tempz nous avons suporté
à vostre bonne grâce. Je désire infiniment
Serviteur
Votre bien humble cousin et hobéissant
Se que je ay pu de fère dépéché se porteur.
il estoit fort à craindre que quelque place ne feut
que vostre conseyl portera comme
a escrit à beaucaire du XXVIIIe passé à monsieur de St
qui contreviennent à la volunté de Dieu et furieusement
de quelque debte de monsieur de La Roche. Dans quelques
bon, en faire ung mot à mondit seigneur de vostre part, car
survenir, vous présentant d’aussi bonne voullanté mes très
à surprendre Grinhan ou Grane pour avoir ung pied en Dauphiné et près du Rosne,
spére-je m’atribuer de son vivant la Tour de Sabran qui
toute douceur et selon l’intention de sa magesté et toutesfoys, vous
Demanda bien affectionément de voz nouvelles. Je m’asseure
moyen de l’assignation de messieurs le président de Portes,
monter ; oultre tout cella, nous sommes asseurer de nous servyr
Votre plus affectionné à vous faire service
le roy dit tout hault qu’il ne luy veult non plus de mal
et c’est arresté soubz la machoire avec enfleure et inflammation.
de la prétendue confédération, et nous avons veu de leurs commandemens
mortespayes du Daulphiné, afin qu’il rabille le tord qu’il leur
avec la bone soletation quil en faira après que l’ons
en s’appprochant de La Rochelle. Il me semble que pour ces nouvelles il nestoyt
par ce pourteur exprès, ensemble les actes de reduction des
une depeche que [barré : iay] ne vous ay faict par lhomme de
ma mayson et certaines particullarités qui se presentent
monseigneur le mareschal Dampville qui donne de commission
De votre maison de Mespieu, votre maison, ce XVIIIe janvier
ment, dont j’en [barré : ay] avoys mis une
que je vos die pour honte de la giere[ = guerre ?] sy let pousyble
mes forces sassembleront qui sera comme je vous escriptz dans
dernier encherisseur en ramboursant ledit
jay votre lettre pour ce dit effect dans cinq ou six jours après le partement de mon laquay de Grenoble et sil
ces païs. Surce je me recommanderai bien humblement
Votre plus affectionné, parfaict et asseuré
de nous gens de pied logés. Monsieur de La Noue
recoumanderey très humblement à vous bones graces et sil vous
de leur intension. Monsieur de La Noe est tousiours
des aultres qui furent lhors prins qui sestoint trouvés an
H de Montmorancy
[164 v°] Nous atandons monsieur d’Hourches en bone devotion, esperant par ce moien
leur garde dentreprendre rien encores ; et si
d’Arles où il y a faict quelque sesjour. Je desirerois bien
Monseigneur depuis la lettre escripte, ayantz
fort diversement mais quant à luy, il tient que ceux de dedans
fort le nez, que seroit chose que fascheroit tout
Votre très humble et très affectionné serviteur
prendre la charge d’une de noz companies craignant
Votre plus affectionné, parfaict et meilleur
Monsieur le mareschal est resolu de n’en partir qu’il
Il plaira à votredite seigneurie [barré : x] s’il lui plaist
très humbles recommendations.
vous gaignois. Comme aussi je vous touchois un mot de ce que je coniecturoys et tenois
faulte que voz paquetz demeurent si longuement par chemin. [barré : et] Je
et longue vie. De votre maison à Valence,
et du segond cloz, surquoy nous en remectons
Je fortiffie notre garde de dix
se soyr yssy. Il vous bayse les mains très humblement et m’a dit
en une heure l’honneur la vie et le bien. Vous estes homme de guerre et
haster de descendre au Valentinois. Il seroit
ne s’en peult. Il ensuyvra que confuzioin et dangereuse consequence,
et ce par manière de prest, me tumbera sus les bras. Surquoy il vous
neantmoins son principal advantage. Je prie à Dieu luy estre
Neufve de Bertz y a long temps, car il y a pour le moings huict jours
serviteur à jamays
Rousset
de pouldre pour en secourir nous gens de guerre
Rousset et monsieur de Veaune pour cest effect, car aultrement ce
Gibert
de Vallence le cappitaine Mestral qui est patriotte, personnage de merite et fiable à vng
sus mes bras. Je vous suplie les vouloyr recommander à sa magesté, afin
destre adverty que ceulx du Viverays veulent revenir de çà sus lesperance
besoing et sans aulcune faulte qu’il y envoye son vicaire general garny d’ample
A Catherine de Médicis
[barré : dire que depuis la mmort de lamyral, il naye esté en sa meyson]
que qui ne sy opposera vifvement quilz prendront pied
son edict et coment jauray à my conduire. Mais dautant que ce pendant en ensuivant
encores qu’à conserver ceste prouvince et voz subiectz dicelle soubz votre
necessayres [mots barrés sur deux lignes dont : ayant faict monter et mis au dehors la cavalerie
autant au sieur de Lestang et me ferez incontinant responce sur tout ce que
de neufville secretaire
executions de voz commandemens que je me suys esforcé faire en leur
que ceste cy. Je vous ay adverty, syre, par mes precedentes
le gouverneur et lieutenant general dicelluy, affin quil les envoye recevoir.
advertir le gouverneur et lieutenant general dicelluy affin quil lels envoye
[179] le commerce a cessé, le malheur et pouvretté
relevez suyvant les asseurances que nous en avez par plusieurs fois donner par voz
« A monsieur, monsieur de Montbrun ».
ces presentes que si lesdites partyes presentes ou appellées
des ministres de sa saincteté et ne les recepvoir à aucunes remonstranses
Allex : VIm pains IIII p. v.
se sont contenus sans prendre les armes, on scayt quon
estoyt differé et que fussions poyés moys pour moys, les
des villages comme ilz faisoyt auparavant
oppignyon ny catholysez auditeurs desdits comptes et que
et sil vous plaict mescrir aulcune chose faictes que soyt en
arbitres, tant de leur part que de celle de monseigneur le marechal, comme
jen auray le moyen
du quartyer della la Dromme (et chasteau de Bordeaux
Votre humble et obeyssant serviteur
donner
roy et de vous, auquel je vous veulx demeuré très humble
serviteur
edictz de sa majesté et quil eut doubte que là il n’eust receu quelque
de Lacoste
moy, vous y seriés aussi assigné pour le passé et pour ladvenir,
faire service
teur à jamais
pays par ce que vous en rapportera cedit porteur
daller à La Terrasse demein
leur fault dheure à aultre et
vostre parolle, je scay bien que quant bien il
Blanieu
Votre à jamais très humble et plus
coment ma dit celuy qui le pensoit.
particullier notre père et notres, en priant le Createur vous
et fault que je vous dye que ces façons de fère recherches
de plus pour la faire randre à sa [barré : me] femme.
requeste dernier escripte et la supplyer très humblement
alloient à Valence pour le compte du sire Jehan Bernard. Le sire François Rosset
pour ce qui conerne votre gouvernement et votre.
cella advenant, les ennemys feroient paier tous les arrerages
en Allemaigne à cause du passaige de Pologne. Sa majesté peut estre
[55 v°] de ceulx qui pretendent laditte exemption et promet de faire bien toust ung
desmanteller, jen escriprois tout aultant à monsieur le conte de Bouchaige auquel
en bon estat de sa santé, comme je prye Notre
advoiés. Jentens quil y ha des difficultés. Je nay encor[e]
au devant audit sieur de Mombrun comme ce luy sera grant honneur destre lieutenant du gouvernement de
monseigneur, vous donner en santé, longue et très heureuse vie. De
que lon a veu esclorre par ce quelles avoyent jà long temps
B : olier
j[ours ?] à Paris doù et peult estre avant que partir [ ??]
de garde pour, en mon absence et le grand domaige
par la prudence et vigillance duquel,
grande craincte. Sil vous plaict donc, monseigneur, pourveoir [à telz ??]
comandementz tant que pourra dans la
est en chemin pour venir ici vous heussiés heu plustost des mienes
de recepvoir la bonne volunté que jay de vous fère toute ma vye
recommandations à vos bonnes graces, pryant
Votre humble et obeyssant serviteur
queur que je vous bèse les mains très humblement,
cappitaine Curebource, lequel mavoit promis de ne
mal quelle qui me faict pencer quil y aist de la
vous presenter mon très humble service, priant le Createur,
que ce ne sera rien. Monsieur de La Garde est
Jehan de brunel
et à lun de voz secretaires de me fère part
et à lun de voz secretaires de me fère part
que sa magesté les envoyoyt.
guerres, ayant tousiours preferé mes petis estats
fère servisse à jameys
me trouver au service de la quaranteine de feu madamoiselle de
ville. Je me suis pancé vous remantevoir encores par ceste
monseigneur, quil vous donne en santé longue et
tenir incontinant,
si mes lestres ne sont ecrites de
mille lyvres,
XIIIme fevrier 1574.
ung fourreau et fournimens, ilz sont rière monsieur de Merieu,
en ce monde et daussi bonne volunté que je supplie le Createur
se XVe febvrier.
que le lacquays sejourne pour cella.
par le menu tout le discours que je deslibère vous faire sur cest article # [# je le remetrays] à mesme que jauray ( ??)
sans faire aultre sejour, ledit Garach sen
coctes, ma faict constitué prisonnier jusques
Monseigneur, après mestre très humblement recommandé à votre bonne grace, je
icy ung jour de la sepmeine pour voir ce qui se pourra
que les Suisses y honnt aportés et fait la gandermerie,
serviteur delanges.
poumon, qui la travalhe et donne la fiebvre. Sa
despuys et durant ceste dernière tresve, ilz mont
les prolonguations,
commandement que leur a faict et aussi ung double de lettre que
Chalhol.
messyeurs deste vylle et moy, nous vouloyr fère tans
Sarlabos le recogneut néantmoins pour courrier ordinaire du roy
retour.
du monde. nous verrons si néantmoins il faudra
ung segneur du païs qui ne veult pas estre congnue, m’en dict amplemant ce
voudra retenir en hostage que la plus part des villes
qu’âme damnée et là dessus allègue des
vous fère très humble servi[c]e,
le duc d’Albe et doubte-on que ce passage ne garde
Votre très humble et très hobéyssant filz et à jamays
depuis quelques jours, il a esté remis mieulx que
aultres ont deffait ung grand secours qui venoit
gectz d’arc hors de la ville. Madame et madamoyselle d’Ourche
les François. Mesme mon frère m’escrit que l’estoit allé saluer, suivant la charge que je luy en
De Paris, ce XIIIe jullet 1572
Comme ancien frère
de madamoysselle sa fillie, mais madame sa fame est preste
et estoit agréable aux parrochiens et fut receu et institué par
Pierre de ponteves
pour ledit propos de Cabanes lofre i est encores comme vous en ferez
que par ci-devant, ilz l’avoient
[fol.44] Et voylà, monseigneur, en bref, la substance
digne, vous regarderiés aussi de nommer en sa place de
doze mil livres, comme je pense qu’il feroit et que
de cette ville et pour cest effaict monsieur de Guyse faict dresser
St chamond
cuydois pas que monsieur de St André vous deut faire veoir
Montoison
couvert de boys qu’on n’am peult aultre chose
et croy certeinement que le seigneur pourchasse pour
serviteurs, les consses de Valcluxon
à monsieur Bellievre. Le cayer présenté par Franciscin
que je naye aresté mandement si elle est
le IIIIe aoust 1572.
tost après j’ay forny monsieur de Montguers,
L’on m’a mandé que Don Johan d’Austrie
très longue vie. C’est de Paris, le VIe jour
contre les catholiques. Cela est une chose politique et
pourroyt être en opinion que je le ferois à cause
vie. De Parys, ce VIIIe jour daost 1572
cherissent le jour de La Madelène. Le
gaigner que le temps à tout événement. Monsieur, si
obligerez tous à vous faire service. Quand monsieur
sur vous, ce que avec supportation vous pourrés trop mieux faire
de faulcon volle bien. Ce pourteur est
n’en eussent point faict de mandement sans l’auctorité du roy,
monsieur le president Bellièvre [barré : moy] et ladvertir
[barré : la] veuille maintenir longuement
ne se trovent comodités les anvoyer sy tost. Sy je ne
madame d’Hourches que m’a faict cest honeur de
soubstiendra notre cause. Je le voys prier,
plait par vous premières nous en donnerés advis.
d’Ourange lha ung peu deslogié pour faire
après soupper, sans luy declérer loccasion quy me
qui n’avoient point des canons. Ladite armée turquesque
Notre Seigneur qu’il vous veulle donner,
à La Nouvalèze avec aucune troppe. Je m’enquis de luy,
Monsieur que en parfaicte sancté vous donne
Monsieur, vous donner en parfaicte santé longue et heureuse vie.
en sera quitte pour le mal et sont fortunez
frere d’un ministre de la nouvelle religion, lequel fructifie de fasson, par
de Dieu vous aurez occasion de vous en contenter. Au reste,
n’estoyt emprisonné pour aultre faict, neantmoingtz
les gentilzhommes fuyoint l’habitation des villes, faisant leur
sont en ces cartyers, Dieu graces l’ons y est en grande paix et
Je vous supplye, si avez
durant mon absance pour ce regard, si ne veux- je pourtant bouger sans veoir
les fayre entretenir en plus grand nombre si jen ay besoing.
que je scavoys assés votre volunté estre toute contrère ; d’alieurs
Tres humbles recommandations et supplications de mon frère
est de provoir aux escoliers par cartiers et en
porveu, et de prandre la peyne d’en scripre à quelques-ungz
G Deportes
nous arreirages et pour nous fère restablir
leur meschante obstination, n’ayant jamais volu, avant
a usé.
audit procès, que l’on extime de petite importance et occasion comme
Toutesfois, monsieur de Biron escript qu’il est après
jen ey peu comprendre. Ladite dame (barré : comte]de Grinhan et ledit sieur président
aquet et Besson paié, m’ayant proumis de metre en
Voz petitz escholiers se portent bien. Je présente mes très humbles
Monsieur, en santé, contante vie. De Paris, ce
ilz sont de présent et ausi sont mesieurs d’Apt, de St
Je crois scavés bien que c’est le sieur
en bonne et parfaicte santé, très heureuse et longue vie, avec
Votre humble et hobéissant serviteur
les raisons que vous pouvés bien penser. Je vous envoye
et oultre cela il seroyt pour vous faire service en toutz les
De Paris, ce premier décembre 1572.
et suportons. Que sera la fin, après avoir prié Notre Seigneur,
de vous voyr pour vous dire de choses
Montoyson.
à vous faire service
saisie et surprise avec le temps par faute des forces
vous eytes sensé et garde honte
Sernin et à moy. Il n’oblie aucune raison, monsieur
violentent leurz consciences ne me meuvent en rien. Un
jours, je verrai que ce sera et vous donrrai de tout advis.
il est à présumer que si la luy estoit pour la bailler
humblez comme de bon cœur prye Dieu
chose que je n’ay pas sceu facilement et ey dit et escript, respondant à cela que puys
est près de Gordes, dépendant de son abéie de la
ne continuer plus le propos de venir mays nous parlés du tout point votre
Qque avés entendu comme le roy luy a donné pouvoyr de faire encores
de Bouqueron et Bouffin, et me promecttent que n’y
du courtautpie à la selle toutes et quantes foys que
Ludovico Birago
qu’à soi mesme ; mesmes quand il se sentit blessé,
On ne scait encore si l’enfleure se résouldra ou si elle aposthumera.
où ceux qui commandent ne font aucune mention du roy, comme es
fit l’année passée en les obliant, et escrire aussi pour
en obtiendra assignation ; estant bien d’advis
besoin de prandre l’allarme trop chaude, quar jestime que si grantz princes ne
biens desdites Argond, Mathieu Gabet, Chausson, Pothon
madamoiselle Dabene du IIIe de ce moy. Je presente mes
en ces cartiers desquelles peult estre nestes adverty
à tous propos à de paouvres gentilhommes qu’ilz sont bien
1573.
son honnor sauve. Je prye Dyeu luy pelse
le XVme du prochain au plustart. Au moyen dequoy, je vous
acquereur du sol principal et de loiaulx
vous plaict quelle ne fasse aultre mention que de votre arrivée le dit dimanche au dit Valence et à moy
à votre bonne grace, priant Dieu de vous donner,
amy Henri de Montmorancy
est dans la vile et parle lons diversement de
playt à celles de madame de Gordes, et prieray Dieu vous
là dedans, mais je ne pance pas que ceulx
ravange de leur maison du dit sieur de Vains, mays non pas faulte [sursoir]
avoir de vous nouvelles et de Provence quon desire bien fort. Monsieur
votre commodité le permettoit descendre sabas,
me voir en moyen pouvoir avoir mon congé et
recherché avec le capiteine Maires les
le tiennent en façon quil na moyen de faire ny bien, ny mal.
ce pays. Messieurs les consulz m’aviont prié de recepvoyr
Le Mestral
qu’il ne rechercha plustost le sejour et la garnison
amy H. de Montmorency
ne l’aye bien tost. L’on verra ce qu’il en porra
de tant me favoriser de bailler ladite
de l’advertisseur. Au surplus je ne comprens pas qui peuvent estre ceux qui i dressent
voy bien par ce quy est escrit sus la couverture le temps qu’ilz sont receus en ce gouvernement et vous puis asseurer que depuis
ce 8 mars 1573.
et recomandns du tout à votre bon plaisir
hommes que me prestent les consulz
que tant vous savés qu’il ne falhira vous parvenir voyr. La compagnie
d’entendement et ferés les choses à l’oreile. Et n’estant ceste pour autre je
bon que vous escrivissiés ung mot au chevauche[u]r
si Dieu par sa grace n’y mect la main, auquel en cest
plairra m’escrire voz bons plaisirs, ensemble l’estat des gens de cheval et
en ayde.
que ledit seigneur de Laugières se sauva et ne fut le secours quon preparoyt
Le Mestral
silz en avoyent besoing. Quand à la garde, le
leur seroit une fort excessive despence.
chacun avec sa compagnie, je ne len pouvoys justement demectre pour ledit d'Areret
que je puisse estre secoru ; et en cest endroyt etc ..., du Crest le XIIIe
quon leur donne que Saint-Roman doybt venir aveques quelques forces du
pouvoir et facultez requises en tel cas et pour representer le lieu de son archevesché.
Madame, pour lesperance que jay quil vous plaira veoir et considerer tous
Particulièrement je le [mot barré] feray me le commandant et ce pendant
au bon païs qui, ses jours passés sapprochèrent de Grenoble
voz commandemens, je me tiens le plus fort et que ce nest sans bien grande
hobeyssance avec le moingz de foulle et de charge que faire ce peut,
dont Mirabel] luy dousième sortit, abandonant le reste et
dessus, pryant Dieu, monsieur de Gordes, vous avoir en sa sainte et digne garde.
endroyt, etc
despeches quil ne [barré : se trovera] proviendra aucuns deniers, ou bien peu, de la
Pareillement, me manderez les noms des compaignies et de celluy qui
recevoir ; pareillement, me manderez les noms des compaignies et de celluy
de ceste sayson non encores veuz ny
lettres. Il est à craindre ung grant desordre à noz trouppes, auquel il est besoing
ou leurs procureurs pour elles, il vous appert
quilz nayent satisfaict à se poinct.
Heurre : IIm pains III p. v. – forny : IIIIc pains I charge vin [marge gauche : sans acquit]
[203 v°] veoyt assés que le temps du jourdui porte que ceulx de
habitans destenille seriont antierement ruynés et la
et neaulmoingz, que encore [ajouter : que] ladite compagnie
quant audit Mondon Callamand, ledit Loys Taupenas a respondu
excrivant à monsieur le precheur par le moyen du quel je pourray recevoyr
je croy quil sera espedient quen fassiez de mesme en Daulphiné pour y
et principalement
ausquelz je ny puys toucher)
Jehan de Brunel
monsieur, en très parfaicte santé heureuse et longue vie.
serviteur daussi bon cueur que je prie notre seigneur,
de lacoste
indignité, dont sa majesté eu peu estre desplaisant. Or, monsieur,
Monsieur de Montienges ma prié [barré : vous] saluer voz bones graces de ses très humbles recom
mais de lung on pourra venir à lautre. Il est vray,
ane maugeron
de simmienne Alleman
matin charger sèze des
pour les presser de travailher encores
auroye traicte quil vous mist en sa place
Affecioné frère et serviteur
donner
et presentations si exquises semblent doner quelque argument
Monseigneur, je me recommande très humblement à votre
vouloir, à lhonneur de Dieu, leur pourveoir à ce que les
et Marconis sont en ceste court pour leur appoinctement, mais ilz ne scavent bonnement
Monsieur d’Anbrun est sur le poinct de partir [pour..]
que seroit une double folle au pays. Ilz ne seront pa si bien
advertye de tout ce que y passe. Neantmoins, si de ma part jen puys
reiglement general au soulagement des pouvres tailliables parce que mondit
appartient laultre moytié. Et actendant sur le tout vous commandemens pour
Seigneur,
peu scavoyr si laliance de ceulx de Genève ha esté [barré : conclue]
sa province, veu les grantz retranchementz [barré : qu] et casseryes quil ce faict sur la gendarmerye, quoy que cest,
Grenoble, ce IIme febvrier 1574.
conue de quoy monsieur de Bazemont nen sera pas trop ayse
vous feray autre depeche et trouvant avec monsieur de [Chastellart]
quy pourroyt estre en ce pays si lennemy sen fust
et avec notre dilligence et soing, nous
suyvant votre bonté naturelle delaquelle avés tourjours uzé envers nous, [nous]
forme entreprinct. Je avoys desià
nheust esté latante susdite. Je ne scay par quel bout commancer
bien humble et affectionné service et cest daussi bonne volunté que
Dieu,
à jameys Jehan de brunel
priant le Createur,
bouger de ceste ville ; et le lendemain, sur une heure
contaigion. Toutesfoys, ce froit là pourroyt labatre. Elles
monseigneur, pour vostre très longue et très heureuse vye.
ici despuis deux jours, lequel ma dit quil faict
de voz nouvelles. Surce, je me recommande
de voz nouvelles. Surce, je me recommande
Comme il estoit impossible les employer en
et mon plaisir. Jen attens responce.
claude de St priest
Caseneufve que feust faict lumdi et après pour me resouldre [comme ?]
de se quaultres foys vous avois escript de la demy monstre
très heureuse vie. De Guilhestre, ce XIIme fevrier 1574.
mesmes à ma damoyselle
ma mein, car la debilitation an quoy
tout ainssy que
Votre très humble et aubeyssant
auquel le cappitaine Curebourse les remist lors qu’il fut constitué prisonnier,
vous donner,
Votre humble à vous fère service
destre auprès de vous, par ainsin me contenteray de vous dire que du cousté du Pontays et Espenel.
est retorné au present lieu de Grane,
à payement dicelles ; et ne sera sans grans
prye Notre Seigneur vous donner en santé longue vye. De Grenoble, ce
faire à votre verification de Grane. Le jour que je
leur ayant assés fait paroitre aussi combien les
filhe nen ha pas esté exempte mais ; Dieu merci,
apourté tous mes bledz à Nyons et prins tout ce
Monsieur de St André me demanda à mon arrivée ung pacquet de Provence.
je feray tousiours
manda monsieur de Uriage au cappitaine Ferrus. Fesant fin par
de byen que de nous accorder le nombre des soldars cy
Philippe par la court duquel il disoit avoir passé et pourtoit de ses
faire une présentation au privé conseil suivant le
qu’il en pençoyt. Cela seroit long à vous écrire. Il me dict que la royne d’Escosse
de Flandres se déclaireront pour luy s’il les veut
exemples sans sourtir de Grenoble.
vous suppliant ne m’oblier s’il vient
monseigneur et madame de Lorraine de venir aux
serviteur.
jamais ; et Le Ga a bien peine à se garder pour
au duc d’Albe, tant d’enfanterie espagnoles que
allèrent coucher vendredy à Sainct-Gervais
avoys donné, ledit sieur ambassadeur luy offrit tout plaisir et faveur pourveu qu’il ne passast
Votre très, humble serviteur
G. card. D’Armaignac.
à luy en fère bien tou hune aultre pour les consoller. Je
mondit seigneur révérendissime, mais, estant intimidé par lesdictz Gallifetz, n’osa prendre
Le cartier de St Severing vend le blé
asseuré qu’ilz n’avoint rien de ce costé comme ilz
de tout ce faict. S’il plaict à votre seigneurie,
tiers président quelque homme capable de telle charge ;
touttesfois j’estimois que pour le contentement de la
quinze compaignies de chevaulx légers à ce que l’on dict. Comme qu’il en
la lettre que jay escritte à monsieur d’Allières et vous prometz
Monsieur, l’on dit pour serten con [a…
descouvrir. Monseigneur pour excuse, je alleguerey
lautre en estant importuné et se proumetant avec
et de leur commendement
est principalement contre la cour de parlement,
mandée bien soubdeynement, elle ne pourrey
Votre plus afeccionné à vous faire servise
juge ordinère dudit Piegon et tenant le lieu
est party avec l’armée de la Ligue droit
d’aoust 1572.
une question civille sur la dispute de laquelle je ne
de leur dit desusion. Vous me donrrés sil vous
Vostre très humble et très obeissant
ca[r]tier de Cabrières paia à Madamoiselle
vous trouvés bon par le paieur de votre compagnie ou
du Monnestier fust icy, il ne men parla point.
en temperant vos responces et remonstrances de toute froideur ;
celluy que ledict courrier avoit mis
ny le roy sans en advertir son lieutenant general ; et que s’estoit ung
de ce retour de Michallon, mais je nay par
Votre bien humble et obeissant frère
cregnoys estre importun, je vous supplieroys me donner
menvoyer ce laquay pour entendre de voz novelles. Je suis
Monsieur, vous doner, en santé, heureuse et longue vie, sa
Nous navons pas oultre la maison de mon dit
plus comodément vuivre son armée, atandant
menoyt ausy ne faisoit monsieur de Langes par celles
et celle de la Ligue se sont descouvertes le XVIIIe
Monsieur, en très bonne santé longue et très heureuse vie.
entre autres choses de la victoire de laquelle je avoys
heureuze et longue vie. De Montorsier, ce XXVIIe
De Carmagnolle, ce XXVIIIe septembre 1572.
de mariage. Je me recommande bien humblement
ces sainctz et doctes sermons, que toutz les catoulizées de ce lyeu disent qu’ils n’ont en
il y a environ dix ou onze jours que les soldatz de ce lieu,
pour satisfaire à voz commandementz je ne lairray
demeure en leurs chasteaus et maisons aux champs, la pluspart
tranquilité. Dans la lettre escripte d’aoust, y avoyt ung bilhet
aulquune chose de nouveau,
les affaires et le temps bien à propos, ce que je remectz à ce qu’il vous plaira
Je vous promès par Dieu, Monsieur, que je ne scauroys choizir en
que si aynsi estoyt, l’on n’en se feut adressé au vibaly, et s’il
Monsieur le prothonotaire qui est venu ceste après disnée voir
sorte que le maistre n’aye à se plaindre ; et est
de vous amis que puissiés vous y povoyr servir, et fauldroyt
Voyant qu’il ne se presentoyt messager et que les postes
avec votre faveur à nous estatz acoustumez,
les premiers troubles, obeyr ausdits arrestz de la court ;
j’ay entendu, car je ne puis moingtz fère pour maintenir mon honneur
à le moyener. L’on en dit autant de ceulx de
me prièrent aussi tout en parler. Vous pouvés croire que je n’en ey rien
mien home avec ledit Besson qui fournira XV jours après
recommandations à votre bonne grâce et de celle de monsieur de La Roche. Je prie Dieu,
XXV novembre 1572,
Scerin et de Cabanes. Je suys au reste très aise de l’arrivée
St Anais qui a sauvé St Romain à ce
augmentement de votre estat, honneurs et dignitez. Du Buys, ce
P. Durre Evêque de Viviers
la copie d’une lettre de Beze que l’on fait courir par les mains des
endroitz que vous le voldryés employer. Monsieur le conte de
Votre très humble serviteur
Monseigneur, vous donner en bonne prospérité et
que je ne vous peulx escripre. J’atandz monsieur de
de Cadenet
et moyens que vous avez tant demandés au roy, si est-ce
sy le choses ne vennent comme
et croy vret tous les dangiers en quoy ie porrois
seul qui creit à Dieu est plus à estimer que une infinité
L’ons parle diversement dudit voaige de La Rochelle,
à ung aultre ou qu’il vouloist en faire quelque réserve,
Monseigneur vous donner en bonne sancté longue et Heureuse vye. De votre humble
que cela estoyt vrai jusques icy que monsieur le mareschal en auroyt heu
Chèse-Dieu et pance s’arrante cinq cens lt et me
présence et avanceroit plus à nul aultre. L’on m’a dit que monsieur le
Deux milles Corsses et que Viard, secrétère de monseigneur le
aura que l’attente ; je vous promects que si se fust
nous voudrons. J’avons achepté ung pavilion de damas vert
il dit que c’estoit lui-mesme qui c’estoit fait mal,
Il y a six jours qu’elle tient le lict, mais à présent sans
troubles passés. Et là-dessus, je vous veux bien doner un advis,
votre particulier au roy, à la royne sa mère et à monsieur
qu’en esripviés à leurs magestés. [barré : Je] Nous n’avons veu
marchent pas à poinct nommé, et que sera beaucoup silz partent au commancement de
et procedures sur linquisition des facultées desdites Dubois
très humbles recommandations à votre bonne grace, priant
Votre plus humble et obeyssant à vous faire service Parys
ayses daller vivre sus le bon homme quil bende
Votre humble serviteur
[suite 101 v°] [barré : ayant mis ung autre cappitaine et sa compagnie] dans Valence, ayant
conduyre le tout à son honneur é g[l]oyre, é vous
prie de votre costé donner ordre que lesdites deux compaignies
coutz et mises
commandement de vous y aller trouver ce dit jourt. Je viens presentement de recevoyr ung paquet de monsieur
monsieur, longue et contente vie. Cest de Soleure
son intension. Le temps nous en rendra assurés. Il
donner,
de la vile se fient entierement de lui. Cest
[152 v°] aucuns. Je croy quil en sera demain depaisché. Lon en a aultant faict
Besson ma escript comment mon nepveu et tous ses
je pence quilz romproint de dessaintz quilz ont
m’approucher près de vous pour vous y faire le service
moiens quon a à tenir pour la garde de
Il fait la forteresse fort grande, dict que le comte de Montgommery
de ceulx qui sont catholizés à la garde pour les mesler
Les huguesnos font corier
que la guerre et ^ [^ scachant] qu’ung cappitaine du pays fera plus [barré : avec]
estre, de quoy je vous dirrey et de toutes choses
au porteur monsieur Mitalier
ce jeu. Ce malheur n’est que trop commun aujourd’huy d’embrouiller le service du roy
Pierrelatte jusques à moy [barré : p] lesdits paquetz ne demeurent que quatre
Votre très humble et oblygé servyteur à jamès
[256] et s’il vous plaist d’escripre à la court pour
d’Exilles, vous suppliant très humblement
de monsieur de Maulgeron couche à nuyt à Montmeran et comme
me recommande etc.
de Lyon pour vous faire tenir seurement nos lettres.
endroit après m’estre recommandé à votre bonne grace très affectionnée,
gens de pied pour l’observer de poinct en poinct et me pouvoir conserver
Monsieur de Langes me vient de dire comme monsieur de Mandelot
assés à temps pour regaigner ladite vile qu’est demourée en la puissance
jour je faictz faire trois corpz de garde à la
que est estrangier, sans mectre en grand jallousie et meffiance tout le peuple,
davril 1573
costé de Genève et Berne " [marge gauche : " suivant ladvis que votre magesté en a eu et quil vous a pleu me fayre me fayre entendre par votre despeche du IIe] et aussy que ledit Saint-Auban est blessé en troys ou quatre
Je luy en escris ung mot que luy ferés tenir et ladvertirez encores de ce que je lui
les poinctz et articles contenuz en la lettre que jescriz au roy, je ny feray autre
[barré : près de Grane, mays à cachettes et sentant venir monsieur le ma]
et rompirent le chevalier de La Mothe et sa compagnie qui cestoyt
despence au pays. Je supplie très humblement votre majesté pour le soulagement dicelluy
qui doibt estre la fin et le but de toutes bonnes et louables
quelques gardes quon y sceut fayre, tant de cheval que de pied,
Escript à Gaillon, le XVIIIe jour de juillet 1573 .S.
commission que il vous a pleu envoyer pour lalienation de la
y commandoict, et comme elles auront vescu. Cest ordre estant
qui y commandoict et comme elles auront vescu. Cest ordre estant bien
ouys de memoyre dhomme a mis les
remedier et nous advertir par ce porteur de votre intention et volonté, estant davis
dudit procès et aultres choses susdites audit cas
Qui sont si pregnantes considerations que sadite magesté sassure
Vallence : XIIm pains VI p. v. – f : IIm IIc LX pains
notre religion qi pensseront fère les sages en tempori-
plus grand partie diceulx ceroyt contrainctz habandoner
[212] fut payée par ledit comissaire, quil fut aussi permis
que luy et ledit Jehan Aulbert, auditeurs desdits comptes avoyent
voz lettres [barré : je] ; et daultre part, je vous advise que monseigneur d’Ambrun
regler lesdictes contributions , et croy que mondit seigneur le marechal
en chose sy equitable
Des bains de Lucques, ce IX de aoust 1571
monsieur, vous donne heureuse prosperité et longue vye.
ma femme nest peu venir en ceste vile tenir compaignie à madame de Gordes
voyla sommairement tout le discours de notre petit voyage. Je
mandations et vous dire [barré : que] le desir quil a vous fère très humble [barré : de] service.
monsieur, que vous m’avez escrit à mon autre voyage
Deppuis ma lettre escripte, il est venu icy nouvelles de Venise
Je prens cent escus en or du seigneur Arnolfini
grandz banastes pour apporter
quile ayent faict et font fort bien
il ny auroyt poinct de lodz, mais sil y a une
De simienne
monseigneur ce que plus desirés. De Briançon, ce XVIIIe
de croire ce que aucuns en voulu dire que les
bonne grace et supplie Notre Seigneur quil vous done
foulles et oppressions que ses pouvres soubgetz desdits
ce quilz en doivent experer pour trouver ledit sieur de Montcal du tout inconstant
della assés mal satisfait, dautant que estant le roy à
[v] traictés comme en la France, si est ce que je croy que il ne
entendre quelque chose, je ne feray faulte de vous donner incontinant
sieur de Limoges ma dit : « je nay pas grande esperance pour le compte de la
cest effect, je vous diray seullement, monsieur, que à mon retour, jay treuvis
monsegneur vous y voulloyr maintenir en toute prosperité.
arrestée. Il y ha ung article assés difficil que demandent
ni quoy quadvienne. Je marreste à ce que ledit sieur de Chastellart vous escrit que toutz les grandz et
Voz très humbles et obeyssans serviteurs, les
si jà il nen prins asseurance de la damoyselle
comodité surce, vous manderons la response faite aux [caier]
saisi ; et voiant la paouvreté et le dangier de quoy
sperons en Dieu de conserver ceste ville
vous demeureront à jamès très humbles et très hobeissans serviteurs ; et [priant Dieu]
asseuré ung bon nombre de soldatz en
descripre en Prouvence à messieurs mes frères avec mes plus humbles
je presente mes très humbles recommandations à votre bonne grace,
monseigneur, vous maintenir en sa saincte
monsieur, vous conserver heureusement en très bonne
après midy, il treuva moien davoyr ung cheval et
sont toutes deux bien fort malades. Je remetray à vous
Ambrun, ce IXe febvrier 1574.
adviser sil pourra ici quelque chose pour vous y en estre ;
très humblement à votre bonne grace et prie Dieu,
très humblement à votre bonne grace et prie Dieu,
Daulphiné pour lextrème [barré : famme et necessité] necessité
ce quil auroit à faire quil vous dira, sil vous plaict lescouter et
que fus contrainct payer à mes soldatz au mois de
Votre très humble et très obeissant
de Sainct Prie que vous faict responce
je suys me linterdit. Monsieur de Brunet
de leur volunté,
servyteur La thivolliere
qui n’estoit en ceste ville quand ladite sentence fust donnée et n’est encores
monseigneur, en parfaicte santé, heureuse vie et longue . De [barré : Val] Grenoble,
sassenage.
Votre humble et obeyssant serviteur
ilz nont point de gens de cheval aussi ne sen sauroit ilz guières servir pour ainsin la guarnison de Crest
lesquelles choses susdictes, ledit Arnoux
fraictz et despens à vousdits povres subjectz, et
XVIIe du matin 1574.
partis de St Germein estoit le jour suspect de la fiebvvre
dit Suisses vous y honnt estés inutilles ou, pour mieulx
elle est presque guerie. Nous comançons à entrer
que javoys à Rouzans, qui me vouldroyt mieux avoyr
Je dis que nen avoys poinct veu. Je ne scay si monsieur de La Coste
ce quil en ordon
mes très humbles recommandations à votre bonne grace , priant Dieu,
mencyoné, car aultrement mal eysement ce lyeu
lettres, nous dist qu’il ne s’estoit aucunement apparceu que les garnisons
renvoi de ladite cour de parlement de Daulphiné.
se portoit fort bien et qu’on l’a changée du lieu là où elle estoit, pour estre
advouer et qu’elles voyent marcher une armée.
quelque chose.
nopces de Madame. Monsieur d’Hourche est
Hourches
quelque picque qu’a heu monsieur de Mereu contre
d’argent et n’ayant de quoy vous fère la présante
et pence que suz la Magdeleyne, madamoyselle
oultre, l’asseurant qu’il advertiroit le roy du nom de tous ceulx qui accompaigneroient
So de Boczosel
croit que sa couche latirra en France. Je vous diray
possession car le propre jour qu’il fust institué curé, fust rencontré
noveau XVI ff [livres tournois] la charge et XIII la sègle
n’avoint heu, mais que puis peu de jours, on le leur avoit
estant le procès instruict, avant le jugement
voz services, despenses, attentes et fraische
companie, les viballys sont mieux en leur bailliages
soict, monseigneur, si le voyage est rompu, je m’asseure qu’une infinité de noblesse qui est icy ne sera une aultres fois si prompte à partir au premier bruict qui viendra. Quant
monseigneur, que je tiens monsieur de Laval déià si sage et
pyer par la folie ce que personne et je le ...
ung proverble des bonnes gens, c’est qu’il
tout le parti de lavoir, et tout à leur devotion,
[paraphes]
où il conclud à avoir une chambre pour les causes
estre preste come je desireroys et ne vouldray
Mandelot
de vy-bailhif comme plus entien advocat du Buys,
en Levant, mès cest avis n’et pas trop seur.
Vostre bien humble et
m’estendray pas plus advant ; aussi ne peut-elle avoir
plait sur ce ung mot dadvis que jauray pour comendement.
Serviteur
les IIII C[ent] livres dues à Madame de Gordes
autre vous faire fournir cinq ou six cens livres à mon
Je pense, monsieur, quil sera allé recepvoir voz
et ce faisant le cueur me dict qu’avec layde
en prison, qui vous ferat entandre comme
grand scandale aux bons subgetz du roy d’ouyr parler ceux de
qui.
Baptiste de Simienne
ung hoyseau.
esté bien fort aise d’entendre des leurs, lesquelles Dieu
grace. De Grenoble, ce XXXe d’aoust 1572.
seigneur de Guise faulte de maisons proches ici
ausy ung ranfort de IIII m[il] chevaulx qui luy est
quil [barré : luy] escripvoit à elle et au sieur de lieu
du moys passé de sy près que le seigneur Marc
D’Ambrun, le XXVme de septembre 1572,
escript à monseigneur d’Ambrun mentionnée en votredite lettre, et
sept[embre] 1572
Votre hunble allié et
à votre bonne grase et vous demeure à jamès
[14] leur vye ouy ung si suffisant homme que luy, pour la suffisance duquel je respondroys quil
sentans la ville en alarme, monterent sur la muraille et
de le faire representer en l’estat, et au premier jour, je
desquelles sont tres difficilles à forcer ou à surprendre ;
me faisant entendre que vous havés ung homme en main que vous
de m’en faire parti
men commander. Vous suppliant, Monseigneur, pour fin de la presente, me
tout ce lieu trente hommes de qui je puysse tirer service
eut ceste charge, il eust très mal faict de ladecovrir qui n’estoyt
le petitz mignons et damoysele mesdits seigneur de
plus raisonnable que l’argent séjourne entre ses
que ce fut au plus tost. J’en scrips à monsieur d’Évènes, je
ne sont dressées à ceste traverse, j’ay prié ceulx du
[140] et vous serons tousjours de plus obligez et tenuz
que ne se doibt oblier maintenant, voullant continuer
et réputation qu’il a vollu contre tout debvoir et vérité diminuer par lesdites
Sanserre, mais ce n’est pas d’eux que l’ons se
oblié ny oblierey de le tout dire encores que je ne leur feroy
Noël cinq cens Livres tournois que luy ay de mesmes proumis
Monsegneur, qui vous conserve en très longue et
Votre à jamais très humble et très obéissant frère
de monsieur de La Roche en bone sancté et la desire [barré : de]
qu’il m’a dit. Il ne debvoit jamais
XXVIme novembre 1572, en diligence.
huguenotz. Sur ce, après mes très humbles recommandations à votre
Carcès luy a présenté luy-mesmes le mesme traictement qu’il
So de Boczosel
sancté, très bonne et longue vie. De Serre, ce
Rousset de jour en jour yci. Je pence que le
qu’elle ne voulut comprendre qu’il faille entrer
l’antandés pour se vous prye y advisé
estre. Il y a long temps, grâce à Dieu, que ie
de ceux qui se rebellent contre Dieu. Je ne doute pas que
je ne vois pas qu’avant la fin de janvier yl y aie
il donneroit occasion audit sieur d’Aiguebelle de perdre
maison d’Erpière, ce XVIe décembre.
notes et vous auroyt doné advis pour y prévenir et remédier. Au reste, nous avons
vaudrai mieulx paie que de mille livres tournois sur son estat.
conte de Carcès a mandement du roy de fère venir à luy tous les gentilhommes
Mareschal de Dampville est allé à Gênes pour obtenir des Genevoys
esté pour moy, j’eusse plus tost escrit dix
pour le lict de camp de monsieur de Laval qui nous coupte
creignant que ceulx des gardes qui estoient hors des
péril. Le conseil se tient, puis l’allègement de son mal, en sa
c’est que l’on prétend que soudain que les huguenots de ce royaulme
de Villeroy, car monsieur de Sauve yra avec Monsegneur ;
enquores la royne mère du roy despuis sa maladie
ce caresme, il y yra du temps en après à dresser leurs armées, si bien que j’ey
et Lambert avec le bail affermé des immeubles dudit
Dieu,
tantost d’ung villaige trente escus de laultre
Mespieu
esté constreint maccommoder à lhumeur des gens de ce païs.
tenyr an sa seynte garde é portesyon.
me soient envoyées au plustart dans ce temps là et le plustost
le mareschal que je vous envoye. Lartillerie de Lyon et les souldatz qui laccompaignent ont couché ceste nuit
le IIIe jour de fevrier 1573.
ne se parle daucung secours estrangiers qui ne fayt
monsieur, en santé, heureuse et longue vie. Du camp de
monsieur ce que je vous puis escripre de ce
à Ferrier et pour mesme effect. Ceste despesche pour mon regard est
compagnons se portent, graces à Dieu, très bien. Je lui ai faict
entreprins, lesquelz ils ne mettront en effect.
que j’ay toute ma vye desiré faire. Et lors quil
notre ville, avons trouvé quil y a pleusieurs
est chief des forces qui ont comparu sur mer et du surplus
parmy les autres, de quoy je n’ay volu faire sans en
librement entre eux que monsieur
dans une des villes avec peu de gentz que ung mermont[ ?]
proutent[prudent ?] advis. Je vous envoye ung paquet de
de Grenoble
de nos particulières. Quant au seigneur qui doit estre aussi tost que labas que vous
ou sinc jours pour le plus et s’il vous playst commander que par toutes
Loryant
nos six moys de l’annee passee vous demeurerons
nous pardonner ce que cognoissés
j’entens s’en va d’alongue en Languedoc. Je ne les arresteray point
A mon retour de St Leger je trouvès voz lettres
je prieray le Createur vous donner,
dans voz ordonnances. Priant Dieu,
Vous à fait un depesche affin de vous fère entendre comme une
de ceulx de la nouvele oppinion. Je vous remercie des noveles quil
porte, à la place et au chasteau. Jay prié
tellement que nayant icellui d'Areret voulu suivre comme je luy avoys ordonné
lieux, à qui on nespère vie, le vray loyer de son merite ne voulant oblier de
mande quil ne faille denvoyer incontinant et diligemment sondit vicaire in[ ?]
redicte à votre magesté, si nest pour vous supplier très humblement, madame,
je feroys très mal mon debvoyr si je ne vous supplioys très humblement
mis dans un prioré, Monbrun y estoyt en personne
me faire tant plustost envoyer icellui votre edict, ensemble les provisions et
assemblées remettant le surplus à ce que les commis desdits
il ny eut moyen de lempecher quil ne se sauvat, car la
Charles
A monseigneur le prince daulphin item.
plus value de votre dommeyne, par quoy je [barré : tr] vous suplie très
bien suivy, jestime, mon cousin, quil sera bien facille de reprimer les
gardé, j’estime quil sera bien facille de reprimer les insolences qui
particulliers quy avoient moyen de vivre
à ung chacun que nous sommes jà soubz voz aisles et que ne devons attendre
subrogiés ledit suppliant au lieu, droict et instance
quelles suffirons divertir sa Saincteté de seste resolution.
La Bache et Estoille : Vim pains VI p. vin
seurs en ses troubles, seront estimés des folz et en fin
leurs meysouns ; et au cas que le comissaire ne peusse
contraindre lesdits villages chacun pour sa ratte
prins ledit Callamand pour tiers et adjoinct avec eulx pour
prend festes à Lyon que si aviés moyen de promptement liescrire
trouvera bon que vous et le sieur de Montbrun deputés quelques
et que je neusse
Votre très humble et très hobeyssant
De Pierrelatte, ce XXIIIIe aoust 1571
causant quelque [barré : maladie] seignie de netz que a ma fille de La Coste, laquele
l’accompagnay [barré : iusq] avec monsieur le cardinal d’Armaignac iusques
de quelz quartiers puis lan 1567 vous estes en arrerage,
comme le Turc a pris quatre gallères et quatre nefz
et prens pour le reste des cinc cents escus lettre
icy et des armarmes
leur debvoir. Quant aux fromages
foys mys le pied, il se fachera plus de lasiste
jour de VIIbre 1571.
legations dudit cardinal et aultres ses collègues qui
en parfaicte santé longue et heureuse vie. De
mandemens d’Ay et Seray souffrent et suportent cessent
et variable.
réduire le conseil privé à certein nombre de robe,
leur mancquera ne foin ne avoyne, pain, vin, ne chair de moton, danrées
advis. Lon avoyt quelque doubte que si le grand commandeur successeur du
recepte generalle », et me prins garde dans le conseil que sur cest article,
que la veriffication du don demandée par madame la grand de Savoye
A Callaiz, ce XXVIIIe jour de janvier.
les catholiques de Fribourg et Soleure quest que quand
petitz lèvent voz actions, aussi que ne vous donnés pas grant peyne ny peur du contrayre. Je nay point
comis des estatz de Daulphiné
sa maistresse parce quil y a ung consellier de la court qui est
quavions presenté ou pour le moins ung double que navons [ ??],
les povres gens estoient menassés [barré : et] les ay supportés
soubz lobeyssance du roy pour son service
monseigneur, vous augmenter ses graces et vous tenyr en sa saincte guarde. De Crest,
[121] en Piedmont et crainctz que la levée que se faict à Milan
recommandations ; quand leur escriprés, ils recepvront sil vous plait mes
priant le Createur vous tenir,
garde, avec très longue et très heureuse
santé et longue vie. De votre mayson , à Grenoble,
sachemina à La Mure. Mays le cappitaine Curebource
discourir de ce qui pourra succeder entrecy et avoyr
Votre très humble et très obeyssant
hors [barré : desi] lons se promet les necociations ???
monseigneur, vous avoyr en sa garde. De
monseigneur, vous avoyr en sa garde. De
de vivres et de toutes choses que est audit Daulphiné
aussi des moiens que je lui pus donner qui ne lui faudront poinct,
novembre dernier advant que jeusse des nouvelles de
Serviteur à vous faire
à icelles. Elle a gardé sept jours la
me batie tant de vos biens que je suys
il men ont fayct
de retour. Jehan de Vaulx, ung des archers qui a gardé cinq jours
ce XIIIIe jour de febvrier 1574.
à jamays. Jehan de brunel
les peult guarder de guières entreprandre sur eus ny sus leur circonvoysins, comme jespère faire par
a du tout requis actes à moy Predut,
contrainct y demeurer, atendant votre bon plaisir que
Votre très humble et obeissant
du roy, et presque midy quil navoit aucung resantiment.
dire, à leur servisse, nayant soubs votre pouvoir
à lhivert de pardeça et bien rigoureux. Ma dite dame
perdu mille escus. Et actandant vostre comandement,
le sest oblié. Pour le moins, ne la je receu.
nera, car nest
monsegneur, quil vous donne en santé longue et très heureuse
ci ce peult garder ; qui cera tout ce que je vous dyrey
de la frontière fussent renforcées, ne qu’il y eust aucunes garnisons de
Pour ne nous laisser surprendre, faictes que ayons
mieux et moing prisonière, que la royne d’Angleterre luy promet des montagnes
Ilz disent encor qu’il y a ung très mauvais menage
parti pour aller en Lorraine à cest effect.
Je supplie les bonnes grâces de madame et de messieurs d’Evènes et de Laval, de recevoyr mes très humbles recommandations.
luy.
plus longue, je la finiray par mes très humbles
d’Ourche vous yra trouver, de quoy elle a bonne
ledit seigneur marquis. L’armée des Vénitiens est à Corfou attendant Don Jehan d’Austria
encaure ceste, conbien que je croit que la savez, que le Gua
dudit Bonaventure à Grenoble et luy dist en pleine rue que s’il eust
à de montaignars.
envoyé du Daulphiné. Hyer ilz le vindrent trouver
d’icelluy je le vous envoieray et en feray
promesse de vous faire paroistre leur bonne volonté, la
que dans la cour de parlement. Monsieur, si vous
aulx soldatz, il y en ha tant icy ou aulx environs que je ne cuyde pas, s’il
advisé que je nen lestime en avoir besoing. Il na besoing
Cest de monsieur de La Trimoule].
faict malvays donner liberté à foulz et enfens
si je le trouve enquores à la court, je luy diray
de ceulx de la religion, comme elle a esté accordée
falir de mon costé de ce que je pourray,
de sufizantes informations pour mener ledit Guascon
Sy cela est, l’on ne fera rien de cest iver.
affectionné serviteur
raisons ny argumentz bons et probables, sinon pour la partie
Je ne doubte pas que lons ne tache de saider de
de Chapponay
[183] à la St Michel dernier. De ceulx de La Cailhe,
nepveu en ceste ville, me samble n’en seroit que bon ;
commandements avant que partir.
de Dieu l’issue vous sera aussi honorable et advantageuse que le
le tout passe. Je vous supplie très humblement
ladite religion de telle façon et qu’ilz ayent leurs chefz, leurs
De mon voyage de Lyon jay à faire à femmes,
graces soit bonnes. Et ma fille ma escript quelle ha de
Votre très humble
pour sa retrete et non suspectes, mesmes
envoié dune comtesse d’Alemagne à quy si devant
p[barré : our]ar moy. Je nay rien moins an opinion que de
Anthoine Collonne feist mettre en batailhe son armée,
Votre très humble allié et serviteur
m’a dit que pour certain on la tint vraye à Rome plus de quatre
Votre très humble et obeissant
afesionné serviteur
votre plus affetioné
vat du per avec monsieur de Saincte-Foy qu’est estimé le plus grant teologien et le plus digne precheur
descouvrirent au-dessoubz de votre garde robbe nefve sept hommes,
porteray son proces à Grenoble à messieurs les gentz du roy,
et puysque les choses alloint ainsi, qu’il seroit peut-estre
semble seroyt propisse pour regarder sur toutz voz affaires, et que je
tenir tousjours au nombre de voz tres humbles et tres obeyssans serviteurs, qui
de soldatz, le nombre des cathollizés ou à catholizer est de
que l’an dire gare. S’il est aynsi qu’il soyt retiré de rechef
St Andre et mondit fils prendront en ceste se leur plaist
mains ung mois que s’il l’atandoit ung jour. J’ay
m’asseure que vous y employerés de telle volonté que je suys
païs de vous envoyer cest home exprès.
de prier Dieu pour votre prosperité, comme faiz
comme ilz font. Ilz y preschent d’ordinaire en sept
parolles, combien qu’il le nye à présent comme dict est, dequoy je ne
travalhe le plus. Si les ungns et les autres
pas plaisir. Jespère quil le [barré crien] prendront mieulx de moy que dung
faire paié della et m’ayant samblé que l’estoit autant
heureuse vie. De Paris, ce XXIIIe novembre 1572.
De Simienne
[v] de . Par deça l’on m’a dict que monsieur de Sault
faire le mauvais et s’excusoit fort des articles
Voz très humbles et très obéyssantz serviteurs
bone grâce, je prie le Créateur qu’il vous done,
havoyt de feu monsieur le comte. Je vous prye me faire entendre
deuxieme décembre 1572.
maulvais temps l’aura arresté en quelque lieu,
en celle despense. J’ay parlé à mondit seigneur de Nevers
Je panse ne me ferés se tort de
les ai préveu et vois ordinèrement, mais pour cella,
vous et plusieurz mes proches parans ne soyés grandemant
grand moien de s’i acheminer, toutefois l’ons parle
ceste volunté qu’il a de retorner de par deça et de
Votre bien humble et affectionné
Veu toutes lectres de ces comptes qui monte plus de deux cens trante mil
Je n’escripray rien pour cest heure à monsieur de La Roche,
de le nouvele oppinion pour prendre ajuration de luy et se catholiser et
Le passaige desdits Corsses.
lettres à la court que de leur parler, prier et protester
anvyron cent soixante livres, y conprenant la contre souche
toiles ne chargassent ledit Chélègue. Je ne suis
chambre. Le sieur de Mauvissière est de retour d’Angleterre
seront asseurés de la résolution des secours estrangers et qu’ils
touttesfois, vous luy en pourrés aussi escrire car peut-estre
et seray bien marri si n’en puis avoir le moien pour luy
bien le loysir de my randre à temps et à heure. Nayant aultre chose pour astheure ?
Argond. Et surce, attendant vos commandements,
monseigneur, vous donner très longue et heureuse vie.
quarante et cinquante et après qu’il[s] ont faict
Il est vray monseigneur quy depuis troys jours j’ay receu
Vostre mère
se seroit le meilleur. Qui est tout ce que je vous peux mander
passee à Enconne. Je masseure quilz auront ce joudhuy gaigné Avignon.
Votre bien humble et affectionné
esperer briefve issue de ce siège quoy qu’il nous couste.
Nieul près la Rochelle, ce XXI febvrier.
siège où nous ne recepvons point enquores
pour, sil vous plaist, comander quon rende ung pacquet à monsieur
fournir despuis mon partement cent livres de la pancion
Jay adverty les chevaulx legiers du seigneur
vous plaira me honnorer de voz commandementz, daussi
qui ne sont encores catolisés le[s]quelz
d’Angleterre et d’Allemagne de mesmes que on la entendu dallieurs.
advertir votre seigneurie. Ceulx qui sont catholizés
des Adrés sep decleré pour eux
ne scauroit faire avec [barré : plusieurs] beaucoup plus grand nombre.
monsieur La Roche, lequel desire comme il m’escript
puis que on ne peut de moins patience, comme vous dictes, [nisi domus]. Pour le regard du
les postes on mette dessus l’heure de la reception on pourra cognoystre
tousiours plus obligez à vous fere très humble service
estremement
puys que je n’ay aulcung comandement de vous [mots barrés] et aussy que la
du XVIe du passé. Je ne scay quelle response vous
monsieur de Gordes en bonne santé, longue et heureuse vie. Du camp de
monseigneur vous donner en très bonne sancté et longue vie, accomplissement
compagnie descend là bas devers mondit seigneur le mareschal sil vous plairra
vous a pleu me fayre part. Estant asseuré que de celes du Langue
monsieur le viccayre sans quil en face poinct
une des quatre compagnies qui est allée en Languedoc; et sestant presenté occasion
[64 v°] remercier très humblement votre magesté de leconomat
et fondé comme il fault. Quand l’estat de mes affaires de dela et loccasion
faire consideration au contenu dicelle et my vouloir ayder et souvent sellon
[barré : reschal de Dampville, il sen ala dans Privas cheux son beau père]
avecques IIIc chevaulx // [marge gauche : // bons ou mauvays] et bien Vc harquebusiers, où je
moyen pour la monstre de la compagnie de monsieur de Nemours et la mienne,
estatz escriront et produiront plus à plain par devers leurs
nuit, lyssue du chasteau et la haulteur des bledz et le païs
De neufville secretaire
humblement y vouloyr pourveoyr [barré : à la]. Je vous envoye
insolences qui règnent, parquoy je vous prie sur tout que desirez me
règnent. Par quoy je vous prye, sur tout que desirez me contenter, de les faire
à tel estat que sans la vante de
commandemens dautre que de vous. Mondit sieur le conte faict bien tout ce quil peut
dudit feu Guilhaume de Chaste tant que besoing
Et affin de pourveoyr à se que sera de besoing, tant en ledite ville d’Avignon
Marche et Fienssaye : VIm pains VI p. v.
massacrés silz se trovent en lieu au quel Dieu ny
venir, quil vous playse me fère antandre si je puis fère
de nous fornir de bledz et [barré : aude] aultres
le deffault et reffus faict par André Alanson, dudit lieu, disens
et fère entendre come je suis encores dobtenir ayant esteés ces lettres
personnages pour faire ce reiglement sans vous conformer aux expeditions
jamays creu de
à vous faire service
Votre très humble et hobeissant serviteur
lon doubte estre grosse et ne la ausé mettre en chemin ny la laisser.
à Beaucayre. Maintenant je suis de retour en ce lyeu, Dieu mercy,
Monsieur, vous ne trouverés sil vous plait mauvais que
mais voz lettres sont en Daulphiné où, partant de Paris au
chargées de souldartz et de munitions quy prenoict la route
de change pour Naples, parce que lon ne peut
quil fauldra davantage, je nachepterey
la piece.
Votre très humble et très hobeissant serviteur
devoyent aller [barré : aux] à daultres princes estoyent pour
Grenoble, ce XXVIIIe jour de septembre
et les soldatz qui sont à leurs maisons en deslogent
Il semble que lon crainct quelque nouvelle elevation et troubles ès provinces de
lons vouloyt quil prestat seiement et y entrat [p..]
que sont encores icy à honneste pris sellon lannée ; daultres
duc d’Alve eust peu accorder avec le prince d’Aurenge, on eust peu faire verser
monsieur levesque de Paris sémeut aucunement comme ne le trouvant
estoit sus le bureau, et à larrivée de monsieur le president de Portes,
Votre très humble et obéissant serviteur
ilz iront audit Genève pour le faict de laliance, ilz y
receu la lettre que monsieur d’Evènes dit mavoyr escrit du XVIIIe du passé. Jay veu la responce du sieur de
Bourgel
logé où estoyt monsieur de Marcieu et la damoyselle
dautant que monsieur de Sauve a esté absent [s ??]
jusques à present. Mais la petite prinse quavons
et votre, avec deliberation de nespargner
ce Ve febvrier 1574.
pour aller en Flandres ne nous en face escanter
excuses.
monsieur, en très bonne santé, très longue et très heureuse vye. De
vie. De Gap, ce VIIIe febvrier.
se huitiesme febvrier.
[149] estoyt jà dedans par le moien dudit Achard et dung
responce de vous qui me faict supplier le Createur
serviteur
plus desés, mais y arrivant et voyant le cours et
Grane, ce Xe de fevrier 1574.
Grane, ce Xe de fevrier 1574.
sur tout es endroicts où il les eust fallu
Dieu aidant, mais aussi esse tout ce que je puis faire. Il vous dira
la retrancher à cent hommes, sil vous pleisoit comander à
Très humble service
fiebvre continue despuis remise à double
du tout à vos depans an sette vile.
bon sens [sans] les en
[219] Ce jourdhuy, Bonvert ma monstré une lettre que vous luy escripvés
lesdits prisonniers, m’a monstré ung decharge qu’il a dudit Labarre de
Votre très humble et très obeyssant serviteur
ce moyen de nos soldatz pour le conte d’Alleyrac et entredemmont ou ceus de Dieulefit et Poyet de Laval sest entendent ourdinayrement. May si leurs cavallerye vient du cousté de Taulignan ou de Dieulefit,
notaire pour sen servir en temps et
jen suyvrey.
serviteur De Malloc
Labé de Gadagne part dans deux jours pour Pologne.
pièce ni poudre pour ataquer ung coulombier ! Je me
la comtesse me prie vous beiser de sa part humblement
je finerey ma letre par mes très humbles et affectionées
pas reysonnable
vie. De Guilhestre, ce XXVe febvrier 1574.
pour asteure, vous beysent les meyns très humblement,
à votre bonne grace, nous prions Dieu,
comme aussy vous ferés de ses braveurs de parole si vous les avés
Monseigneur, vous donner en très bonne santé longue et heureuse
car, de croyre chascung en cela vous scavés que cest. Je ne
vie. De Grenoble, ce dernier septembre mil Vc LXXII.
scay pour quoy La Roche ne se retire, car il voyt assés quon
Voz très humbles et obeissans serviteurs,
ne demande rien à ceulx qui vivent en leur mayson, observant
les commis des estatz de Daulphiné
la declaration et ordonnance de sa magesté ; quant à vous descharger
Bourgel
de despence, je nentens poynt que vous en fassiés aucune si
cest pour le lard et la pouldre que vous y avés mis. Je vous
Messieurs,
prie len retirer, car le ne puis entendre à qui telle mu-
j’espère aussy fère
nition doyt servir, veu que le soldat ayant [barré : neuf] douze livres
de sorte qu’aucune
[v°] se doyt norrir et tenir munitionnaire. Si vous y alés tous les
chose ne me sera
jours, je nentens pas pourtant que vous entriés en despence