Le Corpus des lettres: lettresGordes

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  • heureuse vye avec tout contantement. A Paris, ce 19 jour

    asseurée. Des nouvelles de la frontière d’Espagne,

    sur mon affaire où il luy a pleu s’employer

    en cour laye. Je suis bien marry de le voir hurter

    ce qui y est extrêmemant cher : trois cens escus, deux cent escus les moindres,

    Les catholiques ne peuvent bien croire telle nouvelle

    ville et canton de Frybourg

    que vous l’ayés appellé maleteste, qu’elle en

    La Casette

    Et longue vye. De Romans, ce XXXe juing

    Serviteur

    apportant le congé dudit duc, pensant trouver le pays

    et heureuse vie, me recommandant très humble-

    despeche. Si je neusse esté envoyé vers mondit seigneur et dame de Lorrayne, je masseure

    Monsieur, vous donner très heureuse et longue

    il y a quelques jours pour continuer leur dessein

    XIIe juilhet 1572.

    de Suze a esté voyr le mesnage que la

    à tout. Le Turcq a envoié à Rome ung ambassadeur pour visiter le filz du Bassa son nepveu

    ie suis demeuré bien vefve. Mon lougis est à la faulx

    scavez, de m’en donner advis, et cependant, je me recommanderay

    mère plus de cin ou six hures en hune fois et feut à Meudon

    XVe julliet 72

    qu’y font les loups.

    et escripvis audit Bonaventure qu’il regardast d’en trouver ung plus

    il y a bien près de trois moys qu’il ne bouge de la

    tionné serviteur

    accompaignés et à leur

    Votre bien humble et obéissant frère

    magestés que je n’aye heu autres novelles de

    myrent aussi la main à l’espée en intention

    Pierre de Ponteves

    pourteur pour la monstrer

    s’acquitta fort bien de sa charge, remonstra à la royne

    rechercha de le prendre pour V m[ille] livres, mais je luy résolus

    à la presente, après vous avoir beysé très humblemant

    en default de cela, au Castel de Mine qui est en la Guinée, ou bien aller

    sur moy. Et en ceste mesme volenté, je presenteray

    font les retifs daller en Flandres montre que la

    vie acomplir d’aussi bon cueur que votre

    vous puisse escrire, supplieray le Createur,

    La Garde estoy mort et ces estatz donnés à monseigneur

    de Chapponay

    Comme veues par la publication que vous en

    sera pour finir la présente

    [v°] de ceste affection, pancés y monsieur pour y donner ordre. Vous savés trop

    de la religion prétendue ne se feroit poinct dans Loriol,

    très humbles recommandations à sa bonne grace.

    Vostre très humble et aubeis

    de monsieur et madame la presidente de Fuveau touchant

    et obeissant à vous faire service

    de notre France qui pourroient ung jour faire service

    monseigneur, je vous escripvis, après la prinze

    Votre très humble et plus

    scai que vous escrire, si ce n’est que nous sommes toutz

    tumber ez mains de monsieur l’amiral, mesmes entre autres

    dadvantage que jayme trop mieulx estre [barré : corf] cortisan

    de Cadenet a eue de la doyené de Tarascon qui vault troys centz écus

    frère à iamais

    [v°] [barré : en la chambre des] avec le procureur du roy en la chambre des comptes

    que sera comme aus aultres lieux :

    serviteur

    de Cabanes estoit entièrement guéri, dont loue Dieu.

    lesquelz se tiennent en peyne parce que

    Vostre plus affecttionné et obeissant

    en plus grands picques et estriver avec ceux qui vous sont

    à Romans pour avoir celluy qui avoit tué

    ilz s’addressoint pour ce regard, et qu’ilz n’y seroint pas les biens

    1572

    convalescence. Ledit Michalon ma dict comment lors

    de Granieu

    cinq prinses et menées à Venise. Quest tout ce que je vous puys

    lettres de messieurs d’Evènes et de Laval du XVe, mescripvant

    tierce de quoy jen suis en peyne si est ce que jay sperence

    aoust 1572

    Ledit maistre d’hostel est monsieur de Lavagnieu. Priant

    Vostre très humble et très obeyssant

    votre bone grace, je prieray le Createur,

    qui y semble estre propre, d’en retirer dextrement declaration d’une

    me dire que quon aye escript de Salusses, les deux armées chrestienne et turquesque ne sestoient encores hurtées et quil me prioyt luy escrire sil estoyt

    comandarent à monsieur de Causerans de laller prandre

    bien à point, cat iay perdu chevaus et

    de mesmes que y aprochant, il vous depêchera

    votre voiage en Provence que premièrement monsieur le

    mariniers, combien que j’aie veu à Constantinoble de

    et qu’il est mort. Monsieur de Rousset m’a escrit

    comandement, que je ne manquerey, Dieu aydant, de mectre

    et mofre respondre diceulx et toutz aultres

    verité, la grandement loué et approuvé. Et laissant tous ses

    Damvylle, lequel est en chemin. (Jay

    serviteur.

    dit sieur president de vielle datte, quar le pourteur d’icelluy est demeuré malade

    et quelque fois y couche ; et sy suis resolu que, maintenant

    prisonnier et luy ayant formé son procès, le procureur

    que bien faict, non obstant sa contenance qui le pourroit

    serviteur à jamais

    La Mote Verdeyer

    à gré, car jentens bien que la prière quilz vous en ont faicte cest pour leur

    croyra votre conseil, que me semble seroyt fort bon, qu’il s’en

    voy recomander bien humblement à votre bonne grace, priant

    [v°] compagnie du sieur Centurion, voyant les affaires bien despozés, je vous en heusse faict

    ordonnerey ; et ce pendent jay mandé particullierement

    De Grenoble, ce XIIe octobre 1572

    en font mestier. Ledit Columbin s’est declaré qu’il retournoyt

    Dieu mercy, ma femme se trouve à present bien se y fortifiant

    compagnie de son aage, ny enquores lit de camp,

    Voz humbles et obeissans serviteurs

    F de Lacoste

    beaucoup plus que alheurs ungne plus inportante pour

    Et pource que, la grace à Dieu, il ne se presente aultre chose qui

    en bonne foy. Il vous plaira aussi avoir esgard

    aux mesmes fins. Monsieur et madamoyselle d’Ourche verront icy, s’il vous plaict, mes semblables recommandations à leurs bonnes graces.

    de toute la valée, avec sa fontaine dedans, où seroit requis

    vye. De votre mayson d’Orpiarre, ce XXVI octobre.

    Dieu vous donner,

    [v] dans ce réaume. Mais à l’antrée, il y en ha heu environ

    [v] que je vous die qu’il men pria par deus foys de me monstrer de sa

    demein en poste. Monsieur Maniquet part aussi dans

    sur cest office. La royne pourtant m’a promis, par vostre

    il y a de la besoigne et que si j’y veoy, j’en

    où ne se parle que d’aller à la chasse et

    en donet aulcune cognoisance, ny m’en mesler que je n’en aye

    Monseigneur. Mon nepveu Baltezar et ses compagnons se portet bien,

    comme nous sommes. Cepandant, n’avons voullu obmetre vous

    dans laquelle y havoit une lettre. Ilz ont mené ledit pourteur

    Votre très humble et affectionné serviteur

    un mot, il m’a asseuré vous en avoir escrit, mais

    Monsieur, en parfaicte senté, contente et longue vie. De Chrest, ce sabmedy matin

    feut ensepvely, personne qui

    H de Montmorency

    Je vous ay à fère une requeste de la part du cappitaine Amblard,

    où il avoit mené plusieurs grandz vaisseaux bien armés

    ce Bas-Gappencès, et par ce moien ne sera trouvé

    hobéyssant à jamès

    grâce, suppliant le Créateur qu’il vous doinct,

    monstré le prendre tout en bonne part. Aussy,

    ma vie acomplir d’aussy bon ceulx que la

    ce bien que de vous tenir bien tost en ces cartiers

    l’ordre que connésiés car vous avés usés

    Votre très humble et affectioné

    A. de Chapponay

    qu’ilz estoint si iniques qu’ilz rapportoint plustost voz déportementz

    maintenant repceue.

    qui s’en alloit à Gargas, ai ouvert votre

    Casaneufve et si je le pouvois faire sans offenser Dieu

    une autre fois bien humblement à votre bonne grâce.

    [v] Je vous assure que je me treuve bien court, et si ne sommes

    mondit seigneur de Sainct Sernin, l’en a prouveu et

    troys jours sans garde. Je ne vous puys escripre

    et prie le Créateur vous donner

    auparavant escript à monsieur de Lenoncourt pour demander

    par la poste ilia bien troys sepmaines que à mon avis vous avés heu le pacquet

    Votre très humble et très hobéissant

    si tost, je vous escriray par le premier d’un discours de monsieur

    monsieur de Laval, sans puis d’aultres malles pour serer

    es lieux qui sont de l’Estat de Millan où on les a départiz pour les refreschir comme

    m’avoyt donné quelque espéranse, mais sur cella

    plusieurs autres, et sceu comme le XVIe ce me semble de ce

    à votre bonne grâce d’aussi bon cœur que je prie le Créateur

    vous avés bien affaire d’assembler les estas de Daulphiné ; et sil en

    Je relenceray assez monsieur d’Hourche de la solicitation des

    que je presente à Dieu pour voz prosperitez et acompagnés

    pourray à mon advis tirer ^ [^ de] quelque ^ [^ partie] assignation car

    Montoyson.

    quy parler, mays comme il est brave gentilhomme chacun tient qu’il s’en sauva.

    de Janvier 1573, de Saint Auban, en la mayson de

    païs et font leurs demeurances en aucunes aultres villes

    le Xe congé de la royne estant dans le lict, mais esperant

    Voutre très humble servyteur

    prye vous donner,

    de bien bount ceur à votre bonne grace et supplierey

    [72 v°] d’aussy bon ceur que je vous supplie me recepvoir à votre bonne grace

    ont a mys quelques garnisons par les villaiges,

    vous ay dict aulx fins que je soye veu de vous

    roy [barré : la porsuitte des communs

    é ausy par l[e]ur lestre. É an set andret, je me

    descenduz par la muraille avec une corde. Je vous prometz bien

    La Magdeleine

    vye et longue. De Ventavon, ce XXVe janvier 1573.

    serviteur Bellievre

    alliené et possedé par les acquereurs.

    Monsieur, si tant est que votre dessente sabas ne puissent estre pour le premier dimanche de caresme,

    et leurs affères en votre bonne protetion, soffrans de

    tant quil y en aura sur la riviere iusques en Aiguesmortes

    [140 v°] s’adoulcissent pour laproche de Monsegneur, chose que sanbloit que

    Votre à jamais très humble

    ce quils aurount dans le [barré : con] ceur [barré : de] de quoi, à toutes

    paie et quelques cappes de gens de pied de marque

    coment lon ma dit de neuf ans je ne lay point veu. Monsieur

    Votre très humble

    et fainct de voulloir venyr au combat. Nous sommes toursjours devant ceste ville d’y

    et soudein en poursuivant les lettres ne me trouvant

    Jay faict mectre quelzques soldartz dans les

    faict on estat, en faire aultant à la gendarmerie, dequoy

    et prions Dieu quil nous y meintiene et nous fasse la

    soixante pièces de batterie, cent enseignes de gens de pied es

    monsieur, en perfaicte santé, très bonne et longue vie.

    sans entendre vouz commandementz. L’on m’a

    bien dire que estant yssy dernièrement, j’advertiz

    camp de Sommières, ce IIIe mars 1573

    s’appellent la Bruyère qui est du Fontany et ung aultre qui est de Vorèppe qui

    à mondit seigneur le prince. Je ne scay si votre lettre luy aura esté

    Et en cest endroyt, je me recommande à votre bonne grace d’aussi bon cueur etc.

    monsieur de Gordes qu’il vous donne en bonne santé,

    Vostre frère et amy

    sey sy vous envoyés la compagnie de monsieur Maulgeron

    mars 1573

    et recoy [barré : xx] tous les jours desirant d’estre de plus fort obligé à lui estre

    ce sisiesme mars 1573.

    en suppliant le Creatteur vous donner,

    qu’ils iroyent prescher encor plus outre, avec certains autres propos de menaces,

    Votre plus affectionné ^ [^ et] parfaict et meilleur amy

    employés quelques ungs, je vous

    fort necessaire de remonter notre artillerie

    ou pour aller aillieurs où le service de

    Monsieur de Cabanes doibt partir demayn pour s’en retorner en

    j’attens tous les jours responce de sa magesté. Quant aux forces que Posol dit venir

    plus de part et d’autres par les lettres de messieurs

    choses pratiquées si subtillement par l’invention des ennemis, il

    maison la quantité de deux centz charges de farine, et avecque toute discretioin et modestie la prier de ma part me vouloir accomoder de quelque partie

    De Lyon, ce XIIIe mars au matin 1573.

    de votre gouvernement commyssaire pour les conduyre là où il

    cause que je couche d’ordinayre au corps de garde vu par la ville

    que je porroys ressevoyr. Et atandent ce bien, je

    par moy. Et quand aulx catholicqz que font

    serviteur

    Votre très humble et très hobeissant

    sejournera demeyn en cette ville pour faire ces Pasques jespèr

    de lestat de votre compagnie pour vous fère veoir celuy des

    decès de feu Maxemin Lacrose de Fouziny en Savoye, habitant à Lyon, qui

    Monseigneur, pour vous esclarer sur les raisons quil vous a pleu malleguer

    heure en repputation davoyr volu contester contre mes superieurs, car

    Sire, jey esté constreint fayre levée daucunes compagnies, tant pour

    en très bonne part ce que me mandez pour l’archevesque d’Ambrun, la presence de qui

    car silz veoyent leur poinct, ilz ne fauldroit point de jouer leur personnage.

    qui pourra provenir dudit estat, ou partie dicelle en y nommant personne

    Grane [barré : lequel, à ce que voy,] Je vous suplie croyre, monseigneur, [barré : vous desguise bien son faict car] que ses actions sont esté toutalement

    que je vous envoys, laquelle je vous prie luy faire tenir, priant Dieu vous

    aura telle fraternité et inteligence entre nous que

    ses pays pour [barré : naveoir ?] autre soulagement de vosdites majestés comme je nen attendoyt

    que celluy qui na nulle cognoissance de la police particullière

    que la valeur denvyron soyssante gentishommes [barré : qui] partie

    conte de voz mandementz et de mon service. Le sieur Julles Centurion a esté

    monstre aux deux compagnyes de gensdarmes qui ont servy près de

    que je ne pourray plus tost satisfaire à voz commandemens ; et quant au surplus de leurs

    heures [barré : suplie] je suplie très humblement voz magestés de me

    vous avoir en sa sainte garde. Escript à Paris le XIIIIe

    des hostages comme lon font aux autres villes. Partant vous

    ne sen aille du tout ruyné ; et davantage, syre, quant

    manière de vivre que pour leur faire administrer ce qui leur sera de besoing,

    prandre garde à leur manière de vivre, que pour leur faire administrer ce qui

    plaist avoir consideration, car il est

    maison a tousiours porté à notre maison, laquelle nous estimons plustost estre augmentés

    pays, qui est tout ce que, pour le present, nous vous pouvons faire entendre, après

    de son bon droict en icelle, ce quil ne peult

    Et bailhé contant.

    royaume aussi grand quil ha esté cy devant et par mesmes moyens

    Alixan et Monthellier : IIIIm p. III p. v. – f : VI poinsons vin

    fidelement avec layde de Dieu, ayant le cueur en trop

    je men adresse à vous pource quil vous a faict antandre

    quil vous plaise moyener que le

    lieux, ledit Coderci , au nom que dessus, a protesté et

    oultre la perpetuelle oblygation que jje vous en auray toute ma

    Votre humble et mileur obeissant frère et vray amy Montfort

    et a, mondit seigneur le marechal, despeché en plusieurs du costé de Thoulouse

    la où jeusse eu

    Et cappitaines, soldats et

    lescarlatin, taffetas et soye que je vous

    mesme temps que monseigneur de Nevers veult partir pour

    que pour ceulx qui y ont estez, et non pour aultres, comme

    arresté en Avignon et le peu

    ce que je vous scauroys dire, fors pour saluer voz bones graces de mes

    votre plus humble et

    paine. Or parmy ces traictez, il passa quelques jours et luy qui est

    de Evènes sy tost que je vouldrois cest landroict où je [suplie]

    ne la peu trouver advant que partit de Bloys. Iescrivis

    et qan vous pourront tesmogner comme le tout est passé et de quelle façon

    lesquelles je salue de mes très humbles recommandations,

    presantans mes humbles recomandassions. De Grenoble, ce

    Serviteur

    bien quil vinse jusques

    est telle, de sorte quil fauldra quilz vendent

    obeyssant serviteur

    Monsegneur, vous avoir en sancté et longue

    comme est la votre. Laultre poinct est que si

    les raisons que jey deduictes cy dessus me serviront sil vous

    sepbre 1571.

    et très obeissant frère

    allées voir ce matin madame de Gordes

    Votre plus umble cousin et affectionné

    armes et par ainsi tacitement semble estre permises par sa majesté,

    durant toutes ses guerres, ayant tousiours eu tant

    On dict que ce sont les Suysses et luy done

    quil luy declaroyt quil ne scauroyt avoir agreable

    il semploye en ce que vous concerne.

    moy le notaire et greffier soubzsigné

    soubz signés et en presence des tesmoingtz comme il est dit.

    des meins de monseigneur le chancellier larrest pour la blanque de Pecaix pour y

    rien plus odieux ici que parler de donner et de ce,

    So de boczosel

    faict comme il est de besoing, car je pance que cela tant sen

    Janvier 1574

    Ville franche

    vous escrire cy après plus specialement ; quant à ce que les huguenotz

    Daufiné

    le roy fait declaration de nen donner aucune par cy après, sinon suivant ces

    [59v°] lassiète est bien forte et les advenues assés maulvaises, appellé le château d’Ornacieu,

    [v] pour venir à Senarpont ; toutesfoys, pource quil

    Francois de simienne

    Chastellart et quelle responce vous avés eu de

    a esté escript au vray, encores vouldroys je que no[barré : u]s

    de Montoyson, ce premier febvrier 1574.

    mais que cecy ce rappourte aulcunement au discours quil vous fit quen playne table au grison le sieur

    supporter telle despence que ny a province en tout ce

    le dimanche au paradvant. Il avoyt faict tant à laprès

    Monseigneur, en soubz signant la presente, jey receue celle quil

    D'armaignac.

    dressé leurs ordonnances là-dessus ; layant sceue, ils

    ont dressé ung peage que Ferrier prend ung teston

    davoir souvenance et pitié de ceste pauvre

    les antremeler avec les siens, mais leur veult faire faire ung corps

    à ceulx qui se disent catholicques et pource que

    nouvelles de monsieur de Limoges et si ne ay bien tost,

    bonne grace et tousiours à luy parce que je tire lestat que le feu

    rompu la trefve. Quant aux gentilhomes

    que les vignes des susdites chappelles ne demeurent à pener et cultiver

    estés par arrentemens ny par trafficages, ains par armes

    feist retiré avecq eulx pensant leur prendre lesdits chateaulx

    va en empirant avec une fiebvre continue et faict grand

    mettons en bon debvoir dycelles ranverser avec les premiers

    [161 v°] Monsieur de Chatellart nha enquores retirer la responsse aux

    despeche quil vous faisoit par la poste. Quest tout ce que

    son pourvoyr comme bon luy sanblera. Aultrement,

    son pourvoyr comme bon luy sanblera. Aultrement,

    sa magesté que na tenu que à vous que lesdits Suisses

    encor sil y voloit revenir que de ma part, je ne

    de filie puys qui vous plet monorer de tant que demeurer et

    votre] sinon que de sa bouche, mangant à votre table avec les aultres,

    sera mal aisé de les en oster ; et si vous puis asseurer

    S. de boczosel

    sont arrivés ces jours passés quelques estrangiers en nombre

    De votre lieu et maison de Chechilienne,

    povre parante et servante et que at du tout fondé son esperanse

    moys et quant

    à Clays pour leur preparer logis et vivres

    Votre serviteur, claude Martin

    executé à l’estrapade et à bannissement perpetuel, mais quant à son cheval et

    et croy quelles auront plus de presse que les aultres

    [235 v°] recepvoyr de ses contributions. Pour la crainte, monsieur,

    qui ma aussi chargé de vous presenter

    main que les marchans ny perdent. Au reste, ceus qui cognoyssent la situation des lieus où les ennemys

    estoint de la religion, a dit que

    saincte et si digne garde. De La Terrasse, ce

    très longue et très heureuse vie. De Paris, ce XVIIe fevrier

    des voyturiers de Lion mappelle en Valentinoys en ce temps. Ce

    [276 v°] ou plus tot impossibles par ledit sieur de Chatel je voulay mandé votre

    magestés assuré que au plus tost lons respondra à tout

    Monseigneur, vous presentant mes humbles recommandations, ie supplie

    [296 v°] Par vous premières [barré : my] pourrés sil vous plait escripre au dit Besson

    pour ma chambre que pour mes rondes. Je vous suplye

    serviteur

    logé monsieur le gouverneur est propre pour cela. On dit

    la fin de ce moys,

    faict commandement de me fournir ce quil estoit necessaire

    que avant vous ay amplement script, je prieray vous

    à cause dhune antorce, de fasson monsieur que je vouldrès

    de juing 1572

    je vous envoye la copie d’une lettre que j’ay receu présentement

    que je ne voye qu’ung qui me recherche pour le mesme

    contre vous et contre madame et estime que c’est

    et toutes assez foibles et maigres. Je vous diray bien que noz Anglois ont

    de la perte des hommes. Tous conviennent à la

    fait gourre, s’estant persuadée que la

    Le seigneur Ludovic actend le retour

    1572.

    M. Bovier

    paisible et dict-on, qu’ilz se sont despartis la charge

    ment aux votres. De Gargas, ce VIIe julliet 1572.

    que jeusse faict expedyé ce dit affaire incontinant. Je masseure que monsieur de Chastelart

    vye. De Paris, ce IXe juillet 1572.

    ausquelz l’on dit que le Turc s’oppoze par une si

    Votre mère

    gresle a faict à Montdragon , qu’est la

    et pour traicter de sa délivrance. Je vous envoie coppie des parolles qu’il a leues

    rue St Germain de l’Auxerrois. Monsieur de La Roche

    de très bon cueur à votre bonne grâce et à celles de madame

    et que à la cour et à Paris se disent touttes novelles inserteynes

    Votre très humble et affectionné

    capable et que je n’oserois consentir sana conscientia qu’il fust institué

    chambre. Notre Seigneur soyt loué de tout ce qu’il luy plaict

    De la coste

    requette Notre St Père luy

    Bapte de simienne

    monsieur le procureur du pays et de vous principallement

    de les séparer, ainsi que résulte par la plus

    à votre seigneurie, mais dautant

    suivant l’instruction dudit sieur Bellièvre que les estatz

    en fin que je ne me voulois poinct meller dans ceste

    les mains, je prieray le Createur

    aulx Essores attendre l’armée d’Espaigne qui revient du Péru, et ayant

    mes humbles recommandations à votre bonne grâce

    peur et la necessité est tousiours plus forte et

    comère et moy nous recommandons très humblement

    Monsieur, vous donner en parfaicte santé

    le chevallier d’Angolesme. Il y a bien des meslées

    Mandés, bien que, monsieur, lauriés peu avoir dalheurs,

    Monseingneur que nous prierons Dieu vous maingtenir

    mieux comme cella doit aller, ne ayés tant la bonne grace de Laurans

    bien que se fut ville close et que ledit exercice y fut

    Comme jauray ce bien de vous veoyr, je vous feray

    sant servyteur,

    Cabanes. Ele nose point advertir de ceste despesche qui

    Truchon. Michalon partira bientost pour son retour.

    Suze

    au roy. L’on dict que le mariage du roy de Navarre

    dudit Beaufort, d’ung Guascon quy est chargé des

    obeysant à vous fère service

    en peine de l’avenir, nous vivons en suspens, Dieu s’il

    discours que le sieur de Cavagnes [mots barrés]. Il trovoit mauvais

    voulontère, ooultre que si voulois faire estat

    De Simiane

    à Paris huict ou dix jours après nostre arryvée. Mès nous nen avons encores

    beaucop de pailhe et peu grande λ[λ : sellon la pailhe]. Le bled

    J de Chapponay

    Il nous a dit en oultre la mort de Lioux, ayant

    au despartement qui a esté mandé par

    à vous faire service

    en toutes sortes inférieurs, attendu aussi que le roy doit estre

    le filz de monsieur d’Exéa et ne l’a peu

    venus ; Monsieur de Morvilliers, que le roy y pourroit pourvoir.

    Votre à jamais très humble et

    quil arryva audit sieur Bellièvre luy fut dict quil

    escrire, après mes très humbles recommandations à votre bonne grace

    quilz espèrent partir bien tost et quilz prandront le chemin

    en Dieu quil en sera bien tost quitte. Puis que c’est

    Votre très humble et plus obeissant frère

    Dieu, Monseigneur, vous avoir en saincté très heureuse

    Serviteur

    Monsieur, vous doner en santé heureuse et longue vie.

    bone partie de ceulx à qui en verité nous avons doné toute

    vray que monsieur le baron des Adrestz heut esté faict prisonier. Je luy escris hung mot que jestime nen estre rien

    et conduire ches luy en surte, ce quil a fait

    hardes, ne mestant rien resté que chauses

    ung chevaucheur pour vous en prier. Il ny a

    mareschal Dampville naie passé et que soiés sur

    trois à quatre centz carmocellis, desquelz lesdit Ochielly

    une lettre que je vous envoye, par laquelle vous verrez, monsieur,

    en exequution de tout mon possible. Au reste, j’ey faict

    qui auront acxès avec moy et en oultre

    discours, je vous puis asseurer, monsieur, que soyt pour le service

    de luy apprendre) ceste meson pleine de malades

    B. Olier

    par les chemins. J’ay receu des lettres du XIIIe du passé de messieurs de Venes,

    que votre chambre est parfaicte, n’en bouger que je n’ay autre nouvelle

    du roy et celluy dudit sieur Chastellard l’ayant

    tenir à Valence ou à Grenoble, de l’y arrester et les autres aussi,

    L Debuffevant

    commodité [barré : que] plustost que pour cele desdits soldatz et se peuvent asseurer qu’en

    vint avec monseigneur le mareschal Dempville, Je suis bien aise

    Dieu vous donner,

    humble requeste, comme je feroys aujourd’huy pour faire celle des compagnies corses,

    à quelques-ungs de mes amys me mener incontinent

    Votre très humble et hobeyssant

    trover mon frère, sur quoy je ne scay que penser, car il m’avoyt

    du tent à aultre à Sapt et que jespère veoir madame la

    charrete ny cheval pour icelle, car à peine a-l’ons

    les commis des estatz de Daulphiné

    Ma femme ne se peult encores bien remettre, aiant encores quelques foys

    ma comoditté et sy trouvés bon d’enprunter la faveur

    menasse, je finiray la presente par mes humbles recommandations à votre

    au boys de La Garde. Et tochant ad ce qui

    seullement une cortine à carré pour enfermer le tout avec quatre

    Vostre bien humble, prest à vous

    Monsieur, telle santé, prospérité et contentement que pouvés désirer.

    quatre cens mis en pièces par les compagnies de

    part et mienne à deus personnes pour lesquels je scay pour le debvoir

    deux jours à ses journées, qui me promis balhera

    recommandation, de parler au roy de me donner et l’office

    auray ma part. Vous scavés que pour autres occasions

    faire bone chère, et l’avons hue teulle du seigneur

    charge de vous. Il me dona jusques là que mon petit nep-

    Dieu merci. Ils disnères hier, jour Ste Caterine, tous séans.

    faire entendre comme despuis peu de jours que ceulx qui de longue

    et lettre à monsieur le vibailli de Buis, lequel m’asseure vous

    Montbrun

    à toutes adventures, je vous ay bien voulu faire ce

    29e de novembre 1572.

    a esté votre segrétère.

    lequel voldroit que vous luy baillessiés une place d’hommes d’armes de

    et chargés de tout ce qu’il faut pour la deffence de

    maulvais par nous voisins, ains plustost agréable de

    serviteur

    Monsieur, en très bonne sancté, longue et heureuse vye. De Lyon,

    je le leur dis d’aussy bon ceur comme vouldroys

    dame de scéans et moy nous recommandons

    là où nous discourrons sur le surplus, Dieu

    à ses eyfères ne vous y a mises puls. Je vous mande

    serviteur

    Monseigneur, depuis ma lettre escripte, j’avons fait faire ung pavilion

    en votre charge à une passion qu’au debvoir du service

    Je ne say que panser de l’afère

    pacquet et n’ay veu ni seu, sinon que vos

    et combatre ma conscience, je le fairois plus voluntierz

    à demi accomodés pour le voiage de La Rochelle, monsieur

    [v] pource qu’il est à craindre que si quelcun la demande

    nullez novelles dignez de vous car despuys que suys

    monsieur avec les siennes très saintes, très bonne, longue et

    [v] ledit guidon ou enseigne pour cellui qu’il trouveroit à propos,

    cestoyt quant à la conscience coment toujours ; quant au bien je le fes

    nepveu et serviteur

    de Suse et dispute que nous avons eue en bonne compagnie,

    les ardes de vallet et des chevaulx, de façon, monsiegneur,

    on dict. Ilz sont fort près de nous et ne say qu’en estimer de bon. Et me remettant

    elle est très malade d’ung caterre sur une joue,

    moys, le roy fut blécé au bras par ung Allemand appellé Chelegue

    qu’il vous donne

    estoyt quelque chose, ce seroit plus tost un project de ce que ceux

    affaires du pays, s’il veut prendre ce chemin là, comme je

    de mes très hunbles recommendations à votre très puissante

    d’argent il n’est pas poussible entrant si nouvea[u] en charge d’en recouvrer

    Il y a quelques jours je vous envoye la presente et n’eusse tant mis à donner

    votre très humble et plus obeyssant

    ou bourgades de ce distroict sans faire sedition qu’on sache,

    la voir demain manger en sa [barré : ta] salle et sans grande presse.

    La Thivolliere

    monseigneur, avecques très longue et heureuse santé, lentier accomplissement de voz

    le Createur vous donner,

    A laquelle très humblement me recomande. Priant Notre Seigneur vous

    gens de piedz que ny servent de rien que de pilher,

    monsieur et de tous seigneurs d’honeur raisonnable,

    des estatz [raturé : levé] de ce païs et

    recommande de byen bon cuer à vostre bonne grasa é

    quilz ont fort bien faict de se resouldre de bonne heure, car s’ils

    Votre très humble et

    Vray est que si lesdits acquereurs ne veulent

    je vous supplye doncques quentre cy et ce temps là, vous mescrivyés votre lettre en me commandant par

    vous demeurer humbles et affectionnés serviteurs

    [138] le plustost quil sera possible. En cest endroict,

    beaucoup de gens se prometoint. Dans peu de jours l’ons

    et très obeissant frère

    occasions ne faudray vous advertir. Il n’y a faulte

    pour deux cens [barré : et] ou IIIc escus de ranson.

    de [Veins] après avoir esté recherché de venir à Saix pour estre sur

    serviteur

    entrer tost ou tard avec laide de Dieu, auquel en cest endroict, après m’estre affectueusement

    rière moy que celle quescripvés à monsieur et segneur de

    Tourretes et ay adverty tous les aultres comme

    en somme bien fachez. Jay esté adverty par la voye

    grace de demeurer à jamais vous très humbles serviteurs.

    quelles ont fait conte quil y aye XVm[ille] hommes. Dedans on fait conte

    De votre maison à la Motte, ce premier de mars 1573.

    adverty que ceulx de la relligion hont envye de

    madame la contesse de La Voulte de ce qu’est ad[v]eneu.

    Votre plus affectionné parfaict et asseuré amy

    se nomme Jehan Caetton, lesquelz s’en sont allez six jours apprès avoir receu

    envoyée seurement. J’ay receu les vostres par la poste

    longue vie. Du camp de Sommières ce Vme mars 1573.

    Claude Perron

    en Languedoc. Il me semble qu’il seroyt nyssessayre

    Votre très humble et obeissant

    très affectioné et humble serviteur de pareille affection que je prie Dieu

    Votre très humble soldat et très

    monsieur en perfaicte santé très longue et heureuse

    qui fera adiouxter encor devantage de foy audit advis. Toutesfoys je ne feroy

    H. de Montmorancy

    supplie ne m’oblyer, car vous ne

    car tout est en pieces et le voys y est prest

    notre bon roy le requierra. Sur ce, priant

    Provence. J’ay este mervelheusement joyeus antendre des nouvelles de

    de Genève je vous puis asseurer qu’il ne est aucunes nouveles et si ne se scauroyent

    d’Evènes et de Laval. Touttesfois plusieurs choses

    se fault resouldre à patience car les plus habilles y seroint

    des grains qu’on m’a faict entendre elle avoir en grande abondance et

    Je suis en peine de monseigneur le mareschal, lequel j’entends avoir

    sera ordonné pour le service du roy et ne auront occasion de tenir

    [307v°] pour obvyer à leurs malheureuses entreprises comme j’espère à l’ayde de Dieu en faire. Attendant

    supplieray Notre Segneur vous donner,

    la garde, ilz ne portent aulcunes armes qune

    Bellievre

    serviteur à jamais

    Monsieur de Maugiron escript, à ce qu'on ma dict, la mort

    chevaux legers reduict aux archers de votre dicte compagnie

    ne conciste que en debtes, lesquelz ne pourroient monter III m[ille] l[ivres]

    par la lettre quil vous a pleu mescrire du camp devant La Rochelle le Xe du passé

    je scay ce quy leur est deu ; et quant par quelques rapportz, vous

    metre dans les viles que pour du tout ne abandonner la campagne. Je nay

    me tesmoignez estre très necessaire et utille à mon service et au pays estans fort

    ledit sieur d'Ambrun a ranforcé les garnisons des chasteaulx et ville de Brianson

    capable et suffisante.

    [barré : pour vous y faire entendre ce que est, il na jamais volu rendre]

    avoir, monsieur de Gordes, en sa saincte et digne garde. Escript à Fontainebleau,

    vous nen aurés jamays nouveles ; et vous puis encores

    [116 v°]

    suivant plusieurs recharges que ans fins je leur en ay faictes.

    et gouvernement de ce pays, vienne par une curieuse recherche

    voluntayres autres de la [barré : compa] compagnie dudit seigneur de Nemours

    veritablement bien blessé devant La Rochelle, mais il est en ung beau chemin de

    vous et subvenir aux autres despenses plus necessaires. J’estime

    deportement, je men remectray au contenu en madite lettre que jescrys.

    fayre entendre voz intentions. Je reserve à vous fère plus

    jour daoust 1573.

    regarderez dy pourveoir.

    nous y aurions du pyre, tousiours relevera votre magesté

    davantage que il soict ordonné aux prevostz des mareschaux des lieux

    leur sera de besoing ; davantage, que il soict ordonné aux prevostz des

    assés notoyre que la ville de Vienne

    que diminués aussy que luy à celluy qui ne soit tout prest à reposer le corps et la vie

    noz plus humbles et affectionnées recommandations en voz bonnes graces, priant le Createur,

    sans estre au preallable subrogé au lieu, droict et

    ez terres de sa Saincteté dont elle soyt tropt desplaysante,

    Le Palud : IIIm p. III p. v. – f : XIIIIc pains II p ; v. [sans acquit]

    bon lieu pour estre peyne à pouvreté et quant cela ne

    ce quil an a ourdonné, qui est la cauze que ce pourteur

    commissère viene avec argent pour faire la

    proteste contre les personnes et biens desdits sus nommez assemblez

    vie, jay daultre part comodité de vous fère ung service remarcable

    et du gouvernement de monsieur ladmiral pour y en faire faire publication.

    quelque povoyr

    Aultres à cheval]

    mandis dernierement despuis lon na prins

    prandre la route de ses galères, et tiens quil sera bien

    je ferey tousjours apparoistre par actes du jour que je y

    de desir de donner oultre

    très humbles recommandations et [barré : pour] de mon oncle et de mon frère monsieur le

    plus obeyssant serviteur la casette

    assez prudent et accord commença d’en avoir quelque presumption

    voz bonnes graces de mes très humbles recommandasions et prie

    à Paris à ceulx qui firent les payementz de quelque

    my suis conduict quy sera que je ne vous en feray poinct plus long discours,

    priant Dieu vou[s] donner

    premier 7tenbre 1571.

    b. Olier

    icy et me serviroi pour envoyer

    [v°] dudit bestal. Je ne puis bouger de

    jehan de brunel

    vie. Des vignes des Coustes, ce XIe 7bre 1571

    vous vous en allée [barré : san] avant la venue de

    plaict de legitime escuse. Et atant

    Votre très humble serviteur

    De Simiennee

    à pied. Madite dame de Gordes leur a

    Serviteur

    [v°] à quoy, soubz correction fauldroit expecialle remission de les porter

    daffères sur les bras et pour jouir diceulx presques

    on le tort. Je ne vous en scauroye dire

    quil luy en feist faire ceste prinse aultrement que estimoyt

    Monseigneur, je me recommande très humblement à votre bone grace et supplie le Createur quil vous

    Calier

    Pierre Gontier, habitant d’Ay sestant presenté par devant

    adjouster encor quelque article contre les proprietées, mais je le luy ay faict remectre

    personne ne veult pourter parolle, cependant, de ce, jen rafraschis

    Madame la comtesse de Grignan

    fault quil soit à la folle du pays que ce sera le grand solagement,

    Votre très humble et très hobéissant serviteur

    se vantoyeny d’avoir des reistres, je cuyde vous pouvoir asseurer que ilz

    Bourgel

    edits et ordonnances et que on en expediera de nouveau lettres de declaration

    auquel personne n’habite. Je vous puis asseurer que sil estoit saisy par lennemy, il

    sarrestoit en chemin à visiter quelques gentilhommes

    monsieur de Carcès sur les menées de Chemisi, aultrement La Breoulle.

    affères de guerre se gouvernassent sans ses bruitz qui

    Votre très humble et aubeysant

    Repara avoyt [barré : il semble] tenu quelques propos que monsieur de Maugiron venoit commander en ce païs,

    royaume que aye supporté la guerre toute une année

    disnée qu’à laprès souppés, remectant ses affaires à la

    vous a pleu mescrire du XXIe du passé pour faire les monstres

    voudroint en pouvoir faire paier toute la gendermerie et

    pour mullet et à lequipolent des autres bestes,

    ville comme vous a pleu avoyr jusques

    de guarde [barré : et] separé du sien scabas au plus bas carcel dudit [chasteau]

    tous touchent à une corde et se sont permis

    je adviseray de faire passer lautre office de

    cappitaine Bellantan, lieutenant de monseigneur son filz, tirat, qui est la

    de Champsaur et aultres de leurs

    et les terres à semer veu que le temps de ce faire sapproche ; quest

    et de toutte ancienneté de race de grands seigneurs.

    que lentreprinse estoyt fallie comme a dict ung sien

    regret de ce que ne mavés faict responce à ladite lettre

    et aultres qui se presenteront. Ce pendant, monseigneur,

    quaiers quavions presantés, à cause de labsanse de

    je vous puis escripre, après avoir prié le Createur,

    non seulement, il vous chicanera, mais fera

    non seulement, il vous chicanera, mais fera

    ne se soyent employer en Daulphiné, vous

    suis pas pour voloir jamais financer pour lestat ;

    ansette volonté je prierey Dieu,

    attendant quelque occasion pour estre despeché de vous à la court,

    quayant executé, Dieu aydant, ce que dessus, ne ferey

    de cinquante, tout la pluspart de Freicinière, que se tiennent

    ce XIIIe jour de febvrier, lan 1474.

    et consolation an vous, et pour recompanse, prier Dieu

    à escrire à messieurs

    pour sept compagnyes. Incontinant jay escript

    Monsieur, je vous bayse bien

    prebstre indigne et curé

    armes, je n’en ay point veu ne manié. Bien avoit ledit Labarre ung

    confitures. Je vous escriproy après qui en aura esté plus

    que jey de vous estre enuyeux de ce fait, finerey

    le sciennes à votre bonne grace et

    sont, savent bien quil ny a moyen de norryr grant troupe de chevaus envyrons diceuls silz (nont)

    ouy pource que luy mesmes sen

    dix septiesme febvrier mil cinq centz

    1574.

    pendant, monseigneur, je vous supplye très humblement me fère un peu

    mandement pour X m[ille] l. ts en aiant retenu ung double collationé.

    et satisfera le mieulx que lons pourra, ayant

    le Createur vous donner en sainté heureuse vie. De

    si avés deliberés lui croitre ses gages jusques à XXXX sous

    très humblement men fère unne declaration et si cest

    Monestier.

    que le boys et chandelles pour la nuict ne coustent rien à

    dont peu sen fault

    pour ledit château. Ilz me demandarent terme de trois jours pour

    donner,

    que le cheval fust mort quand pour amour de luy,

    vostre très humble et très obéyssant serviteur

    de monsieur de Joyeuse, par laquelle vous verrés à quoy il en

    faict voudra dire. Voz escholiers se portent bien.

    le conseil des praqticiens qui débauche ung frant

    esté honorablemant traictés par deça que monsieur le maréchal de Montmorancy

    perte des deniers. Le sieur de Janlis est arrivé avec

    bonté est une vertu qui regarde plus

    du gentilhomme qu’il a mandé à Milan

    Vostre très humble et très obéissant

    de façon que le vieil gouverneur a pris a recouvrer

    Votre très humble et très obéissant frère

    sollicitera ce dit affaire à mon abssence. Je vous supplie très humblement monsieur, faire part de ceste

    Votre plus humble et affectioné

    grand armée et de mer et de terre, cavalerye et

    Pierre de Ponteves

    chose la plus horible de quoy l’on ouye

    audit nepveu, luy faisant la reverance en le visitant. L’on ne scaye encores ce qu’il en

    et nous logeons porte à porte. Nous attendons bien tost

    votre compaigne, en priant Dieu de vous donner à tous,

    que chacung les dit cellon leurs afection ; et que combien quilz

    serviteur

    curé comme estant incapable ; et pource que ledit Bonaventure ne me

    nous mander, auquel je prye que vous doint sa

    J’escrips ung mot à monsieur d’Anières que s’il vous

    a confirmé de nouveau

    monsieur ; Le sieur de Cugy me dict le XVIIe qu’il

    grand part des tesmoingtz que j’ay examiné par

    que je scay que icelle scait

    de présidantz ne se mettent poinct en taxe ; que le

    négotiation pour prétendre à cest office

    Monsegneur, vous donner en bonne santté longue et

    faict quelcung de ces effaictz, pourter le sieur de Causeins avec douze cens

    en priant Dieu,

    fait aller à la guerre plus de gens que la gayeté

    à votre bonne grace, priant Dieu

    heureuse et longue vie. De Saluces, ce 25

    grandes, mais cella se dresse fort rombdement.

    Vous assurant bien que ne me suis voué pour cest an à

    en bonne sancté, bonne, heureuse et longue

    et de la sufisance de Charles et Margaut que je n’en aye ma bonne part,

    du jour de l’edict de paix. Je trouvis après monsieur

    ung plaisant conte du discours passé entre monsieur de

    Montoyson.

    nous a semblé bon vous fère par le rantier de Boirrières qui

    Je prie Dieu,

    Si vous avés nouvelles de la monstre ou demarche,

    et de Madame est retardé jusques au XVIIIe de

    meurtres et assassinatz quy ce sont faictz sabas

    Rogier de Bellegarde

    luy plaist permectra que le meilleur conseil soit suyvi.

    que [mots barrés] la cour de parlement et vous feussiés

    de la dite charge, il seroit bien raysonnable qualasse

    Je pansois que monsieur d’Hourches fut porteur

    peu tirer aulcune chose. Il semble à plusieurs que le service du roy, la

    se vant communement à Lieue XII à

    leissé sa fame enseinte et bien malade. Je vous

    sa magesté, il ne sy treuve le lieu où ilz

    Suze

    le juge de votre cause ; l’autre chose dont je vous veux prier est

    avoir. J’avois faict mettre vostre aultour

    La royne s’esmeut grandement quand je luy dis que le sieur

    très obeissant frère

    trouvoit de decharger ledit sieur Truchon et le

    et à celles de madame de Gordes, de mes neveus et nièce, en

    de Bourgongne, auquel monsieur d’Evènes me balhe quelque

    achapt na point de (leu) je vous porrois bien secorir de mil

    François de Simiene

    et longue vye. De Valence, ce XXIIIIe d’aoust 1572.

    Delusy

    De Grenoble, ce XXIXe daoust 1572.

    occasion de contentement, ce seroyt à mon advis renverser par

    avec beaucop dhonestetés et courtoisies, qui ausy

    et porpoint quainsi vestu, Dieu soit loué

    rien de nouveau despuis mes dernières. L’ons

    le point dy aller lors. Je leur en pourray dire

    avoit prins les meilhieurs mariniers. Il partist

    [320] que nous sommes en quelque esperance de gaigner quelques

    la reverence à monsieur le cardinal Orsin, seigneur bien

    vous fere toute ma vie très humble service

    du roy ou pour le votre particulier, que vous navez parent, amy, ny

    à la quelle il nia (de desant) que ma

    Ledit sieur de Bonvert vous informera de la maison en

    La Roche, Laval et Chastelart. Je loue Dieu de qu’ils soyent toutz en santé. J’ay faict tenyr

    de vous. Je y ay mis quelque lard et ung peu de pouldre, mais

    veu et par les causes qui resultoyent d’icelluy, ont

    desquelz on peut estre en doubte jusques que l’on vit qu’il adviendra

    [barré : une] vivant autrement à leur retour que payant de gré à gré, je y remedie

    qu’estes tousjours en oppignion d’envoyer les enfens et de les suuyvre.

    Monsieur, en parfaicte sancté, heureuse et longue vie. De Sisteron,

    laquelle on dict se debvoir faire dans peu de jours en Dauphiné pour six moys,

    ung nombre de bons soldatz et bien cogneus, le tout

    Serviteur

    faict escrire que la cause de s’en estre rennié estoyt que

    Presidente Beliefvre si ele passe par ces quartiers ou en

    peu conduire ici celle que pour cest effait luy

    Bourgel

    esmotions et altecations et moins maulx des coliques du grand. Jespère

    de monsieur le mareschal d’Anvile, je m’asseure que pour

    bone grace, priant le Createur,

    me remonstres que ceulx de Briançon et autres se contentent,

    torrelles pour flanquer ; que ce feroit pour dix ou douze

    faire service.

    Escripte à votre maison d’Eurre, ce premier jour de novembre 1572.

    gandarmes qui estoint sur la frountière ou par

    et par ce que m’en ont dit madame le contesse de Grinhan de par

    cent livres à monsieur Besson, m’aiant dit qu’il ne pouvoit

    et la finance. Si les estatz n’estoint chargé de tant

    toutesfoys, j’ay piéça redoubté ceste charge,

    du lieu qui espère aller trouver le roy au

    veu Charles le pourroyt tenir. Par cele [barré : cele] que vous m’escrip-

    Je me recommande très humblement à vous bones grâces et prie

    main tenoyent le party de la prétendue religion en ceste ville,

    envoyera le tout ; qui me gardera vous fère la prézante

    discours. Le gentilhomme qui vous devoyt aller trouver

    Vostre plus humble et plus obéissent serviteur et comme filz

    votre compagnye. Il y a long temps qu’il en havoyt envye, mais je

    la ville. C’est, Monsieur, tout ce que je vous puys

    contribuer chescung pour sa rate ce que de raison ;

    C. de Mabrian

    le IIIme décembre 1572.

    estre à moy car je désire vostre contantemant

    très humblement à votre bonne grâce, priant Dieu

    aydant, auquel je prye vous donner

    le rôle de se que vous est dû et je peux avoyr XV ho XVI

    M. Bouvier

    de damas vert à monsieur de Laval et le lict couplé nous

    du roy ; quelque jour je vous en feray, Dieu aydant, le discours

    que savés et ne say quyele réponse

    envoié à monsieur de St Sernin. Quoi qu’il l’en [contient]

    et de meilheur cueur que chose que j’aye jamais fait,

    de Roysse me doibt à la fin de ce mois XVc lt ;

    à mondit seigneur ou en pensant tirer quelque proffict pour

    esté arrivé, avons heu et les neiges et les grandz ventz,

    heureuse vye. De Lurmarin, ce XVIIe de décembre 1572.

    qui m’avoyt mandé par vous le demander pour le filz de feu

    fort raisonable. Je suys esbai que partout votre première vous mescripviez que

    Baumettes

    vous en estiés le subject, où monseigneur le maréchal se

    que s’il nous falloyt encores achepté ung puissant cheval,

    à ce que le temps nous en apprandra, je feray fin par mes bien affectionnées recommandations

    comme entendrés par ce pourteur et la blessure du roy

    comme tous deulx couroint et frapoint sur ung sanglier. Le roy

    monsieur, en parfaicte sancté, longue et très heureuse vie. De Lyon

    qui sont hors leurs maisons désyreroyent. Sont ainsi que les banques

    m’asseure qu’il fera. Monsieur de Guyse luy debvoit escrire

    seigneurie. De Brianson comme dessus.

    [9 r°] au premier jour. ^ [^ Je] remonstreray au roy ce qu’il vous est deu de

    de noz nouvelles mays monsieur de Vure ne peult partyr si toust comme il

    serviteur à jamays

    ainsi que je vous racontay dernierement près Bourgoind ; Aussi

    Vous madvertirés si i’attendray la procuration de monsieur votre

    desirs et augmentation de votre grandeur. De Valence, ce XIII janvyer 1573.

    monsieur, en parfeytte samté, loungue et eyreuze

    donner,

    [76 v°] manger et ruyner les paouvres villaiges dont ceulx quíl

    vous offrant humble service, en saluant vos bonnes

    aussi] avoyt accordé que les

    prye Dyeu que vous done la syene aconpaneyné [sic]

    eussent attendu daventaige, ilz eussent esté bien chastiez et comme

    hobeyssant serviteur

    achepter la plusvallue des terres par

    icelle de vous aller trouver à Valence pour ce dit dimanche, bien que votre dessain ne soit tel. Cest pour

    ce que, monsieur, je fay daultant plus voluntiers

    je me vays très affectueusement recommander à votre

    verra ce quils voudroint et scauroient faire car lons les

    De Simienne

    de vivres en ce camp pour les personnes ; pour les chevaux nont[ ?] tant

    [148 v°] Quelques fois nous entrons en opinion quil viendrount à

    la mort de sesdits frères apelés Fabres du lieu de Signe qui furent

    S. de Boczosel

    recommandé à votre bonne grace, je prieray vous donner,

    Nevers mais non celle de Monsegneur. Je pance lavoir

    Grane / [/ et aultres lieux cy auprès] de se prendre bien garde parce que

    d’Arles que monsieur de Suze est party pour La

    Priantz Dieu,

    quil y aye IIIm[ille] hommes [barré : des gens] qui sont commandés par XV ou

    Votre très humble et obeissant serviteur

    se saysir de Bourdeaulx et encores qu’il soit ung

    Votre très humble serviteur

    H de Montmorancy

    leur payement et ledict la Bruyère n’a faict qu’une garde. Il s’en est allé aussy

    de ceste ville. Je parleray à la royne de l’affaire de

    Monsieur de Gordes, la prière que je vous fais pour le service dudit sieur de

    l’arrester yssy pour le moyns jusques que la vostre y fut et pour

    serviteur

    Monseigneur, vous donner en continuelle santé, très longue et heureuse vie. De

    affectioné serviteur

    vye. De Gap, ce 7 mars 1573.

    pas grand estat d’un semblable dire de ministres, qui font mestier de tels articles,

    scauryés employer le bien a personne qui

    en plus grand partie. Pareillement la porte

    le Createur,

    messieurs d’Evènes et de Laval vous suppliant me fère part de

    assembler cent hommes quy je ne soye adverty. Au reste je vous prie et ne puis garder

    seront advenues puys le XXV. On s’asseure que

    trompez et sur telz mistères vous et moy et tous les meilleurs

    par ce moien decouvrir le fondz de ses greniers et la verité du faict.

    sur les bras les rebelles de Montauban mesmes debvant estre

    les champs et sesiourner attendantz ma responce, et là où je nen

    voz commandementz je supplierey le Createur,

    monsieur, en parfaicte prosperité, très heureuse et

    espée et ung baston. Je crois quen toute la

    de Buffevant

    de monseigneur le duc d'Aumalle. Surce, je prie Dieu

    par lesquelles semble que veulliés prendre quelque mescontentement de ce quon vous

    auriés occasion den croyre quelque chose, me fesant cest honneur

    moyen de les fayre payer et mal ayscément vivre. Sil plesoyt à votre

    grandement respecté et honoré pour ses vertuz et merites ; et à ceste cause suis [ ?]

    et Exilles et pourveu à Ambrun, Gap et autres lieulx de ces montagnes.

    differentes à ce quil vous donne entendre et quon ha usé

    le XVe jour de may 1573

    repliquer quil est très necessayre car, sy ce que

    [brouillon de lettre à Catherine de Médicis]

    plaine d’animosité blasmer et denigrer les actions de tant de gens

    et de la mienne qui mirent pied à terre et donnèrent

    guarison , Dieu mercy, parquoy il ny a aucun changement en cella, estant

    que mesnagerez si bien le tout que je seray servy comme il appartient,

    [146 v°] [brouillon de lettre à CAtherine de Médicis]

    ample despeche après le retour dung gentilhomme que jenvoyeray

    Charles

    pareilles forces et commetra en ce gouvernement homme

    [164 v°] de mectre à leur queue pour faire justice de ceulx qui le meriteront

    [167 v°] mareschaulx des lieux se mectre à leur queue pour faire justice de ceulx qui

    a esté plus travaillhée et apouvrie

    avec ce qui depend de notre povoir pour vous faire service très humble comme de

    monsieur, vous tenir en sa perpetuelle garde. De Piarrelatte, le

    instance dudit feu Guillaume de Chaste son frère

    oultre la perte irreparable quil luy en viendroys.

    Mornas : VIIIm pains VIII p. v.

    me donneroyt argument suffisant, jen auroys assés avec

    san vua acompagné de la presante pour vous remostrer

    monstre chacun moys, ou bien adviser sil

    et en leur propre et privé nom de ladite contrevention requerant

    pourveu que soyt le tout mené discretement, sans evanter aulcune chose

    Dieu vueille quelle soit bien observée. Deux des arbitres venuz de Nismes

    et credit, je leusse

    En ce que dessus nest comprins cens qui sont dans

    aulcung fert. Quest tout ce que je vous puis escripre

    tost en France. Je vous envoye ung bando lequel a esté fait

    suys arrivé et du jour que jen suys departy avecq toute

    prothonotaire. Je prie Dieu vous doner

    et dentrer en doubte de passer plus oultre, ou bien de passer à la

    le Createur vous donner

    quartier ez années 1569 et 70 que iespère recouvrer

    seulement vous priiège croyre que le ne verray poinct me nestre doccasion pour

    monseigneur, très heureuse et longue vie et à

    Vostre humble serviteur

    Monseigneur, si je ne craignois vous facher et vous faire prandre oppinion

    sa et là où jey affaire pour ung

    ceste ville que vendanges ne soient

    votre humble et obeyssant serviteur

    monsieur le president de St julien, vous en aurés

    monseigneur, je vous bayseray très humblement les mains, supliant

    Rousset

    apris le chemain. Me recommandant très

    De lacoste

    et especialle abolition dudit reglement, ce que nest comme je leur

    ordinairement tenu la campagne aux despens de votre

    aucunes particularités pour ne men estre encor

    que lors se veuille advantager sur son jeune eage car

    done en parfaicte santé très longue et très heureuse vie. De Grenoble, ce Xe jour de

    hautte et [barré : puissante] illustre dame madame de Tournon

    et expère en avoir bien tost expedition et de la declaration pour ne payer les gabelles

    la mémoire de leurs magestés le plus souvent que je puis,

    est arrivé en ceste ville. Je la verray

    faisant cesser par ce moien tottes les cottes faictes par les ennemys,

    à jamais

    disent en cela plus quilz ne pensent ou quilz se flattent et que jusques

    et que par là, il ni aura lieu de ce plaindre des pareatis dores en advant

    feroit beaucoup de mal à toute ceste vallée, comme aussi feroit la ville de Serre,

    ses amys et quil ne seroit, comme il mescrivoit,

    ne font que metre en jalousie ceulx qui deulx mesmes

    Servyteur montoyson

    lequel nen parlat jamays, mays ledit Fermillyer pansoyt par là tirer quelque chouse pour

    à ses despens, que ce pouvre païs, estroict et

    volunté de messieurs. Et, à ce que jay peu entendre, il ne

    des gens de guerre de par deçà, à quoy, ainsi qu’à tous vos

    [104 v°] trouve estrange que [barré : de] sur la vante du domaine lons asigne [paier]

    quest tout ce que vous puys dire à present des

    à present, et ordonner que les deniers des

    quy nest poinct à craindre pour ce que ledit lieu ne respond que [dans]

    entre eulx de ne soffencer, comme ma dit ledit

    conselhier pour monsieur Robert, qui seroit trop plus à propos

    pension de douze centz livres quil a du roy de cappitaine de gendarmes

    troupes, ilz nont rien faict de noveau

    tout ce que je vous puis escripre, après avoir prié Notre Segneur vous

    Si je parle un peu en collère, je vous supplierey très humble-

    lacquais qui na despuys vollu demeurer avecq luy.

    pour son contantement, car son intention est, si elle venoyt

    si par votre moyen lesdits rebelles ne sont divertis

    monsieur de Sauve pour quatre ou cinq jours, mais il sera

    monsegneur, vous avoir et tenir en sa saincte garde et vous maintenir

    que plusieurs aultres en feront de mesmes.

    que plusieurs aultres en feront de mesmes.

    vous en scaurés trop mieux justifier ; mais

    et quant auxdites vacations, que je ne fais (barré : pas] de mon

    monsieur, vous donner très huruze santé et longue vie.

    sil vous plait lui fère tant de bien où il pourra scavoir si les promesses

    faulte vous renvoyer et les dits gens de cheval et ladite

    dans ladite eglise. Dordinaire, ceulx de Freicinière hont

    monsieur, vous voloyr hocmanter se grasses et vous perpetuer

    du païs pour vous

    ausdits de Clays quilz nayent à leur rien fourny sur peyne destre bruslés

    Humblement les meins

    de Molines

    meschant cheval borgne qui par l’ordonnance dudit sieur de La Tivolière

    friande et de queles pour luy en faire servir. Ayant heu

    la presente par mes humbles recommandacions à votre

    vous faire è ntendre quil a receu voz

    estat dy patyr et faire manger ausditz chevaus ce qui ce trouverat, pourveu que lartillerye joue à

    est enquis avec daultres quilz avoynt

    septante quatre.

    Votre très humble et obeissant

    de part de la responce des ennemys audit sieur de Maugiron, prevoyant

    Je croi que bien tost votre paieur aura ce quil luy fault pour la

    esgard au temps et necessité des affaires du roy

    Lyon, le XIXe fevrier.

    ou 4 ecus. Monsieur de Rousset naura pour ce coup aucunes

    pour vostre service, je vouldroys despendre mille

    iceulx qui font dancer pourveu quon y mande de bonne

    quele ne soyt

    parler à leur conseil et promirent de me venir trouver mercredi,

    messeigneurs, en prosperité, vie longue. De Briançon, ce XXVIe

    je demeure daller recepvoyr vous coumandements, toutesfoys,

    Des Eymars

    est ce que j’avoys aprins du corrier espagnol mentioné en

    Les Anglois sont partis de ce jour pour leur

    et bon naturel que i’ay toujours cogneu en luy. Je vous

    ne l’a pas esté moings par delà et seroit long à vous racconter les magnifisenses

    la novelle en ceste cour, tousiours pour emouvoir le

    tost le bien autruy que le sien propre et

    au lieutenant du roy d’Espaigne pour

    serviteur

    ce qu’il a perdu tant en Zélande qu’en Haynaut et

    Françoys de Simiane.

    despeche à ma mère et à ma femme quar je n’ay eu le loysir de leur escrire que sera lendroit

    serviteur.

    enfanterye qui est presque incroyable. Je prie Notre

    jamais parler , car il n’y a laissé couverte

    reuscira.

    suivant voz dernières lettres du XXVIe passé monsieur

    Monsieur, en toute perfection et santé, très bonne et

    soien asés près de Flandres, que touttes fois on ne oyt dire

    Mathieu Bovier

    présentois aultre capable et que le temps de présentation se passoit,

    grâce, acompagnée de longue et contente vie. Je me

    Plaist luy seront rendues si monsieur de

    Mourmoiron

    avoit receu avec le Cheylard, ung cayer des plainctes

    secrette information, tellement que j’attens d’avoyr

    trop mieulx les affaires de

    roy, vous accordant ce don[t] vous le requeriés, ne contrevenoit

    de conselier, et qu’il en dispose ailleurs comme bon luy

    heureuse vie. De Lyon, ce 22 jullet 1572.

    arquebusier en Alger, que le Grand Seigneur remet entre les mains du roy.

    Monsieur, vous mainctenir en parfaicte santé, très bonne

    de cueur ou envie que lon aye den manger. Si le seigneur

    Monsieur qui vous ayt en sa garde. De votre maison de

    julhet 72.

    Encores à ce matin, ung marchant de ceste ville

    Nostre Dame de Bologne et me facherait fort dy aller.

    vie et vous orner de plus en plus

    c’est

    de Saint-Bonet intendant des finances, qui me dict

    Valence et moy, lequel dit autrement ne vous estre plus tel

    ma dit san aloit à Grenoble tout maintenant et nous

    Monsegneur, vous donner très longue vie. De Paris,

    je vous prie men donner advis car Monsieur cuyde

    ce mois. Voylà tout ce que je scaiche pour cest heure

    pour le faire prandre. Mays cinq ou six jours

    Nous n’avons icy rien de novel, ormis

    Sur ce, je fay fin, me recommandant bien humblement

    si bien et en si bonne union et intelligence et qu’il vaudroit

    tenir garnison comme les autres chefs, à pour le moins

    de la presante, mais il a changé de desain : au lieu

    raison et le debvoir doibvent veincre lauthorité de messieurs des comptes

    XIII livres la charge, lavoyene VIII à

    envoie celle que monsieur de La Roche m’a escript,

    se doibvent rendre, et nest faicte mention

    que neanmoins il vous plaise ne mectre ceste affère à non

    et tiercellet. Le tenant, ung nommé que

    de Montbrun avoit faict contenance de mander gens pour

    De Simienne

    (barré : pur] pourvoir en plus hault degré, mais

    priant Dieu

    bonne esperensse. Dieu veulhe quil laye sy agreable quil y [barré : prye]

    escus et quelque chose d’avantaige pour laffaire de

    Votre très humble et

    Vostre très humble serviteur

    le pied leur desseyn, et avec ung desadveu de gens mieulx

    luy hont estées offertes par monseigneur de Guise

    atand nouvelles de La Rochelle où monsieur de Biron

    ung mot suivant ce que men mandés. Quand à

    le XXVIe de juing avec son armée pour aller espalmer,

    uns de noz voysins de Champsaur et de La Breolle. Je prie

    amyable et vertueux qui passast avant-hyer à Suze

    et me randre où il vous plaira me commander

    serviteur, ny homme au gouvernement que vous commandés

    fame. Toutz nous anfans et seruiteurs et

    laquelle on dict se faire la retraicte des armes de ces quartiers

    ung pacquet leur à madame de Cazeneufve. Je suis en peyne de monsieur de

    si cecy prenoit plus long traict, je vous vouldrois bien supplier

    consenty audit relaxement, de sorte que je n’ay peu

    à ce temps. Je luy remis en advant ce que desjà je luy avois assez dict,

    ray [barré : ensemble] comme je verray quil sera reysonnable

    Touchant les mil escus, ilz sont toutz prestz, quand j’aurey la

    ce huictiesme octobre 1572,

    actandu que celluy que y pourra estre commis par vous n’en tirera que quarante

    jusques au nombre de soixante ou quatre vingtz tant seullement,

    Prunier

    monsieur le vibaly de Saint-Marcelin avoyt dit à ung gentilhomme

    Avignon si je ne suys mande de monsieur de Carces me

    aviés donné, et n’a esté vandu que cinq escus. Je

    que cela se passera, ce pendant, ele nose bouger encores de ceste ville,

    vous il s’y employera volontiers et ne foys doubte que,

    Monsieur, vous doner en santé, heureuse et longue vie. De

    je larrey à le vous dire de bouche, s’il vous plaist,

    mil francz ; ce que sa magesté ne doibt espargner pour si bonne

    Ville Franche

    Votre très humble et plus hobéyssant serviteur.

    les paysans. Les autres, mesmes ceulx quy avoint

    monsieur le président Beliefvre que vous estes en peine et leur dire les

    avoir plus de XIIc LT pour mon nepveu et que monsieur de La

    d’affaires, j’en eusse peu tirer quelque ayde. Je n’ay point

    veyant qu’il y va de l’honneur et du hazard

    desloger qu’il faira de ceste vile. Qu’est ce

    viés du Montélimars du XXI du passé, vous ne m’en tou-

    Dieu vous donner

    et qui estoyent les plus opiniastres, se sont catholizés,

    plus longue que de mes humbles recomandations à toutes voz

    de la part de ceux de la religion demeure beaucoup, attendant

    Deurre Doncieu

    n’y volloys entendre, causant que je congnoiscoys que feu monsieur

    dire à présent de nouveau. Je présente mes très humbles

    par quoi, Monseigneur, vous supplions très humblement nous

    Votre plus afeccionné à vous faire service

    et leur bien, comme d’ung frère que icy j’heuz de

    Monsieur, qui vous ayt en sa garde. De votre maison de Montoyson

    Monsieur, en parfaicte santé longue et heureuse vye,

    sans escus et III sans charges de blé à vandre.

    reviendra à cent cinquante frans

    plus au long. La royne me demanda qu’il estoit du Montélimar,

    vous feront. Byen me samble

    ne me fera changer de volunté.

    mais vous savés fort bien que nous devons préférer

    mais pour ce que lui doibs fournir enquores quelques

    quelcuns de ses amys ou serviteurs, il la pourroit

    toutesfoys la mallice du temps ny de certains particulliers

    Votre très humble cousin et affectionné

    monsieur de Beuvois qui est avec monsieur le marquis du Meyne,

    incontinant les estatz tenus en Dauphiné, vous espérez venir en ce quartier

    S’il plait à madame et à monsieur de La Roche, ilz recepvront

    monstra fort affectionné à vous. Quant au fait de monsieur

    il nous coupteroyt quarante ou cinquante escus, et y

    à votre bonne grâce, priant Dieu,

    [v] sur ung bras par ung gentilhomme allemant appellé Chélègue

    despuis n’a bougé du Louvre. Du jour mesme, la royne sa mère

    le XXVe décembre mil Vc LXXII.

    de Lyon font souvent courir le discours des choses advenir pour

    par Bourgel, mais cela fut oblié. Je vous supplie, Monsieur,

    Votre très humble et très hobeissant

    vous estats despuis qu’estes en la charge que tenés,

    disoit. Jay receu la lettre quil vous a pleu mescrire par Gellibert. Javoys eu des

    Saint Auban

    vous plairra me mander si entendés que procedions extraordinairement

    frère ou bien si ie passeray oultre. Monsegneur le cardinal

    Vostre très humble et hobeissant serviteur

    Vie. De Vallance, se XIIIIe de janvyier 1573.

    monsieur, en santé, prosperité et longue vie. D’une votre obeyssante

    despendent des terres et seigneuries de mondit seigneur en ont

    graces de mes bien humbles recommandacions, priant

    autres deux demeureroyent pour

    de longue et contante vye. De Gargas le XIII

    rebelles. Je faictz estat de poursuivre à faire nettoyer la campagne

    Gargas

    eulx acquises, sa magesté permet aulx

    obvier à ce dont je vous [barré : mis] fis mention par monsieur le president Bellièvre quar je vous puis asseurer

    que je scay que vous avés tousiours desiré la conservation

    bonne grace et prier Dieu vous donner, monsieur

    aprochera de plus près. Iusques ici, n’y a aucunes

    [146 v°] de la moytié coume nous en prometions. Nous atandons de

    raison par quelque honeste composition autrefois nous nen

    tués la poursuivant pour le constituer prisonnier entre les meins de la

    monsieur de Gordes, en bonne santé, longue vie. Du Camp devant Sommyeres, XXVe febvrier

    lessée à monsieur de Chastellart ; au pis ayant les autres

    le bruit est entre eulx quilz veulent passer le

    Rochelle despuys quelque jours en ça. Aujourdhuy,

    monseigneur vous donner en sainté tout bon succès à

    XVI persones dont il ny en a que cinq bonement opiniastres de

    Lamote Verdeyer

    peu desmantellé, il seroit aysé à le fortiffier

    Rousset

    quelques aultres de Vienne. Attendant voz commandementz, je supplieray le

    monsieur de Dizimieu comme vous m’escrivez et desire bien

    Logière est pour y envoyer si vous ne pouvez y aller et chacun de mon

    beaucoup de raysons elle est à ce soyr à Chabeulh.

    Revol

    Vienne, ce VIe de mars 1573.

    c[apitain]e Lille

    Votre très humble et très obeyssant

    joinct que ou il est un sot, et il n’y a pas grand fondement, ou il ne l’est pas, et il

    [250] [brouillon de la réponse de M. de Gordes]

    vous soit plus fidelle serviteur que

    de donjon est tout pourrie, et seroit

    monseigneur, vous donner en bonne santé

    toutes celles qu’en ressevrés. Madame la contesse de Laval

    vous ramantevoyr de vouloyr tenir votre compagnie complette et quoy qu’on fasse

    les Rochelois n’auront aucung secours. Je n’ay

    serviteurs du roy y perdront leurs escrime, car ledit service de

    La compagnie de segneur Centurion dans deux ou trois jours que la

    son camp harassé du siège se trouvant chargé de nombre d’artillerie

    seray adverti, je donneray tel ordre que toute la foule ne tombera poynt

    monseigneur qu’il vous preserve en bonne prosperité, heureuse vie et longue.

    très bonne vye et longue. De Lauriol, ce XIIIe de mars

    ville de Dye, tant messieurs desglise que aultres

    Monsegnieur, jay sceu que tousjours monsieur de Lestang estant emploié à

    Monseigneur, quil vous doinct en parfaicte sancté très longue

    auroit peu mal informer que je naye voulu recevoir le cappitaine Araret

    de men advertyr, je men purgeray, de sorte que vous en demeurerés

    magesté me permetre de mayder de quelque impot sus le sel qui est

    de le tenir pour excusé du voyage quil estoit tenu faire par deca pour se rendre à

    Je ne feroys pas mon debvoir si je vous celloys la peyne quil prent

    daucune saysie dun acte de justice contre luy que à cause de la desobeyssance

    Charles

    lennemy tient [barré : et se fayct ouyr] estoyt aussy bien en

    Madame, votre majesté entendra, sil luy plaist par les lettres et presentes que jenvoye au roy

    [127 v°] de bien, lequelles nont jamais esté couvertes ne celées à votre majesté ;

    [130 v°] lescalade, y servit sy bien quelle y [barré : estoyt] fut très necessayre

    bien contant du tesmoignaige que rendez du devoir de servyr que faict

    pryant Dieu, monsieur de Gordes, quil vous trouve en sa sainte

    Madame, se ne [barré : ai] seroyt que redicte (barré : de vo] descrire davantage à votre majesté

    devers ledit Montbrun pour entendre plus clayrement leur

    De neufville s[ecretair]e

    suffisant et cappable, mays sy Dieu nous vouloyt tant

    et faire droict à qui il apartiendra si ce sont compaignies qui ne doibvent

    le meriteront et faire droict à qui il appartiendra. Si ce sont compaignies

    en ses guerres civilles que nulle

    monsieur de Meru notre colonnel general en a reçu certain tesmoignaige quil vous

    XXe nov[embre] 1573.

    duquel, comme dict est, il est heretier seul

    Ayant en oultre mandé à monsieur le marechal Dampville de leur fère entandre

    beaucop dautres par le dernier edict de pacification fayt

    que atandu la pouvretté et longue folle que ce pouvre lieu

    y auroyt moyen fère que là où ledit poyement

    luy en estre faict acte par moy, notaire soubz[sig]né [barré : po] prenent

    afin que lhenemi qui guette nuict et jour ne puysse apercepvoyr

    sont icy, en actendant dans deux jours lautre pour le reglement des

    très voluntiers

    le Contat, ni dans la principaulté d’Orange.

    après avoir prié le Createur [barré : vous]

    à Romme en desdain et sur la longueur de don Jehan d’Ostre.

    la trouppe ; et vous supplie très humblement croyre que en

    monsieur avec les siennes très seinctes très bone longue et contente

    desrobée en poste ; mesmes causant le mauvais nom quà la ville

    Monsieur avec les siennes très sainctes, longue, heureuze et

    et faire que tout se rabillera, et peut estre avoir

    servir quelques ungz des votres que le ne my rande affectionné ainsy que je

    moi la grace de faire chose qui soit à votre con-

    Antoyne de varce

    que je dis cecy plus tost pour craincte que à aultre fin, je vous

    peu de temps, si ainsi vous

    faictes, mesmes que les Chappuis nont

    Jehan de brunel

    plus estre regret car il ne demandera pas

    le Createur quil vous doint en parfaicte sancté très longue

    humblement à voz bonnes graces, priant

    Le tiercelet de votredit nepveu cest telement

    ay donné entendre et comme mieulx nous les feront hobeir. Sil

    bourse comme chacun scavoyt assés. Je ne vous ay

    enquis. Bien voudroye-je quil ne fust advenu.

    sil ne parle des grosses deues il ne sen depaisera

    novembre 1571.

    NB : Moras-en-Valloire (45° 28' 91'' N ; 4° 99' 57'' E) est situé à 7,5 km au Sud-ouest de Beaurepaire

    contesse de Rossillon, a dict avoir esté expressement

    [v°] extraordinaires que pour le sel tiré. Je ne me suis pas donné beaucop de poyne pour faire

    en ayant ausy, et pour le general parlé à monseigneur le duc

    aujourdhuy advant que ie retourne.

    et celles qui seront faictes pour cest effaict seront beaucopt

    A. Draqui

    icy, il n’y en a poinct dapparance, sinon que ledit faict de La Rochelle

    sans que iaye peu savoir encor ce que a esté resolu sur larticle desdicts

    laquelle seroit bien de besoing estre desmantellée ; et s’il vous plaisoit escripre à

    de quinze ou vingt jours à Senerpont, je ny ay poinct

    sont assés umbrageux. Monsieur le president Miliet est

    favoriser son entreprise. Je neus jamays tant de regret à chouse de ce monde que ledit Fermillyer ne

    infertil et de moindre estendue que toute autre province.

    continue le bal que par oppignon quil a destre amoureulx

    commandemens jobeyrey très voluntiers.

    darrierages destats. Bref, cest une mort que [danser et]

    affaires de ce pays. Pour mon particulier, monsieur

    fogages et aultres quingz que se lèveront

    nostre ville en quallité que pour cella ledict chasteau ne seroit assuré et

    personaige, quelque semblant que aulcuns facent

    nestoit le respect dudit sieur de Langes. Je vous beise

    entretenu. Je vous mercye très humblermant de ladvis quil vous plaict

    encores et se sont contenus durant

    donner,

    ment me pardonner ; et de rechief vous supplie

    Il y avoyt une porte au derrière du château par où ilz

    à mourir, de donner tout à voz enfans. Je vous supplie donc,

    de la ruyne quilz prethendent fère en tous cez quartiers,

    de retour et les recouvrera à premier jour. Le

    en très bonne sancté et longue et heureuse vie. De Grenoble, ce

    Pour la fin, je vous supplie très humblement commander

    Pour la fin, je vous supplie très humblement commander

    entre autres choses, il me semble que vous pouvés

    compte destre plus avaricieux à ladvenir que par le

    De Grenoble, se honziesme fevrier 1574.

    que on lui a faict à Vallance auront lieu pour tanter quelque

    compaignie. Encores pourrions nous fère par advanture

    abatu et ruiné de tout leglise de Chancella ces jours

    Le laquey en est

    an hiselles et vous donner santé heureuze et longue vie.

    fornir de mande

    et quilz deplacent les vivres de là en ceste ville en toute dilligence.

    G.[uillaume] D.[’Avançon] A.[rchevêque] D.[Embrun]

    fut vendu en la place vingt florins et l’argent baillé à une hostesse

    responce de madame la grand de sa deliberation, je ne

    bonne grace, priant le Createur,

    lettres dès a nuict quil arriva bien

    propos et quilz soyent bien environnées de bon nombre de gens de piet. Lendroict des lieus que les ennemys

    aussi painé au paravant qui

    Le dix huictiesme febvrier, je, consul,

    serviteur

    que par icelle, nous aurons ou une bonne paix, ou une bien fort grande guerre à laquelle

    monstre de votre compagnie. Jay lessé charge à monsieur de

    [278 v°] desorte que ne soumes hors de bone esperance, ayant à

    Comme ie fermois la presente, jay receu voz lettres du XVIIIe et celles quescrivés

    letres de madame la comtesse de Grignan, ni de moy.

    escus et expauser ma vye et tout ce que jay en ce

    heure. Je supplie le Createur vous donner

    finie et dautant

    ce quilz nont pas faict, vous asseurant, monsegneur, que ledit château

    febvrier 1574.

    ci vous que je veus aylié treuver à pyé, je le

    ladite lettre qu’estant messieurs de Villeneuve, de Salabos et

    retour. Monsieur de Montmorency est encore

    puis presque asseurer bien que la cause sera retenue

    et libéralités de quoy la royne d’Angleterre ha uzé. Au reste, pas ung mot

    roy à se déclairer en ceste guerre s’ilz peuvent ;

    que c’est moins mal fère endurer [barré : qu]autruy

    scavoir si nous aurons paix ou guerre.

    N. Mulet

    le dernier venu a veillé sur la conservation du reste.

    où je salueray voz bonnes grâces par mes très humbles recommandations, priant Notre Seigneur vous

    Bressieu

    Seigneur vouloir avoyr pitié de ses povres chrestiens.

    maison qu’il ne soyt eifondré et l’y avoyt

    De Venise, par lettre du dernier passé, l’on escrit comme monsieur le marquis de Meyne

    d’Evènes et monsieur de Laval. Je présente mes très humbles

    longue vye, avec l’heur et contentement que vous désirez.

    rien de sertain. Canpt à monseigneur de Nemours, il na

    craignant perdre le droict donné à la Maison de Chartreuse de

    recommande de fort bon cueur à la votre et à celle de

    Menville est home de promesse. Vous

    que ceulx de la Religion de votre gouvernement font

    parachevé l’enqueste d’office dudit Brunat pour

    sa magesté et aussi craignant

    poinct à ses ordonnances sur le faict des offices et parties

    sembleroit. Il me dict après qu’il le bailleroit au vibally

    Votre très humble et hobeyssant

    Si cella est vray monseigneur, je ne scay, mais l’on m’en ha bien fort asseuré.

    et heureuse vie. De St Chamond, ce XXIIIIe julhet

    que scavés a envie de doner une cassade [mots

    Montoison, ce XXIIIIe de juilhet 1572.

    Vostre très humble et affectionné

    m’a dict que troys batheaux chargés de mognitions

    [v°] Jay aurreste bien veu ce que monsieur d’Hourches vous ha escript

    en ses dons et graces. De Valcluxon, ce XXIXe

    votre très humble femme et bien obé

    de mesme que l’on ne vous avoit pas oblié [barré : fut]

    quil a esté du passé. Cest la moindre perte que vous pouvés faire,

    avons ce peu de loisir, à monsieur de St Scerny et

    ce XIIe aoust 1572.

    par sa lettre que ma compagnie soyt jà

    digne de vous escripre. Après mes bien humbles recommandations

    après Dieu, pour son peché, le fit revenir en ce lieu

    que nous voesins vivent avec grande

    à votre bonne grace et de madame, votre bonne

    mieux qu’il y eust quelque division et que l’ung picqua l’autre ;

    que chacun y feut à son tour. Et si suis dadvis

    daler an poste, il san va à ces jornées à la compaignie

    de Parys, Dieu nous en doint bonne issue et lequel je prie

    IX livres la charge, commansera en demander

    par où verrés comment il se trouve court d’argent,

    de ladicte compaignie, non plus que de plusieurs

    challoir comme par un juste desdaing, ains vous defendre vivement

    j’avois sur la main en ce desbatant, ce

    envoyer en Flandres et que ceulx de ladite religion se faisoint

    il ne ma point dict que à sa despartie,

    Monsieur, quil vous doint la sienne, accompaignée de longue et

    passe toujour. Jay veu ce quescripvés au sieur des Vignals. Il

    messieurs d’Huryage ; et ne fauldroit que emprintessiés

    très obeissant serviteur

    G deportes

    nez et moyns ingratz, rendre honteux les poursuyvans.

    avec sa maison de Nanteul ou autre où il

    pourra meshui estre arrivé. De Flandres, l’ons en

    la damoiselle que iay vue en Bourgogne, je vous ay

    assir et se joindre avec Cargely qui avoient le

    Dieu qu’il nous en face la grace. Je ne vous seray

    avec quarante cinq chevaulx à demye poste. Il s’en va légat

    dausi bon cueur que je me recommande bien

    qui de meilheur cueur vous fasse service que je feray, et de la

    fames au lit ; ma filhe de Sassenage avec

    et le nombre des chiefz qui se sont treuvés en ladite foire

    Tailladé pour n’avoyr eu aulcunes nouvelles siennes despuis ung moys ou cinq

    me descharger de ceste despence, car le tout est venu de

    de moingtz, attendu ledit consentement, que de l’eslargir

    que s’ilz se feussent trouvés en lieu où on leur eust peu mettre

    commodité les vous envoyer ; mais assurés-vous que ne les mettray

    Votre plus humble et plus affectionné à

    livres, et moy y estant en auroys pour six payes, ce qui serviroyt à reparer

    que je logerey sus les bras des messieurs à catholizer et

    nommé le sieur de Golar, avoyr charge de vous d’assanbler les

    rendre devers luy que je ne scay pas eseement les dit sieurs

    fournirai tant qu’en aurai le moien, et spère l’avoir

    et je la désire à La Coste

    s’il vous playt en scripre affectionement, que je ne l’enporte,

    Grenoble, ce XIXe d’octobre 1572.

    par Augustin, pour ne vous envoyer par trop grande

    occasion, oultre que le tout seroit bien remboursé pour

    Je vous mande une lettre

    Brette

    chevaulx, s’estoint escartés en divers endrets.

    dangiers esquelz ilz exposent leur persone et leur bien, mesmes ceux qui

    Coste lui debvoit de reste. Je ne puis scavoir que

    de novelle que monseigneur le prince dauphin soit party

    que vous en puis escripre, me recommandant sur

    chiés ung seul mot de ce que leur escripviés le mesme jour. Je

    Monsieur en sancté contente vie. De Paris, ce XXVIme novembre 1572.

    mais nous sommes bien en peyne si nous y debvons fier. Nous

    bones grâces, et suplie le Créateur vous doner,

    le temps que monsieur d’Ourche m’en ha escrit. Il y a apparence

    le conte, que Dieu face merci, prenoyt plaisir de l’havoyr. Je vous

    recommandations à votre bonne grâce et de celle de

    y voulloir prouvoir sellon votre bon plaisir et congnoissence,

    Mandelot

    novelles de monsieur d’Antibou là où il me

    ce VIIIme de décembre 1572.

    me recommandant très humblement à votre bonne

    Je prye Dyeu vous tenyr an sa seynte garde é

    d’autant qu’on luy avoit dict que les huguenotz s’en estoint

    que ne devés quyère tardé

    Après disné, Dieu aydant, je le verrai

    l’honneur de Dieu et la satisfaction de noz consciences

    pièces que j’atans heure par heure, je ne m’assure

    donner à quelque aultre, que me cause, monseigneur,

    n’empêchera, quand y aura juste occasion, que ne vous

    serviteur de La Coste

    ce que lui a esté accordé. Mondit seigneur le Grand Prieur

    et par la votre dernière du [barré : VXe] VIe, vous m’escripvés que vos ditz [barré : esttat] estatz

    au pied de la présente mes très humbles recommandations à leurs bonne grâces.

    d’Ourche, j’en suis en toute la peine du monde

    lessant le courtaut pie, nous nous porrons passer d’ung courtaut

    Monsieur, qu’il vous doint en santé, bonne et longue vie. De Saluces, le

    cuidant frappé ung sanglier aux toiles. Dieu mersi, il

    fut fort pressée d’ung catharre don elle se douloit quelzques

    Vostre très humble allié et serviteur

    nouvelles de celles qui sont advenues. Tant est que on nous a raporté

    escrire à monsieur de Fictes, trésorier de l’Espargne qui

    serviteur

    ayant monsieur de Chatelart recouvert atestations de

    nouvelles de la court comme Monsieur et monseigneur le duc et monsieur

    contre les absans nommés en linformation que jay faicte

    de Lorraine n’est encor arrivé, bien est-il fort près de

    Clement Faure

    Votre très humble et aubeyssant servyteur

    mayson de Guysans, ce quinzième jour de janvier.

    bien leurs part. Il y a icy ung gentilhomme quont appelle

    Dieu,

    la garde daucune villes et cha-

    de janvyer. Selon se que ma dyt monsieur d’A[p]t

    et aussi de faire marcher deux ou trois pieces dartillerie pour quelzques

    commissaires de vendre lesdites terres avec

    que je ne suis pas sans peyne de seller mon voyage, comme monsieur de Rousset vous tesmoignera à voz

    des gentilzhommes qui sont de bon lieu comme ilz sont

    de Gordes, en parfaicte santé, longue et heureuse

    tranchées faites, si nest aux vilages où l’ons est campé

    jour en jour monsieur d’Hourches et par mesmes moiens de vos

    esperons rien que par forsse, lors que notre artilherie

    justice et yant faict difficulté dialer[=d’y aller], a heu ung

    1573.

    expeditions ne debvés retarder l’euvre car lons aura bien

    Rosne. Toutesfois je faictz courir le bruit que

    monsieur de Bressieu a mandé prandre son lougis et

    voz affères et augmentation de votre grandeur. A Dye, ce premier

    se rendre le surplus monstre quil se lairroit accommoder. Quant

    bien tost à ce qu’on m’a dict, actendu aussy la

    Createur,

    de luy pouvoir satisfaire en cela comme j’espère que je feray.

    gouvernement vous obeira comme

    Vous m’en envoyrés s’il vous playt votre voulonté.

    Votre affectionné et très humble serviteur

    Je desirerois bien que monsieur

    serviteur

    se fust bien gardé de le dire s’il eust pensé qu’on le deut essayer. Je me doubtois

    Monseigneur, le XVIe de ce moys j’ey receu votre lettre du VIIe et ne scay comme

    moy. Prient Dieu vous donner,

    bien requis de changer le molin qui occuppe

    longue et très heureuse vie. D’Exilles,

    a esté yssy estant très marrie comme elle dit tant du Pousin que

    courir le bruit soyt de la prinse du Pouzin et de Vileneufve. S’il est vray

    voulu mettre ceste depêche dans celle du pays,

    sa majesté, quoy qu’il en soit, depend en partie de ladite vollunté

    fourniture ordonnée estre faict par certeines aides et villages procheines de

    et qui pis est n’estant pas les compagnies de gendarmes qu’il a

    sus ceulx de ce gouvernement. Et quant à secourir mondit sieur de

    De Vallance ce trèsiesme mars 1573.

    1573.

    ne scaurront armer huict ou dix personnes. Jay

    estre secouru de quelque somme pour lentretenement de sa table, il vous

    et très heureuse vie. De Vienne, ce XVIIIe mars 1573

    et le mectre avec sa compagnie dans Vallence suivant votre commission, aussi

    satisfayct ; et, monseigneur, je vous envoye la coppie de la despeche

    à la moindre foule de voz sugetz, dautant que lestranger en paye sa

    lassemblee du clergé et quil demeure et semploye où il est allé pour mon service

    et la despence quil y faict.

    [barré : obeyssance aux editz du roy et si ne fault pas quil vous fase enten]

    de Neufville s[ecretair]e

    bon païs comme il est dans les montagnes, certeynement

    le traicté etaccord que jay moyenné avec ceulx de la nouvelle oppinion de ce pays.

    cest quil ma semblé estre de ma charge de vous escrire sur ce quil

    ledit Mirabel et ce qui [barré : nest] ne fut executté lors, se retirent

    le sieur carlo Marconi son lieutenant, lequel continuant se peult asseurer

    garde. Escript à Paris, le XXIXe jour de juillet 1573.

    que ce quelle verra par ma despeche que je fait au roy et copies que je luy envoye

    intention.

    [162 v°] favoriser que [barré : leschen] nous eussions du meilleur jamays

    que passer quand elles approcheront ung autre gouvernement celluy

    qui ne doibvent que passer, quand elles approcheront ung autre gouvernement,

    autre du Daulphiné. Despuis le

    plaise faire haster le plustost qui pourrés ledit payement, estans retombez en la mesme

    Voz plus affectionnez à vous faire tout humble service.

    requerant privision. Pource est il que nous, ces

    linouvation faicte de leur cousté au prejudice de ladite suspention

    Du XVe no|vem]bre 1573

    à La Rochele, par le quel nest faicte mencion de rendre

    a souffert, quil vous pleize metre peyne de fère partir le

    ne viendroyt chacun moys, quil fut promis

    les soubz nommez pour tesmoingz, lesquelz tous ensemble

    notre intention qui se vouyant peu ou pro[u] descouvert, on ne pourroyt

    contributions où nous serons fort empeschez. Quant aux lieux où [barré : com]

    employé comme

    Plus ny est comprins le quartyer de Lens de Chaussan.

    monsegneur, vous avoir en sa garde. De Grenoble, ce

    Et pour navoir rien peu de merite que ce que dessus, je vous

    quelque part que je soye, je me garderey bien de faire chose

    vie. D’Apt, ce XXVIe danoust [sic] 1571.

    de Nismes, ou monsieur de Joyeuse mesme ne l’a voullu passer

    contente vye. De Salon, ce XXXe dauoust 1571

    assignation pour leur payement sur la recepte generale comme

    le debvey sperer ; dung quy vous est

    tentement. De Luques, ce VIII d’aoust 1571

    dirois vollontiers que nous aurions bien besoing encor pour quelque

    pleysoit.

    encores parfaict le pressoir alentour

    mieulx que davoir occasion de passer oultre

    et heureuse vie. De Blanieu, ce XIIIIe septembre 1571.

    [136] Dieu vous donner

    rebattu quil tourne la cues à tous coupz aus

    vous plaict nous y commander voz bons plaisir, que sera la fin de

    point ouy parler de celle lettre du cardinal Alexandrin

    jamais, mais ce pendant, il fauldroyt pour …..

    Votre très humble et très affectionné serviteur

    envoyé devers sa seigneurie par les consulz et scindicz

    commectre ceulx qui defaillioient en la commission de bail de voitures, puis que

    [v] auquieul, si trouvés bon, ny aura mal [barré : luy] escripre

    moindres et seront esgallées sur tout le general. Jentens pourveu

    apporta quelque changement es voluntes desdits protestans et vous

    pareatis. Quant à la plainte des exemptés de la taille couchée

    monsieur de Cheuvrières, auquel appartient la moictié dudit château d’Ornacieu, de faire

    faict passer mon homme ; toutesfoys, comme jay sceu

    en Suysse depuys mon arrivée pour bourner quelques limites

    fut arresté en quelque lieu revenant devers le sieur de Mombrun, affin quon heu veu ce quil portoit.

    Sur ce, vous ayantz presenter noz très humbles recommandations,

    dune [barré : feme] dame maryée, et nen pert pas un ne une

    Vostre très humble et plus obeyssant

    negocier et ci, mesmes en manière de finanses. Jespère en scavoir

    il avoyt pleu à monsieur d’Ambrun pour la garde de

    de par deçà seront destinez au paiement

    nous nous sommes bien resolus à nous bien deffandre proveu que Dieu

    du contraire. Quoy quil en soit, en tout ce que

    enquores ung coup très humblement les meins. Jatans de vous

    de men donner, ce nest la première obligation que je vous ay en eschange

    la trefve ; que sera la fin, après

    monsegneur, en très bonne saincté, longue vie et vous aye

    croyre de mon intégrité, de la bonne volonté que jey

    debvoyent [barré : es] entré, quon trouva ouverte. Le cappitaine La

    monseigneur, men escripre ung mot et à elle. Madamoiselle

    je ne povons quesperer entière desolation du pays

    roy ne bouge du lit et ha heu quelque peu de

    10 febvrier 1574.

    à lenseigne du cappitaine Mestral deslivrer à

    à lenseigne du cappitaine Mestral deslivrer à

    [barré : dire] faire remonstrer à icelle

    passé et quil [ajouté : scavoit bien] que je navoys volu servir vacation [que voila]

    Voustre très humble et

    autre moien que nous avons advisé sa mère, son frère et moy, avec

    chose et les esclarcir de telle fasson et chasser loing de

    passés ; qui sera landroict que ferey fin par mes très humbles

    arrivé avec toutes

    De Grenoble, se 13me fevrier

    ment pour la

    despendu par eulx. L’on a esté contrainct leur ordonner le pain du roy qu’ilz

    fauldroy vous aller bayser les mains pour recepvoyr

    monsieur, vous conserver hereusement en bone

    tard, ausquelles vous fera response

    tiennent leurs est favorable à raison des advenuees , si bien que jestime que les gens de cheval nauront

    luy avoint dit quilz estoint de

    suis venu à Grenoble [barré : pour] et là,

    Jean Besson

    il se fault preparer et endurcir du tout à souffrir beaucoup de

    Chatellard pour recouvrer le comandement pour le comissère

    mon advis, rien oublié de leur remonstrer les failles

    à monsieur d’Haultefort, que ie luy feray tenir dès ce jourdhuy.

    Elle nest sans beacop denvi, ayant sa filhe bien

    monde, comme celluy que vous est affectioné et

    monseigneur, en santé bonne vie et longue. De Grenoble, le XXIIIe

    que ledit seigneur a

    estant avitualhé et bien fort et pour ce deffendre avec peu de

    Votre très humble et obeyssant

    feroy de byen bon ceur pour le desyr que jey de vous fère

    moy ensemble, il nous dit estre du roy du Portugal duquel

    en Angleterre, d’où il ne partira que le courier

    en ce parlement, qu’il voudroit encor estre devant

    du mariage de Monsieur le duc et de la niepce et rien que de la Ligue

    pour à quoy parvenir, ilz n’oblient invention ny artifice.

    qu’endurer soy mesme. C’est ce que feu monsieur

    Pour le moingz, je me porte bien, Dieu

    On tient qu’à la Franche-Comté on prépare le passage

    donner

    Je croys que vous avez pu entendre par cy devant

    On m’a mandé de Marseilhe et d’Avignon aussi que

    [f° 271] pierre que pesoyt treize, quatorze et dix sept

    s’estoit embarqué contre le vouloir de l’ambassadeur de sa majesté qui feist plusieurs

    recommandations à votre bonne grâce, priant Dieu

    En Avignon, le XIIIIe de juilhet 1572

    poin esté an dangier don le bruit a couru et fet bonne

    [v°] présenter ladite cure, fus contraint de présenter ung nommé messire Claude

    madame de Gordes. De Gargas, le XVIIe juilhet 1572

    nous aviés escrips par ce mois d’octobre. Je ne vous puis, pour

    touchant le traictement qu’ilz ont receu puys l’édict

    en après faire droict, sur ce que résultera

    qu’il ne la perdit, je nay voleu

    casuelles ; que, comme monsieur le tiers président Bellièvre

    de Gap, sur quoy je luy dis aussi que si nous ne précipitions

    serviteur

    Se pendant l’on tient icy la guerre desclerée contre le roy d’Espaigne,

    1572

    barrés] au lieutenant de sa compagnie, mon seigneur de Neumours

    Votre humble et aubeissant

    Serviteur

    sont partis à la mynuyct et s’en vont randre à

    du quieul vous renvoie la letre. Je suis très aise

    juing 1572

    yssante amie

    le jour précedant au conseil, mais que l’on n’y croit

    estant dune si escabreuse humeur comme il est.

    à moy, vous fère ce mot.

    Votre très humble serviteur

    assemblée ou je croys quelle aie set monstre

    à votre bonne grace, je supplie le Créateur vous donner,

    où je le saizis moy- mesmes au colet avec

    sospeçon de nous mesme pour l’arivée du

    partie, priant Dieu de vous donner,

    c’est que vous rabatissiés [barré : leurs] ses procedures de la cour

    monsieur, de la luy remetre incontinent à mon arrivée,

    de monsieur de Treucheneu et de madamoyselle

    Monsegnieur en presentans mes très humbles recommandations à vostre

    X livres quand les grains seront dans les

    oultre que monsieur de Roissy se rend difficile à me

    aultres. Si vous en scavez quelque chose et

    affin que vos adversaires et envieux ne se puissent vanter

    rompit la cuisse ; le tiercellet l’aultour

    ouyr en avoir mandement d’ung Grand, et que ce mesme Grand

    on reprinst ces termes.

    contante vie. D’Apt, ce XVIIIme aoust 1572. Je suys très ayse

    me fet tenir toutes vous lettres et, par mesme, monsieur

    voz bons seigneurs et amis ; en tout vous adviserés au

    S. de chastellar

    Quoy que ce soyt, je seitz votre conscience et la nostre

    aymera mieulx se retirer. Monsieur, nous sommes en

    parle fort diversement. Le duc d’Albe bat

    escript quelle estoit malade lors que feus voir la

    surplus de vaisseaulx jusques audit nombre de deux centz

    ennuyeux de plus long discours, si ce n’est pour me

    en France avec plaine puissance comme s’il y estoit pape. Je

    humblement à voz bonnes graces comme aussi

    mesme volunté que je me recommanderay bien humblement à votre

    [3] une sienne cousine. Il ia unse jours entre

    selon qu’y nous sont esté nommés par nom et surnom avec leur

    sepmaynes en-sà qu’il me mandoit qu’il avoit la fiebvre et qu’elle ne faisoit point

    ma bource, et aussy m’advertir votre volunté de tout ce que

    moyenant caution, et à la charge de se representer, luy

    la main dessus, que vous en eussiés rendu bon compte au roy,

    en mainz qu’ilz ne soyent bien seurs, pour peur des inconvénientz ;

    vous faire service.

    ung peu des pertes que j’ay faictes par le passé. Toutesfoys, Monseigneur, […illisible]

    des plus suspectz nouveaulx catholisés, attendent l’ordre qu’il

    commissaires pour l’atraper. Je feis response à celuy qui me porta

    mescripvent sil leur plaist et se contenteront après que jaray

    pour enquores par cellui de monsieur de La Roche,

    que j’estimeroys ung grant bien pour moy ; lequel je vous

    Vostre humble

    lettre, nous recomandant humblement à votre bonne grace

    ceulx qui desireroyent jouyr de leurs biens. J’açois que

    que ung de Trescleux a escript à Piarre Reynaud ;

    Je vous supplie, Monsieur, et à mesdits segneurs de la cour, de ne trouver

    L’ons n’ha pas grand espéranse que ceulx de La Rochelle

    avoint si bele et bone pièce et tant évaré de plusieurs et qu’il sufier-

    C’est, car ne scay rien de vous marchés. Il m’a dit vous mander tout par contes.

    de Saint-Fergeau pour faire son voyage en Daulphiné,

    ce très humblement à vous bone grâces et priant Dieu

    vis madamoysele de Caseneufve et sa petite trouppe en

    Vostre à jamais très humble et très obéissant frère

    faisons bonne garde, tant qu’il est possible.

    Monsieur, en toute prosperité, santé, longue et hereuze vie. A Venterol,

    que monseigneur le prince daulphin viendra en son gouvernement

    puis assurer qu’il ha grand envye de vous faire service. Il est

    monsieur de La Roche, priant Dieu,

    aient esguard, Monseigneur, aux grandes folles et

    commande vous présenter ses très humbles recommandations

    Votre très humble et aubéissant

    grâce. De Cadenet, ce VIIIe décembre 1572

    potesyon. De gargas le XII de désambre. Je ay fet

    saisis, et bien que je luy disse qu’il n’en estoit rien, mais que

    et y doner l’ordre tenir lyeu

    car ie vé coucher à Sapt. Monsieur Belièvre

    à tout ce qu’est en ce monde. Les exemples de tous ceux

    pas trop sur lui. Je suis tousjours ausy sur l’atante

    vous en importuner de vous supplier, si le treuvés

    tiengne adverti du tout ce que se pourra présenter et

    L’on m’escripvit avant hier d’Aix qu’il se y fesoyt bruyt que ceus de Nismes voloint tacher

    m’en fit lors offre d’une pancion de mille Lt ; pour le moins

    sont achepvés, nont tenu que troys jours et que le tout cest pasé avec

    Monseigneur, je vis à Aix le seigneur collonel Alphonse qui me

    si esperè-je que nous en viendrons à bout et par mesme

    de vinct escus, lequel nostre palefrenier porra tousiourzs

    XXIIIIe jour de décembre 1572.

    est presque guéry et despuis veu ledit Chélègue, bien que

    jours au paravant, qui luy descendoit par la joue gauche

    G d’Avanson, A. d’Ambrun.

    que à La Rochelle, ils ont déjà dressé une république sur le principe

    sera en charge ceste année prochaine pour le faict des

    Chalhol

    tous les tresoriers qui vous hont paié et espère,

    devoyent partyr en pouste par le landemain des Roys pour aller en Anjou

    en vertu de votredite commission laquelle je vous envoye

    ceste ville. Jay faict response à monsieur de La Coste dans

    La Thivolliere

    Le present porteur vous fera entendre enquoy importe

    le cappitaine Savignat quil comande en l’absence de [barré : mond]

    monsieur, qu’il vous donne en santé, bonne vie et longue.

    steaulx de cestuy votre gouverne-

    monsieur d’Evènes avèt anvye de fère le voy[a]ge se

    chateaulx quilz tiennent là ez environs, en attendant que toutes

    ladite plusvallue au plus offrant et

    premières vues, et neanmoins pour le meilleur, il est de besoin que jen use en ceste sorte. Il suffira que

    et appartiennent à beaucoub de gens dhonneur en

    vie. De Lunel, ce IIIe fevrier 1573.

    et quelques maisons plus proches de la vile où y a

    nouvelles. Nayant autre à vous dire, je me

    sera en baterie nous jugerons plus eseement

    ajournement personnel pour les causes resultantes du procès criminel

    Votre plus affectionné, parfaict et asseuré ami

    moien tousiours denvoier les autres mesmes à Roume.

    vous debvés arriver de jour à aultre qui

    ma asseuré son homme quil arrivera demain venant

    mars 1573.

    au sieur de La Noue, ledict capitaine Hieronimo dict que lon en parle

    bonne volenté de ceulx de la ville que tienent

    monseigneur qu’il vous preserve en bonne prosperité, heureuse vie et longue. De Vallance, ce quatrieme [barré : fe] ^ [^ mars] 1573 .

    J’avois dissuadé tant que i’avois peu au sieur d’Araret de

    à moy mesmes

    Quant à Sommière, ons la batue d’ung aultre cousté.

    C Mitalier

    le président Truchon receut mes

    de Rival

    bien que à peine monsieur de Mandelot vous escriroit de la Robinière, et me semble que je le

    je vous ay fayct entendre par une missive precedente d’où vient la

    monseigneur, en santé, très heureuse, prospère

    la tour plus ncessaire à la deffence du donjon

    ce VIIIe mars 1573

    des molins qu’ilz luy hont prins. Monsieur de Vaucluse a couché

    comme m’en a dit le tout est precedé de negligence et avarice et pert

    pensant que la prise du Pousin vous auroit faict

    du peuple, laquelle estant de mauvaise condition, aussi

    Loriol par ordonnance de mondit segneur de Rousset pour leur entretenement

    fournies comme il appartiendroit ne par de là qui devroit estre

    Laugières, je penssoys que vous eussiés esté adverti de la perte de Vile

    Votre très humble et très obeysant

    Votre très humble serviteur

    commandé aulx consulz [barré : ne] de faire ung magasin

    plairra menvoier ce quil vous plaict que je delivre à monsieur du

    Votre très humble et obeissant serviteur

    vous certifier de mon debvoir, oultre ce que javoys desja [barré : pourveu] estably en ladite ville

    que presentement je fayz au roy, par la quelle verrés les affères que jay

    part. Il me semble que seroyt très à propos. Je viens presentement

    et le bien du pays. Mais estant icelle assemblée tant necessaire et pressée, il est

    et quant il vous plerra que je vous fasse entendre plus

    leurs forces se augmenteroyent, et sy je voys

    Ayant sceu celluy qui a esté faict avec les Rochelloys, dont jen suys attendant

    ce presente mainctenant desdits estatz, lesquelz nont jamais tendu ne tendent

    au chasteau [barré : y ayant mis le seigneur d’Ourches les gardes

    destre recongneu et favorablement traité, sen presentant loccasion. Vous en direz

    Charles

    tant pour le regard des deportemens de ceulx de la nouvelle religion, que

    Sire, etc ...

    province des votres ne fut sy heureuse ne sy soulagée

    que vous aurez mis à la conduicte d’icelles, ne fauldra d’en advertir

    celluy que vous aurez mis à la conduicte dicelles ne fauldra d’en

    commencement de ses dernières emotions,

    necessité quavons eu au paravant, delaquelle sy promptement ne sommes

    De chavanhac de philippi et au dessus

    choses considerées, vous mandons et enjoignons par

    affin de la fère reparer, incontinent remectre la place ez mains

    Crest : VIIIm pains VIII p. v.

    leurs biens ni lexcercice de la religion aux abssans qui

    comissayre pour nous faire fère mostre car si le poement

    à mondit sieur de La Sallete, lever les contributions

    ont dict et respondu quil ny a aulcung de ladite nouvelle

    latraper sy ayseement come on fera si le faict est menié prudemment ;

    commandent messieurs de Grignan et le viconte Paulin, il y aura autres

    je feray quant

    Ny est comprins aussi le quartier de monsieur de Mirabel

    Premier aoust 1571.

    baize très humblement les mains et suplie le Createur vous

    en quoy je puysse cognoistre que soit à la desobeissance du

    votre très humble cousin et affectionné

    à cause du peu dobeissance que jentens que rend ce peuple là aux

    Votre très humble cousin et serviteur à jamais

    on men a donné esperance ; et si les choses dependoint de

    très humble et hobeyssant à vous

    votre très humble filz et très obeissant servi-

    temps d’avoir icy une trouppe des Corses ou aultres qui demeurent en

    Vous commanderés au mulletier

    desquelz pour leur prouvoir de ce que

    et si toutes voz lettres nauront pas lefficace de

    Votre plus humble et obeyssant serviteur

    Monsieur, très heureuse et longue vie.d’Apt, ce XVIe 7bre 1571.

    [barré : perris] perdris et ne seras pas èsé à le remettre

    la presente, avec les recomandations très humbles de monsieur le lieutenent

    que ledit seigneur Torquato dict vous avoir envoyé,

    que monsieur le comte de Vantadour à qui icelle appartient

    Bellievre

    dudit Ay et Suray pour, et à leur nom, luy presenter la

    jay veu par votre dernière lettre quaussy bien tous messieurs les commis au faict du sel

    en remerciement de laffection quil ma assurer [ avoir]

    que quelques temps après vous ne retiriés les forces dycy, car

    pouvés penser si par le moyen du commerce que nous avons aujourdhuy

    suivant vous memoyres audit cayet, le roy veult entendre les non et qualités

    garder ledit château par moytié à ses fraiz, comme font les aultres, ou bien le faire

    par lhomme qui en est venu et par ses lettres, il est

    avec ceulx de Berne qui y ont mandé lung de leurs

    Monsieur d’Evènes ce souviendrat bien de ce que je luy en dis plusieurs foys. Je massesure quilz metront

    nous prions Dieu,

    cadance. Lon a descouvert ces jours passés des amours

    Serviteur

    dans six ou sept jours au plus et men aller estre [ ??]

    mon chasteau du Saix de moy doner douze homes

    de ladite compaignie dudit sieur de Laborel

    nous face ceste grace que nous ne soions trahis, dequoy nous avons

    je pourrey, ne manquerey de satisffère à vous

    nouvelles et bone devotion, mesmes ayant sceu que le sieur Coulin

    de tant de biens que journelement que reçoys de vous. Je vous supplie[barré : q]

    vous avoir presenté nos très humbles

    en sa saincte et sauve garde. De Grenoble, ce VIIIe febvrier 1574.

    à vous aymer, honorer et perpetuel service daussi bon

    Balme feust adverty comme javoys envoyé à LA Mure le

    et seur pour laller veoir princt ung semblable

    circonvoysin. Que sera lendroict que je continueray

    frisson au dernier jour de son excès. Jespère en Dieu

    Votre humble et obeyssant serviteur

    ce pourteur largent des soldatz de ce lieu

    ce pourteur largent des soldatz de ce lieu

    comme cestoit en Languedoc à monseigneur le marechal

    que je me trouvay enserré dans la ville pour les

    plus hobeysante pour vous

    ladvitz de messieurs vous frères, estant veneu ici principallement pour

    nous quavec deux compaignies on pourroit garder ceste

    recommandations à votre bonne grace, priant Dieu

    vous lettres, que jey faict

    Monsieur, je vous suplie mesquzer

    partie de sinq

    Monsieur en parfaicte santé, heureuse et bien longue vie. De Grenoble, ce

    n’ont payé, ne aucuns autres fraiz ne despens ; et quant à l’arquebouze,

    voz commandementz comme celuy qui ne desire aultre chose

    sancté et longue vie. De votre mayson à Grenoble,

    par la premier et na vollu permectre

    aultre peyne que de faire quelque guarde pour toutz evenementz. Je seroys par trop prolixe si je voulloys dire

    la religion pretendue reformée. Et

    le sire Enymond Perroct exacteur desdites

    maulx.

    et conterroleur, sperant que le dit sieur de Chatellart viendra

    et charges de ce gouvernement, de mesmes celles

    Votre très humble et oubeissant

    fort malade dung reume qui luy desant sur le

    hobeyssant serviteur. Je vous change de propos que

    jour de febvrier 1574.

    tousiours accordé

    gens, combien quilz tinssent la ville. Je vous envoie lacte du

    serviteur

    servyce. Je vous supplyons très humblement, toutz ces

    il portoyt l’escusson et parloit languaige portugais, ledit sieur de

    qui arriva hyer de sa part n’y soit de

    celuy du Daulphiné où la iustice est aussi bonne qu’en lieu

    jurée au grand mescontantemant de certains Escossois entre lesquelz

    Ilz promettent au roy sur la teste de ceulx qu’il

    de Tallard disoit, quil valoit mieux estre diable

    mercy, causant ma diette pour

    des companies italiennes que vont en Flandres devers

    Monsieur, en très bonne santé, longue et heureuse vye. A Parys, ce VIIe de juillet.

    que La Molle avoyt esté deschassé de la court ;

    les Anglois [barré : ont desfait] accompagnés de quelques

    livres. Il est vray que cella n’a poinct touché à deux

    protestations et sommations de ne passer oultre et comme particulièrement il a faict à tous

    Monsieur, vous donner très longue et heureuse vie.

    Votre plus affectioné à vous aymer et servir

    chère, Dieu grace. Il at hu beaucou de doulleur de la mort

    Morin, lequel, vivant le curé dernier trespassé, avoit servy ladite cure

    Vostre mère

    maintenant, offrir plus que ce que j’ay offert à madamoyselle de Caseneuve

    de la paix et que j’en advertisse monsieur d’Hourches, d’autant

    du procès par advis du conseil, comme il appertiendra.

    la luy fier.

    entreroit au lieu de premier, duquel il estoit très

    tant ce faict, que le vibally de Vienne vous donneroit

    De chapponay

    mesmes monsieur de Gernac l’a escript à monsieur de Montferrand, gouverneur

    Votre plus humble à vous faire service

    luy en done le plus honeste pretexte du monde. Je ne

    Servyteur

    M Bovier

    Calaix tout mognition de guerre et le tout

    de la bone affection de la roine en vrey et dret

    Vous tres humbles et hobeyssans

    Laval

    pas de leger, et me demanda de mesme si j’avois parlé

    So de boczosel

    et ne estant point comme je ne lassembleray

    Monsieur, en parfaicte santé, très longue vye. De Lyon,

    mon beau-frère quy est seigneur de Piegon ; et bien

    baron des Adrés ; toutesfois, ilz ne bougent.

    Monsieur en parfaicte santé et toute prospérité,

    contre ceulx de la religion et que la cour vous provoqua

    car si jatans de voir le cours de la court, il

    de Cabières

    bonne grace, qui vous doint en parfaicte sancté, longue et heureuse

    garniers ; sera dangereux quil n’en-

    paier ma pancion ; à quoy, à mon advis enfin ne peult

    quil vous plaict men donner advis, vous les

    d’estre venus à leurs attainctes ou d’avoir gaigné quelque advantage

    n’a pas commansé à voller enquores ; le tiercellet

    les avoit contremandés ; que ceulx que nous tenons pour Grandz

    Je seroys bien aise de pouvoir escripre à

    monsieur le president Truchon soyt remis en bonne santé, Dieu le luy

    d’Embrun a resseu les sienes ; porroyt estre que sodeynement

    melhieur. Vous aurés ceste despeche par le moyen de

    nette en cest endroict, qui me fera esperer en Dieu qu’il

    grand peine de ce quil surviendra et sil vous

    tousiours Monts, mais lentement; le prince

    mère, avec la quieulle ne demouray qune heure

    cinquante, entre lesquelles il y en avoit environ huictante

    recommander bien humblement à votre bonne grace et pryer

    le feuz rencontrer à Sainct Joyre et l’acompagnis jusques

    faict mon frère de Rosset, priand le Createur

    bonne grace, priant Dieu,

    les meins de Dieu et des medessins ; et je croy quelle

    contenance et equipaige.

    de semblant de le leysser. Nous avons ung prescheur qui est natif de cesteville,

    dessus, laquelle je mectray peine d’executer en sorte qu’avec layde

    ayant baillé sa maison pour prison ; mesmes qu’il

    mais qu’en Daulphiné autant qu’en autre part de ce royaume,

    et à ce que dictes qu’avés envye de scavoyr comme les affaires

    Je[an] Troissant

    que je vous asseureroys delaisser homme feable et duquel je me randroys [responsable]

    vous playra, Monsieur, me commender que je tiengne pour

    ce propos que cela n’avoyt aulcune apparence de verité et

    Salue voz bonnes graces et celes de madame de Gordes de mes

    à qui est dheu d’argent depar-deçà, mais l’importance

    supplie de rechef, Monsieur, que j’en soys par vostre moyen

    serviteur.

    pour recharger à monsieur du Chastellard pour

    le meilleur seroit y fère une collonnie nouvelle, actendu

    vous verrés de quelz termes ledit Ferrier

    maulvais la poursuitte que je suis contraint fère par justice

    se remetent à serment sous l’obéisanse du roy.

    royt que vous en estes en peine et men a parlé de vostre zèle à ce que

    [v] s’il vous plait, le dit Maniquet sera incontinant randant

    bien que le sieur de Bazemont me promit m’advertir de son despart.

    vous donner,

    aussi bone disposition que vous les scauriés soubhaicter coment

    de Simienne

    Monseigneur, nous supplions le Créateur qu’il vous donne,

    ce 27me novembre 1572.

    comme les autres. Mais à peine que ce soit si tost, pour

    vailhant et n’est point de ceulx que se donnent au pillaige,

    Monsegneur, vous donner très longue et heureuse vie.

    charges que de tout tempz nous avons suporté

    à vostre bonne grâce. Je désire infiniment

    Serviteur

    Votre bien humble cousin et hobéissant

    Se que je ay pu de fère dépéché se porteur.

    il estoit fort à craindre que quelque place ne feut

    que vostre conseyl portera comme

    a escrit à beaucaire du XXVIIIe passé à monsieur de St

    qui contreviennent à la volunté de Dieu et furieusement

    de quelque debte de monsieur de La Roche. Dans quelques

    bon, en faire ung mot à mondit seigneur de vostre part, car

    survenir, vous présentant d’aussi bonne voullanté mes très

    à surprendre Grinhan ou Grane pour avoir ung pied en Dauphiné et près du Rosne,

    spére-je m’atribuer de son vivant la Tour de Sabran qui

    toute douceur et selon l’intention de sa magesté et toutesfoys, vous

    Demanda bien affectionément de voz nouvelles. Je m’asseure

    moyen de l’assignation de messieurs le président de Portes,

    monter ; oultre tout cella, nous sommes asseurer de nous servyr

    Votre plus affectionné à vous faire service

    le roy dit tout hault qu’il ne luy veult non plus de mal

    et c’est arresté soubz la machoire avec enfleure et inflammation.

    de la prétendue confédération, et nous avons veu de leurs commandemens

    mortespayes du Daulphiné, afin qu’il rabille le tord qu’il leur

    avec la bone soletation quil en faira après que l’ons

    en s’appprochant de La Rochelle. Il me semble que pour ces nouvelles il nestoyt

    par ce pourteur exprès, ensemble les actes de reduction des

    une depeche que [barré : iay] ne vous ay faict par lhomme de

    ma mayson et certaines particullarités qui se presentent

    monseigneur le mareschal Dampville qui donne de commission

    De votre maison de Mespieu, votre maison, ce XVIIIe janvier

    ment, dont j’en [barré : ay] avoys mis une

    que je vos die pour honte de la giere[ = guerre ?] sy let pousyble

    mes forces sassembleront qui sera comme je vous escriptz dans

    dernier encherisseur en ramboursant ledit

    jay votre lettre pour ce dit effect dans cinq ou six jours après le partement de mon laquay de Grenoble et sil

    ces païs. Surce je me recommanderai bien humblement

    Votre plus affectionné, parfaict et asseuré

    de nous gens de pied logés. Monsieur de La Noue

    recoumanderey très humblement à vous bones graces et sil vous

    de leur intension. Monsieur de La Noe est tousiours

    des aultres qui furent lhors prins qui sestoint trouvés an

    H de Montmorancy

    [164 v°] Nous atandons monsieur d’Hourches en bone devotion, esperant par ce moien

    leur garde dentreprendre rien encores ; et si

    d’Arles où il y a faict quelque sesjour. Je desirerois bien

    Monseigneur depuis la lettre escripte, ayantz

    fort diversement mais quant à luy, il tient que ceux de dedans

    fort le nez, que seroit chose que fascheroit tout

    Votre très humble et très affectionné serviteur

    prendre la charge d’une de noz companies craignant

    Votre plus affectionné, parfaict et meilleur

    Monsieur le mareschal est resolu de n’en partir qu’il

    Il plaira à votredite seigneurie [barré : x] s’il lui plaist

    très humbles recommendations.

    vous gaignois. Comme aussi je vous touchois un mot de ce que je coniecturoys et tenois

    faulte que voz paquetz demeurent si longuement par chemin. [barré : et] Je

    et longue vie. De votre maison à Valence,

    et du segond cloz, surquoy nous en remectons

    Je fortiffie notre garde de dix

    se soyr yssy. Il vous bayse les mains très humblement et m’a dit

    en une heure l’honneur la vie et le bien. Vous estes homme de guerre et

    haster de descendre au Valentinois. Il seroit

    ne s’en peult. Il ensuyvra que confuzioin et dangereuse consequence,

    et ce par manière de prest, me tumbera sus les bras. Surquoy il vous

    neantmoins son principal advantage. Je prie à Dieu luy estre

    Neufve de Bertz y a long temps, car il y a pour le moings huict jours

    serviteur à jamays

    Rousset

    de pouldre pour en secourir nous gens de guerre

    Rousset et monsieur de Veaune pour cest effect, car aultrement ce

    Gibert

    de Vallence le cappitaine Mestral qui est patriotte, personnage de merite et fiable à vng

    sus mes bras. Je vous suplie les vouloyr recommander à sa magesté, afin

    destre adverty que ceulx du Viverays veulent revenir de çà sus lesperance

    besoing et sans aulcune faulte qu’il y envoye son vicaire general garny d’ample

    A Catherine de Médicis

    [barré : dire que depuis la mmort de lamyral, il naye esté en sa meyson]

    que qui ne sy opposera vifvement quilz prendront pied

    son edict et coment jauray à my conduire. Mais dautant que ce pendant en ensuivant

    encores qu’à conserver ceste prouvince et voz subiectz dicelle soubz votre

    necessayres [mots barrés sur deux lignes dont : ayant faict monter et mis au dehors la cavalerie

    autant au sieur de Lestang et me ferez incontinant responce sur tout ce que

    de neufville secretaire

    executions de voz commandemens que je me suys esforcé faire en leur

    que ceste cy. Je vous ay adverty, syre, par mes precedentes

    le gouverneur et lieutenant general dicelluy, affin quil les envoye recevoir.

    advertir le gouverneur et lieutenant general dicelluy affin quil lels envoye

    [179] le commerce a cessé, le malheur et pouvretté

    relevez suyvant les asseurances que nous en avez par plusieurs fois donner par voz

    « A monsieur, monsieur de Montbrun ».

    ces presentes que si lesdites partyes presentes ou appellées

    des ministres de sa saincteté et ne les recepvoir à aucunes remonstranses

    Allex : VIm pains IIII p. v.

    se sont contenus sans prendre les armes, on scayt quon

    estoyt differé et que fussions poyés moys pour moys, les

    des villages comme ilz faisoyt auparavant

    oppignyon ny catholysez auditeurs desdits comptes et que

    et sil vous plaict mescrir aulcune chose faictes que soyt en

    arbitres, tant de leur part que de celle de monseigneur le marechal, comme

    jen auray le moyen

    du quartyer della la Dromme (et chasteau de Bordeaux

    Votre humble et obeyssant serviteur

    donner

    roy et de vous, auquel je vous veulx demeuré très humble

    serviteur

    edictz de sa majesté et quil eut doubte que là il n’eust receu quelque

    de Lacoste

    moy, vous y seriés aussi assigné pour le passé et pour ladvenir,

    faire service

    teur à jamais

    pays par ce que vous en rapportera cedit porteur

    daller à La Terrasse demein

    leur fault dheure à aultre et

    vostre parolle, je scay bien que quant bien il

    Blanieu

    Votre à jamais très humble et plus

    coment ma dit celuy qui le pensoit.

    particullier notre père et notres, en priant le Createur vous

    et fault que je vous dye que ces façons de fère recherches

    de plus pour la faire randre à sa [barré : me] femme.

    requeste dernier escripte et la supplyer très humblement

    alloient à Valence pour le compte du sire Jehan Bernard. Le sire François Rosset

    pour ce qui conerne votre gouvernement et votre.

    cella advenant, les ennemys feroient paier tous les arrerages

    en Allemaigne à cause du passaige de Pologne. Sa majesté peut estre

    [55 v°] de ceulx qui pretendent laditte exemption et promet de faire bien toust ung

    desmanteller, jen escriprois tout aultant à monsieur le conte de Bouchaige auquel

    en bon estat de sa santé, comme je prye Notre

    advoiés. Jentens quil y ha des difficultés. Je nay encor[e]

    au devant audit sieur de Mombrun comme ce luy sera grant honneur destre lieutenant du gouvernement de

    monseigneur, vous donner en santé, longue et très heureuse vie. De

    que lon a veu esclorre par ce quelles avoyent jà long temps

    B : olier

    j[ours ?] à Paris doù et peult estre avant que partir [ ??]

    de garde pour, en mon absence et le grand domaige

    par la prudence et vigillance duquel,

    grande craincte. Sil vous plaict donc, monseigneur, pourveoir [à telz ??]

    comandementz tant que pourra dans la

    est en chemin pour venir ici vous heussiés heu plustost des mienes

    de recepvoir la bonne volunté que jay de vous fère toute ma vye

    recommandations à vos bonnes graces, pryant

    Votre humble et obeyssant serviteur

    queur que je vous bèse les mains très humblement,

    cappitaine Curebource, lequel mavoit promis de ne

    mal quelle qui me faict pencer quil y aist de la

    vous presenter mon très humble service, priant le Createur,

    que ce ne sera rien. Monsieur de La Garde est

    Jehan de brunel

    et à lun de voz secretaires de me fère part

    et à lun de voz secretaires de me fère part

    que sa magesté les envoyoyt.

    guerres, ayant tousiours preferé mes petis estats

    fère servisse à jameys

    me trouver au service de la quaranteine de feu madamoiselle de

    ville. Je me suis pancé vous remantevoir encores par ceste

    monseigneur, quil vous donne en santé longue et

    tenir incontinant,

    si mes lestres ne sont ecrites de

    mille lyvres,

    XIIIme fevrier 1574.

    ung fourreau et fournimens, ilz sont rière monsieur de Merieu,

    en ce monde et daussi bonne volunté que je supplie le Createur

    se XVe febvrier.

    que le lacquays sejourne pour cella.

    par le menu tout le discours que je deslibère vous faire sur cest article # [# je le remetrays] à mesme que jauray ( ??)

    sans faire aultre sejour, ledit Garach sen

    coctes, ma faict constitué prisonnier jusques

    Monseigneur, après mestre très humblement recommandé à votre bonne grace, je

    icy ung jour de la sepmeine pour voir ce qui se pourra

    que les Suisses y honnt aportés et fait la gandermerie,

    serviteur delanges.

    poumon, qui la travalhe et donne la fiebvre. Sa

    despuys et durant ceste dernière tresve, ilz mont

    les prolonguations,

    commandement que leur a faict et aussi ung double de lettre que

    Chalhol.

    messyeurs deste vylle et moy, nous vouloyr fère tans

    Sarlabos le recogneut néantmoins pour courrier ordinaire du roy

    retour.

    du monde. nous verrons si néantmoins il faudra

    ung segneur du païs qui ne veult pas estre congnue, m’en dict amplemant ce

    voudra retenir en hostage que la plus part des villes

    qu’âme damnée et là dessus allègue des

    vous fère très humble servi[c]e,

    le duc d’Albe et doubte-on que ce passage ne garde

    Votre très humble et très hobéyssant filz et à jamays

    depuis quelques jours, il a esté remis mieulx que

    aultres ont deffait ung grand secours qui venoit

    gectz d’arc hors de la ville. Madame et madamoyselle d’Ourche

    les François. Mesme mon frère m’escrit que l’estoit allé saluer, suivant la charge que je luy en

    De Paris, ce XIIIe jullet 1572

    Comme ancien frère

    de madamoysselle sa fillie, mais madame sa fame est preste

    et estoit agréable aux parrochiens et fut receu et institué par

    Pierre de ponteves

    pour ledit propos de Cabanes lofre i est encores comme vous en ferez

    que par ci-devant, ilz l’avoient

    [fol.44] Et voylà, monseigneur, en bref, la substance

    digne, vous regarderiés aussi de nommer en sa place de

    doze mil livres, comme je pense qu’il feroit et que

    de cette ville et pour cest effaict monsieur de Guyse faict dresser

    St chamond

    cuydois pas que monsieur de St André vous deut faire veoir

    Montoison

    couvert de boys qu’on n’am peult aultre chose

    et croy certeinement que le seigneur pourchasse pour

    serviteurs, les consses de Valcluxon

    à monsieur Bellievre. Le cayer présenté par Franciscin

    que je naye aresté mandement si elle est

    le IIIIe aoust 1572.

    tost après j’ay forny monsieur de Montguers,

    L’on m’a mandé que Don Johan d’Austrie

    très longue vie. C’est de Paris, le VIe jour

    contre les catholiques. Cela est une chose politique et

    pourroyt être en opinion que je le ferois à cause

    vie. De Parys, ce VIIIe jour daost 1572

    cherissent le jour de La Madelène. Le

    gaigner que le temps à tout événement. Monsieur, si

    obligerez tous à vous faire service. Quand monsieur

    sur vous, ce que avec supportation vous pourrés trop mieux faire

    de faulcon volle bien. Ce pourteur est

    n’en eussent point faict de mandement sans l’auctorité du roy,

    monsieur le president Bellièvre [barré : moy] et ladvertir

    [barré : la] veuille maintenir longuement

    ne se trovent comodités les anvoyer sy tost. Sy je ne

    madame d’Hourches que m’a faict cest honeur de

    soubstiendra notre cause. Je le voys prier,

    plait par vous premières nous en donnerés advis.

    d’Ourange lha ung peu deslogié pour faire

    après soupper, sans luy declérer loccasion quy me

    qui n’avoient point des canons. Ladite armée turquesque

    Notre Seigneur qu’il vous veulle donner,

    à La Nouvalèze avec aucune troppe. Je m’enquis de luy,

    Monsieur que en parfaicte sancté vous donne

    Monsieur, vous donner en parfaicte santé longue et heureuse vie.

    en sera quitte pour le mal et sont fortunez

    frere d’un ministre de la nouvelle religion, lequel fructifie de fasson, par

    de Dieu vous aurez occasion de vous en contenter. Au reste,

    n’estoyt emprisonné pour aultre faict, neantmoingtz

    les gentilzhommes fuyoint l’habitation des villes, faisant leur

    sont en ces cartyers, Dieu graces l’ons y est en grande paix et

    Je vous supplye, si avez

    durant mon absance pour ce regard, si ne veux- je pourtant bouger sans veoir

    les fayre entretenir en plus grand nombre si jen ay besoing.

    que je scavoys assés votre volunté estre toute contrère ; d’alieurs

    Tres humbles recommandations et supplications de mon frère

    est de provoir aux escoliers par cartiers et en

    porveu, et de prandre la peyne d’en scripre à quelques-ungz

    G Deportes

    nous arreirages et pour nous fère restablir

    leur meschante obstination, n’ayant jamais volu, avant

    a usé.

    audit procès, que l’on extime de petite importance et occasion comme

    Toutesfois, monsieur de Biron escript qu’il est après

    jen ey peu comprendre. Ladite dame (barré : comte]de Grinhan et ledit sieur président

    aquet et Besson paié, m’ayant proumis de metre en

    Voz petitz escholiers se portent bien. Je présente mes très humbles

    Monsieur, en santé, contante vie. De Paris, ce

    ilz sont de présent et ausi sont mesieurs d’Apt, de St

    Je crois scavés bien que c’est le sieur

    en bonne et parfaicte santé, très heureuse et longue vie, avec

    Votre humble et hobéissant serviteur

    les raisons que vous pouvés bien penser. Je vous envoye

    et oultre cela il seroyt pour vous faire service en toutz les

    De Paris, ce premier décembre 1572.

    et suportons. Que sera la fin, après avoir prié Notre Seigneur,

    de vous voyr pour vous dire de choses

    Montoyson.

    à vous faire service

    saisie et surprise avec le temps par faute des forces

    vous eytes sensé et garde honte

    Sernin et à moy. Il n’oblie aucune raison, monsieur

    violentent leurz consciences ne me meuvent en rien. Un

    jours, je verrai que ce sera et vous donrrai de tout advis.

    il est à présumer que si la luy estoit pour la bailler

    humblez comme de bon cœur prye Dieu

    chose que je n’ay pas sceu facilement et ey dit et escript, respondant à cela que puys

    est près de Gordes, dépendant de son abéie de la

    ne continuer plus le propos de venir mays nous parlés du tout point votre

    Qque avés entendu comme le roy luy a donné pouvoyr de faire encores

    de Bouqueron et Bouffin, et me promecttent que n’y

    du courtautpie à la selle toutes et quantes foys que

    Ludovico Birago

    qu’à soi mesme ; mesmes quand il se sentit blessé,

    On ne scait encore si l’enfleure se résouldra ou si elle aposthumera.

    où ceux qui commandent ne font aucune mention du roy, comme es

    fit l’année passée en les obliant, et escrire aussi pour

    en obtiendra assignation ; estant bien d’advis

    besoin de prandre l’allarme trop chaude, quar jestime que si grantz princes ne

    biens desdites Argond, Mathieu Gabet, Chausson, Pothon

    madamoiselle Dabene du IIIe de ce moy. Je presente mes

    en ces cartiers desquelles peult estre nestes adverty

    à tous propos à de paouvres gentilhommes qu’ilz sont bien

    1573.

    son honnor sauve. Je prye Dyeu luy pelse

    le XVme du prochain au plustart. Au moyen dequoy, je vous

    acquereur du sol principal et de loiaulx

    vous plaict quelle ne fasse aultre mention que de votre arrivée le dit dimanche au dit Valence et à moy

    à votre bonne grace, priant Dieu de vous donner,

    amy Henri de Montmorancy

    est dans la vile et parle lons diversement de

    playt à celles de madame de Gordes, et prieray Dieu vous

    là dedans, mais je ne pance pas que ceulx

    ravange de leur maison du dit sieur de Vains, mays non pas faulte [sursoir]

    avoir de vous nouvelles et de Provence quon desire bien fort. Monsieur

    votre commodité le permettoit descendre sabas,

    me voir en moyen pouvoir avoir mon congé et

    recherché avec le capiteine Maires les

    le tiennent en façon quil na moyen de faire ny bien, ny mal.

    ce pays. Messieurs les consulz m’aviont prié de recepvoyr

    Le Mestral

    qu’il ne rechercha plustost le sejour et la garnison

    amy H. de Montmorency

    ne l’aye bien tost. L’on verra ce qu’il en porra

    de tant me favoriser de bailler ladite

    de l’advertisseur. Au surplus je ne comprens pas qui peuvent estre ceux qui i dressent

    voy bien par ce quy est escrit sus la couverture le temps qu’ilz sont receus en ce gouvernement et vous puis asseurer que depuis

    ce 8 mars 1573.

    et recomandns du tout à votre bon plaisir

    hommes que me prestent les consulz

    que tant vous savés qu’il ne falhira vous parvenir voyr. La compagnie

    d’entendement et ferés les choses à l’oreile. Et n’estant ceste pour autre je

    bon que vous escrivissiés ung mot au chevauche[u]r

    si Dieu par sa grace n’y mect la main, auquel en cest

    plairra m’escrire voz bons plaisirs, ensemble l’estat des gens de cheval et

    en ayde.

    que ledit seigneur de Laugières se sauva et ne fut le secours quon preparoyt

    Le Mestral

    silz en avoyent besoing. Quand à la garde, le

    leur seroit une fort excessive despence.

    chacun avec sa compagnie, je ne len pouvoys justement demectre pour ledit d'Areret

    que je puisse estre secoru ; et en cest endroyt etc ..., du Crest le XIIIe

    quon leur donne que Saint-Roman doybt venir aveques quelques forces du

    pouvoir et facultez requises en tel cas et pour representer le lieu de son archevesché.

    Madame, pour lesperance que jay quil vous plaira veoir et considerer tous

    Particulièrement je le [mot barré] feray me le commandant et ce pendant

    au bon païs qui, ses jours passés sapprochèrent de Grenoble

    voz commandemens, je me tiens le plus fort et que ce nest sans bien grande

    hobeyssance avec le moingz de foulle et de charge que faire ce peut,

    dont Mirabel] luy dousième sortit, abandonant le reste et

    dessus, pryant Dieu, monsieur de Gordes, vous avoir en sa sainte et digne garde.

    endroyt, etc

    despeches quil ne [barré : se trovera] proviendra aucuns deniers, ou bien peu, de la

    Pareillement, me manderez les noms des compaignies et de celluy qui

    recevoir ; pareillement, me manderez les noms des compaignies et de celluy

    de ceste sayson non encores veuz ny

    lettres. Il est à craindre ung grant desordre à noz trouppes, auquel il est besoing

    ou leurs procureurs pour elles, il vous appert

    quilz nayent satisfaict à se poinct.

    Heurre : IIm pains III p. v. – forny : IIIIc pains I charge vin [marge gauche : sans acquit]

    [203 v°] veoyt assés que le temps du jourdui porte que ceulx de

    habitans destenille seriont antierement ruynés et la

    et neaulmoingz, que encore [ajouter : que] ladite compagnie

    quant audit Mondon Callamand, ledit Loys Taupenas a respondu

    excrivant à monsieur le precheur par le moyen du quel je pourray recevoyr

    je croy quil sera espedient quen fassiez de mesme en Daulphiné pour y

    et principalement

    ausquelz je ny puys toucher)

    Jehan de Brunel

    monsieur, en très parfaicte santé heureuse et longue vie.

    serviteur daussi bon cueur que je prie notre seigneur,

    de lacoste

    indignité, dont sa majesté eu peu estre desplaisant. Or, monsieur,

    Monsieur de Montienges ma prié [barré : vous] saluer voz bones graces de ses très humbles recom

    mais de lung on pourra venir à lautre. Il est vray,

    ane maugeron

    de simmienne Alleman

    matin charger sèze des

    pour les presser de travailher encores

    auroye traicte quil vous mist en sa place

    Affecioné frère et serviteur

    donner

    et presentations si exquises semblent doner quelque argument

    Monseigneur, je me recommande très humblement à votre

    vouloir, à lhonneur de Dieu, leur pourveoir à ce que les

    et Marconis sont en ceste court pour leur appoinctement, mais ilz ne scavent bonnement

    Monsieur d’Anbrun est sur le poinct de partir [pour..]

    que seroit une double folle au pays. Ilz ne seront pa si bien

    advertye de tout ce que y passe. Neantmoins, si de ma part jen puys

    reiglement general au soulagement des pouvres tailliables parce que mondit

    appartient laultre moytié. Et actendant sur le tout vous commandemens pour

    Seigneur,

    peu scavoyr si laliance de ceulx de Genève ha esté [barré : conclue]

    sa province, veu les grantz retranchementz [barré : qu] et casseryes quil ce faict sur la gendarmerye, quoy que cest,

    Grenoble, ce IIme febvrier 1574.

    conue de quoy monsieur de Bazemont nen sera pas trop ayse

    vous feray autre depeche et trouvant avec monsieur de [Chastellart]

    quy pourroyt estre en ce pays si lennemy sen fust

    et avec notre dilligence et soing, nous

    suyvant votre bonté naturelle delaquelle avés tourjours uzé envers nous, [nous]

    forme entreprinct. Je avoys desià

    nheust esté latante susdite. Je ne scay par quel bout commancer

    bien humble et affectionné service et cest daussi bonne volunté que

    Dieu,

    à jameys Jehan de brunel

    priant le Createur,

    bouger de ceste ville ; et le lendemain, sur une heure

    contaigion. Toutesfoys, ce froit là pourroyt labatre. Elles

    monseigneur, pour vostre très longue et très heureuse vye.

    ici despuis deux jours, lequel ma dit quil faict

    de voz nouvelles. Surce, je me recommande

    de voz nouvelles. Surce, je me recommande

    Comme il estoit impossible les employer en

    et mon plaisir. Jen attens responce.

    claude de St priest

    Caseneufve que feust faict lumdi et après pour me resouldre [comme ?]

    de se quaultres foys vous avois escript de la demy monstre

    très heureuse vie. De Guilhestre, ce XIIme fevrier 1574.

    mesmes à ma damoyselle

    ma mein, car la debilitation an quoy

    tout ainssy que

    Votre très humble et aubeyssant

    auquel le cappitaine Curebourse les remist lors qu’il fut constitué prisonnier,

    vous donner,

    Votre humble à vous fère service

    destre auprès de vous, par ainsin me contenteray de vous dire que du cousté du Pontays et Espenel.

    est retorné au present lieu de Grane,

    à payement dicelles ; et ne sera sans grans

    prye Notre Seigneur vous donner en santé longue vye. De Grenoble, ce

    faire à votre verification de Grane. Le jour que je

    leur ayant assés fait paroitre aussi combien les

    filhe nen ha pas esté exempte mais ; Dieu merci,

    apourté tous mes bledz à Nyons et prins tout ce

    Monsieur de St André me demanda à mon arrivée ung pacquet de Provence.

    je feray tousiours

    manda monsieur de Uriage au cappitaine Ferrus. Fesant fin par

    de byen que de nous accorder le nombre des soldars cy

    Philippe par la court duquel il disoit avoir passé et pourtoit de ses

    faire une présentation au privé conseil suivant le

    qu’il en pençoyt. Cela seroit long à vous écrire. Il me dict que la royne d’Escosse

    de Flandres se déclaireront pour luy s’il les veut

    exemples sans sourtir de Grenoble.

    vous suppliant ne m’oblier s’il vient

    monseigneur et madame de Lorraine de venir aux

    serviteur.

    jamais ; et Le Ga a bien peine à se garder pour

    au duc d’Albe, tant d’enfanterie espagnoles que

    allèrent coucher vendredy à Sainct-Gervais

    avoys donné, ledit sieur ambassadeur luy offrit tout plaisir et faveur pourveu qu’il ne passast

    Votre très, humble serviteur

    G. card. D’Armaignac.

    à luy en fère bien tou hune aultre pour les consoller. Je

    mondit seigneur révérendissime, mais, estant intimidé par lesdictz Gallifetz, n’osa prendre

    Le cartier de St Severing vend le blé

    asseuré qu’ilz n’avoint rien de ce costé comme ilz

    de tout ce faict. S’il plaict à votre seigneurie,

    tiers président quelque homme capable de telle charge ;

    touttesfois j’estimois que pour le contentement de la

    quinze compaignies de chevaulx légers à ce que l’on dict. Comme qu’il en

    la lettre que jay escritte à monsieur d’Allières et vous prometz

    Monsieur, l’on dit pour serten con [a…

    descouvrir. Monseigneur pour excuse, je alleguerey

    lautre en estant importuné et se proumetant avec

    et de leur commendement

    est principalement contre la cour de parlement,

    mandée bien soubdeynement, elle ne pourrey

    Votre plus afeccionné à vous faire servise

    juge ordinère dudit Piegon et tenant le lieu

    est party avec l’armée de la Ligue droit

    d’aoust 1572.

    une question civille sur la dispute de laquelle je ne

    de leur dit desusion. Vous me donrrés sil vous

    Vostre très humble et très obeissant

    ca[r]tier de Cabrières paia à Madamoiselle

    vous trouvés bon par le paieur de votre compagnie ou

    du Monnestier fust icy, il ne men parla point.

    en temperant vos responces et remonstrances de toute froideur ;

    celluy que ledict courrier avoit mis

    ny le roy sans en advertir son lieutenant general ; et que s’estoit ung

    de ce retour de Michallon, mais je nay par

    Votre bien humble et obeissant frère

    cregnoys estre importun, je vous supplieroys me donner

    menvoyer ce laquay pour entendre de voz novelles. Je suis

    Monsieur, vous doner, en santé, heureuse et longue vie, sa

    Nous navons pas oultre la maison de mon dit

    plus comodément vuivre son armée, atandant

    menoyt ausy ne faisoit monsieur de Langes par celles

    et celle de la Ligue se sont descouvertes le XVIIIe

    Monsieur, en très bonne santé longue et très heureuse vie.

    entre autres choses de la victoire de laquelle je avoys

    heureuze et longue vie. De Montorsier, ce XXVIIe

    De Carmagnolle, ce XXVIIIe septembre 1572.

    de mariage. Je me recommande bien humblement

    ces sainctz et doctes sermons, que toutz les catoulizées de ce lyeu disent qu’ils n’ont en

    il y a environ dix ou onze jours que les soldatz de ce lieu,

    pour satisfaire à voz commandementz je ne lairray

    demeure en leurs chasteaus et maisons aux champs, la pluspart

    tranquilité. Dans la lettre escripte d’aoust, y avoyt ung bilhet

    aulquune chose de nouveau,

    les affaires et le temps bien à propos, ce que je remectz à ce qu’il vous plaira

    Je vous promès par Dieu, Monsieur, que je ne scauroys choizir en

    que si aynsi estoyt, l’on n’en se feut adressé au vibaly, et s’il

    Monsieur le prothonotaire qui est venu ceste après disnée voir

    sorte que le maistre n’aye à se plaindre ; et est

    de vous amis que puissiés vous y povoyr servir, et fauldroyt

    Voyant qu’il ne se presentoyt messager et que les postes

    avec votre faveur à nous estatz acoustumez,

    les premiers troubles, obeyr ausdits arrestz de la court ;

    j’ay entendu, car je ne puis moingtz fère pour maintenir mon honneur

    à le moyener. L’on en dit autant de ceulx de

    me prièrent aussi tout en parler. Vous pouvés croire que je n’en ey rien

    mien home avec ledit Besson qui fournira XV jours après

    recommandations à votre bonne grâce et de celle de monsieur de La Roche. Je prie Dieu,

    XXV novembre 1572,

    Scerin et de Cabanes. Je suys au reste très aise de l’arrivée

    St Anais qui a sauvé St Romain à ce

    augmentement de votre estat, honneurs et dignitez. Du Buys, ce

    P. Durre Evêque de Viviers

    la copie d’une lettre de Beze que l’on fait courir par les mains des

    endroitz que vous le voldryés employer. Monsieur le conte de

    Votre très humble serviteur

    Monseigneur, vous donner en bonne prospérité et

    que je ne vous peulx escripre. J’atandz monsieur de

    de Cadenet

    et moyens que vous avez tant demandés au roy, si est-ce

    sy le choses ne vennent comme

    et croy vret tous les dangiers en quoy ie porrois

    seul qui creit à Dieu est plus à estimer que une infinité

    L’ons parle diversement dudit voaige de La Rochelle,

    à ung aultre ou qu’il vouloist en faire quelque réserve,

    Monseigneur vous donner en bonne sancté longue et Heureuse vye. De votre humble

    que cela estoyt vrai jusques icy que monsieur le mareschal en auroyt heu

    Chèse-Dieu et pance s’arrante cinq cens lt et me

    présence et avanceroit plus à nul aultre. L’on m’a dit que monsieur le

    Deux milles Corsses et que Viard, secrétère de monseigneur le

    aura que l’attente ; je vous promects que si se fust

    nous voudrons. J’avons achepté ung pavilion de damas vert

    il dit que c’estoit lui-mesme qui c’estoit fait mal,

    Il y a six jours qu’elle tient le lict, mais à présent sans

    troubles passés. Et là-dessus, je vous veux bien doner un advis,

    votre particulier au roy, à la royne sa mère et à monsieur

    qu’en esripviés à leurs magestés. [barré : Je] Nous n’avons veu

    marchent pas à poinct nommé, et que sera beaucoup silz partent au commancement de

    et procedures sur linquisition des facultées desdites Dubois

    très humbles recommandations à votre bonne grace, priant

    Votre plus humble et obeyssant à vous faire service Parys

    ayses daller vivre sus le bon homme quil bende

    Votre humble serviteur

    [suite 101 v°] [barré : ayant mis ung autre cappitaine et sa compagnie] dans Valence, ayant

    conduyre le tout à son honneur é g[l]oyre, é vous

    prie de votre costé donner ordre que lesdites deux compaignies

    coutz et mises

    commandement de vous y aller trouver ce dit jourt. Je viens presentement de recevoyr ung paquet de monsieur

    monsieur, longue et contente vie. Cest de Soleure

    son intension. Le temps nous en rendra assurés. Il

    donner,

    de la vile se fient entierement de lui. Cest

    [152 v°] aucuns. Je croy quil en sera demain depaisché. Lon en a aultant faict

    Besson ma escript comment mon nepveu et tous ses

    je pence quilz romproint de dessaintz quilz ont

    m’approucher près de vous pour vous y faire le service

    moiens quon a à tenir pour la garde de

    Il fait la forteresse fort grande, dict que le comte de Montgommery

    de ceulx qui sont catholizés à la garde pour les mesler

    Les huguesnos font corier

    que la guerre et ^ [^ scachant] qu’ung cappitaine du pays fera plus [barré : avec]

    estre, de quoy je vous dirrey et de toutes choses

    au porteur monsieur Mitalier

    ce jeu. Ce malheur n’est que trop commun aujourd’huy d’embrouiller le service du roy

    Pierrelatte jusques à moy [barré : p] lesdits paquetz ne demeurent que quatre

    Votre très humble et oblygé servyteur à jamès

    [256] et s’il vous plaist d’escripre à la court pour

    d’Exilles, vous suppliant très humblement

    de monsieur de Maulgeron couche à nuyt à Montmeran et comme

    me recommande etc.

    de Lyon pour vous faire tenir seurement nos lettres.

    endroit après m’estre recommandé à votre bonne grace très affectionnée,

    gens de pied pour l’observer de poinct en poinct et me pouvoir conserver

    Monsieur de Langes me vient de dire comme monsieur de Mandelot

    assés à temps pour regaigner ladite vile qu’est demourée en la puissance

    jour je faictz faire trois corpz de garde à la

    que est estrangier, sans mectre en grand jallousie et meffiance tout le peuple,

    davril 1573

    costé de Genève et Berne " [marge gauche : " suivant ladvis que votre magesté en a eu et quil vous a pleu me fayre me fayre entendre par votre despeche du IIe] et aussy que ledit Saint-Auban est blessé en troys ou quatre

    Je luy en escris ung mot que luy ferés tenir et ladvertirez encores de ce que je lui

    les poinctz et articles contenuz en la lettre que jescriz au roy, je ny feray autre

    [barré : près de Grane, mays à cachettes et sentant venir monsieur le ma]

    et rompirent le chevalier de La Mothe et sa compagnie qui cestoyt

    despence au pays. Je supplie très humblement votre majesté pour le soulagement dicelluy

    qui doibt estre la fin et le but de toutes bonnes et louables

    quelques gardes quon y sceut fayre, tant de cheval que de pied,

    Escript à Gaillon, le XVIIIe jour de juillet 1573 .S.

    commission que il vous a pleu envoyer pour lalienation de la

    y commandoict, et comme elles auront vescu. Cest ordre estant

    qui y commandoict et comme elles auront vescu. Cest ordre estant bien

    ouys de memoyre dhomme a mis les

    remedier et nous advertir par ce porteur de votre intention et volonté, estant davis

    dudit procès et aultres choses susdites audit cas

    Qui sont si pregnantes considerations que sadite magesté sassure

    Vallence : XIIm pains VI p. v. – f : IIm IIc LX pains

    notre religion qi pensseront fère les sages en tempori-

    plus grand partie diceulx ceroyt contrainctz habandoner

    [212] fut payée par ledit comissaire, quil fut aussi permis

    que luy et ledit Jehan Aulbert, auditeurs desdits comptes avoyent

    voz lettres [barré : je] ; et daultre part, je vous advise que monseigneur d’Ambrun

    regler lesdictes contributions , et croy que mondit seigneur le marechal

    en chose sy equitable

    Des bains de Lucques, ce IX de aoust 1571

    monsieur, vous donne heureuse prosperité et longue vye.

    ma femme nest peu venir en ceste vile tenir compaignie à madame de Gordes

    voyla sommairement tout le discours de notre petit voyage. Je

    mandations et vous dire [barré : que] le desir quil a vous fère très humble [barré : de] service.

    monsieur, que vous m’avez escrit à mon autre voyage

    Deppuis ma lettre escripte, il est venu icy nouvelles de Venise

    Je prens cent escus en or du seigneur Arnolfini

    grandz banastes pour apporter

    quile ayent faict et font fort bien

    il ny auroyt poinct de lodz, mais sil y a une

    De simienne

    monseigneur ce que plus desirés. De Briançon, ce XVIIIe

    de croire ce que aucuns en voulu dire que les

    bonne grace et supplie Notre Seigneur quil vous done

    foulles et oppressions que ses pouvres soubgetz desdits

    ce quilz en doivent experer pour trouver ledit sieur de Montcal du tout inconstant

    della assés mal satisfait, dautant que estant le roy à

    [v] traictés comme en la France, si est ce que je croy que il ne

    entendre quelque chose, je ne feray faulte de vous donner incontinant

    sieur de Limoges ma dit : « je nay pas grande esperance pour le compte de la

    cest effect, je vous diray seullement, monsieur, que à mon retour, jay treuvis

    monsegneur vous y voulloyr maintenir en toute prosperité.

    arrestée. Il y ha ung article assés difficil que demandent

    ni quoy quadvienne. Je marreste à ce que ledit sieur de Chastellart vous escrit que toutz les grandz et

    Voz très humbles et obeyssans serviteurs, les

    si jà il nen prins asseurance de la damoyselle

    comodité surce, vous manderons la response faite aux [caier]

    saisi ; et voiant la paouvreté et le dangier de quoy

    sperons en Dieu de conserver ceste ville

    vous demeureront à jamès très humbles et très hobeissans serviteurs ; et [priant Dieu]

    asseuré ung bon nombre de soldatz en

    descripre en Prouvence à messieurs mes frères avec mes plus humbles

    je presente mes très humbles recommandations à votre bonne grace,

    monseigneur, vous maintenir en sa saincte

    monsieur, vous conserver heureusement en très bonne

    après midy, il treuva moien davoyr ung cheval et

    sont toutes deux bien fort malades. Je remetray à vous

    Ambrun, ce IXe febvrier 1574.

    adviser sil pourra ici quelque chose pour vous y en estre ;

    très humblement à votre bonne grace et prie Dieu,

    très humblement à votre bonne grace et prie Dieu,

    Daulphiné pour lextrème [barré : famme et necessité] necessité

    ce quil auroit à faire quil vous dira, sil vous plaict lescouter et

    que fus contrainct payer à mes soldatz au mois de

    Votre très humble et très obeissant

    de Sainct Prie que vous faict responce

    je suys me linterdit. Monsieur de Brunet

    de leur volunté,

    servyteur La thivolliere

    qui n’estoit en ceste ville quand ladite sentence fust donnée et n’est encores

    monseigneur, en parfaicte santé, heureuse vie et longue . De [barré : Val] Grenoble,

    sassenage.

    Votre humble et obeyssant serviteur

    ilz nont point de gens de cheval aussi ne sen sauroit ilz guières servir pour ainsin la guarnison de Crest

    lesquelles choses susdictes, ledit Arnoux

    fraictz et despens à vousdits povres subjectz, et

    XVIIe du matin 1574.

    partis de St Germein estoit le jour suspect de la fiebvvre

    dit Suisses vous y honnt estés inutilles ou, pour mieulx

    elle est presque guerie. Nous comançons à entrer

    que javoys à Rouzans, qui me vouldroyt mieux avoyr

    Je dis que nen avoys poinct veu. Je ne scay si monsieur de La Coste

    ce quil en ordon

    mes très humbles recommandations à votre bonne grace , priant Dieu,

    mencyoné, car aultrement mal eysement ce lyeu

    lettres, nous dist qu’il ne s’estoit aucunement apparceu que les garnisons

    renvoi de ladite cour de parlement de Daulphiné.

    se portoit fort bien et qu’on l’a changée du lieu là où elle estoit, pour estre

    advouer et qu’elles voyent marcher une armée.

    quelque chose.

    nopces de Madame. Monsieur d’Hourche est

    Hourches

    quelque picque qu’a heu monsieur de Mereu contre

    d’argent et n’ayant de quoy vous fère la présante

    et pence que suz la Magdeleyne, madamoyselle

    oultre, l’asseurant qu’il advertiroit le roy du nom de tous ceulx qui accompaigneroient

    So de Boczosel

    croit que sa couche latirra en France. Je vous diray

    possession car le propre jour qu’il fust institué curé, fust rencontré

    noveau XVI ff [livres tournois] la charge et XIII la sègle

    n’avoint heu, mais que puis peu de jours, on le leur avoit

    estant le procès instruict, avant le jugement

    voz services, despenses, attentes et fraische

    companie, les viballys sont mieux en leur bailliages

    soict, monseigneur, si le voyage est rompu, je m’asseure qu’une infinité de noblesse qui est icy ne sera une aultres fois si prompte à partir au premier bruict qui viendra. Quant

    monseigneur, que je tiens monsieur de Laval déià si sage et

    pyer par la folie ce que personne et je le ...

    ung proverble des bonnes gens, c’est qu’il

    tout le parti de lavoir, et tout à leur devotion,

    [paraphes]

    où il conclud à avoir une chambre pour les causes

    estre preste come je desireroys et ne vouldray

    Mandelot

    de vy-bailhif comme plus entien advocat du Buys,

    en Levant, mès cest avis n’et pas trop seur.

    Vostre bien humble et

    m’estendray pas plus advant ; aussi ne peut-elle avoir

    plait sur ce ung mot dadvis que jauray pour comendement.

    Serviteur

    les IIII C[ent] livres dues à Madame de Gordes

    autre vous faire fournir cinq ou six cens livres à mon

    Je pense, monsieur, quil sera allé recepvoir voz

    et ce faisant le cueur me dict qu’avec layde

    en prison, qui vous ferat entandre comme

    grand scandale aux bons subgetz du roy d’ouyr parler ceux de

    qui.

    Baptiste de Simienne

    ung hoyseau.

    esté bien fort aise d’entendre des leurs, lesquelles Dieu

    grace. De Grenoble, ce XXXe d’aoust 1572.

    seigneur de Guise faulte de maisons proches ici

    ausy ung ranfort de IIII m[il] chevaulx qui luy est

    quil [barré : luy] escripvoit à elle et au sieur de lieu

    du moys passé de sy près que le seigneur Marc

    D’Ambrun, le XXVme de septembre 1572,

    escript à monseigneur d’Ambrun mentionnée en votredite lettre, et

    sept[embre] 1572

    Votre hunble allié et

    à votre bonne grase et vous demeure à jamès

    [14] leur vye ouy ung si suffisant homme que luy, pour la suffisance duquel je respondroys quil

    sentans la ville en alarme, monterent sur la muraille et

    de le faire representer en l’estat, et au premier jour, je

    desquelles sont tres difficilles à forcer ou à surprendre ;

    me faisant entendre que vous havés ung homme en main que vous

    de m’en faire parti

    men commander. Vous suppliant, Monseigneur, pour fin de la presente, me

    tout ce lieu trente hommes de qui je puysse tirer service

    eut ceste charge, il eust très mal faict de ladecovrir qui n’estoyt

    le petitz mignons et damoysele mesdits seigneur de

    plus raisonnable que l’argent séjourne entre ses

    que ce fut au plus tost. J’en scrips à monsieur d’Évènes, je

    ne sont dressées à ceste traverse, j’ay prié ceulx du

    [140] et vous serons tousjours de plus obligez et tenuz

    que ne se doibt oblier maintenant, voullant continuer

    et réputation qu’il a vollu contre tout debvoir et vérité diminuer par lesdites

    Sanserre, mais ce n’est pas d’eux que l’ons se

    oblié ny oblierey de le tout dire encores que je ne leur feroy

    Noël cinq cens Livres tournois que luy ay de mesmes proumis

    Monsegneur, qui vous conserve en très longue et

    Votre à jamais très humble et très obéissant frère

    de monsieur de La Roche en bone sancté et la desire [barré : de]

    qu’il m’a dit. Il ne debvoit jamais

    XXVIme novembre 1572, en diligence.

    huguenotz. Sur ce, après mes très humbles recommandations à votre

    Carcès luy a présenté luy-mesmes le mesme traictement qu’il

    So de Boczosel

    sancté, très bonne et longue vie. De Serre, ce

    Rousset de jour en jour yci. Je pence que le

    qu’elle ne voulut comprendre qu’il faille entrer

    l’antandés pour se vous prye y advisé

    estre. Il y a long temps, grâce à Dieu, que ie

    de ceux qui se rebellent contre Dieu. Je ne doute pas que

    je ne vois pas qu’avant la fin de janvier yl y aie

    il donneroit occasion audit sieur d’Aiguebelle de perdre

    maison d’Erpière, ce XVIe décembre.

    notes et vous auroyt doné advis pour y prévenir et remédier. Au reste, nous avons

    vaudrai mieulx paie que de mille livres tournois sur son estat.

    conte de Carcès a mandement du roy de fère venir à luy tous les gentilhommes

    Mareschal de Dampville est allé à Gênes pour obtenir des Genevoys

    esté pour moy, j’eusse plus tost escrit dix

    pour le lict de camp de monsieur de Laval qui nous coupte

    creignant que ceulx des gardes qui estoient hors des

    péril. Le conseil se tient, puis l’allègement de son mal, en sa

    c’est que l’on prétend que soudain que les huguenots de ce royaulme

    de Villeroy, car monsieur de Sauve yra avec Monsegneur ;

    enquores la royne mère du roy despuis sa maladie

    ce caresme, il y yra du temps en après à dresser leurs armées, si bien que j’ey

    et Lambert avec le bail affermé des immeubles dudit

    Dieu,

    tantost d’ung villaige trente escus de laultre

    Mespieu

    esté constreint maccommoder à lhumeur des gens de ce païs.

    tenyr an sa seynte garde é portesyon.

    me soient envoyées au plustart dans ce temps là et le plustost

    le mareschal que je vous envoye. Lartillerie de Lyon et les souldatz qui laccompaignent ont couché ceste nuit

    le IIIe jour de fevrier 1573.

    ne se parle daucung secours estrangiers qui ne fayt

    monsieur, en santé, heureuse et longue vie. Du camp de

    monsieur ce que je vous puis escripre de ce

    à Ferrier et pour mesme effect. Ceste despesche pour mon regard est

    compagnons se portent, graces à Dieu, très bien. Je lui ai faict

    entreprins, lesquelz ils ne mettront en effect.

    que j’ay toute ma vye desiré faire. Et lors quil

    notre ville, avons trouvé quil y a pleusieurs

    est chief des forces qui ont comparu sur mer et du surplus

    parmy les autres, de quoy je n’ay volu faire sans en

    librement entre eux que monsieur

    dans une des villes avec peu de gentz que ung mermont[ ?]

    proutent[prudent ?] advis. Je vous envoye ung paquet de

    de Grenoble

    de nos particulières. Quant au seigneur qui doit estre aussi tost que labas que vous

    ou sinc jours pour le plus et s’il vous playst commander que par toutes

    Loryant

    nos six moys de l’annee passee vous demeurerons

    nous pardonner ce que cognoissés

    j’entens s’en va d’alongue en Languedoc. Je ne les arresteray point

    A mon retour de St Leger je trouvès voz lettres

    je prieray le Createur vous donner,

    dans voz ordonnances. Priant Dieu,

    Vous à fait un depesche affin de vous fère entendre comme une

    de ceulx de la nouvele oppinion. Je vous remercie des noveles quil

    porte, à la place et au chasteau. Jay prié

    tellement que nayant icellui d'Areret voulu suivre comme je luy avoys ordonné

    lieux, à qui on nespère vie, le vray loyer de son merite ne voulant oblier de

    mande quil ne faille denvoyer incontinant et diligemment sondit vicaire in[ ?]

    redicte à votre magesté, si nest pour vous supplier très humblement, madame,

    je feroys très mal mon debvoyr si je ne vous supplioys très humblement

    mis dans un prioré, Monbrun y estoyt en personne

    me faire tant plustost envoyer icellui votre edict, ensemble les provisions et

    assemblées remettant le surplus à ce que les commis desdits

    il ny eut moyen de lempecher quil ne se sauvat, car la

    Charles

    A monseigneur le prince daulphin item.

    plus value de votre dommeyne, par quoy je [barré : tr] vous suplie très

    bien suivy, jestime, mon cousin, quil sera bien facille de reprimer les

    gardé, j’estime quil sera bien facille de reprimer les insolences qui

    particulliers quy avoient moyen de vivre

    à ung chacun que nous sommes jà soubz voz aisles et que ne devons attendre

    subrogiés ledit suppliant au lieu, droict et instance

    quelles suffirons divertir sa Saincteté de seste resolution.

    La Bache et Estoille : Vim pains VI p. vin

    seurs en ses troubles, seront estimés des folz et en fin

    leurs meysouns ; et au cas que le comissaire ne peusse

    contraindre lesdits villages chacun pour sa ratte

    prins ledit Callamand pour tiers et adjoinct avec eulx pour

    prend festes à Lyon que si aviés moyen de promptement liescrire

    trouvera bon que vous et le sieur de Montbrun deputés quelques

    et que je neusse

    Votre très humble et très hobeyssant

    De Pierrelatte, ce XXIIIIe aoust 1571

    causant quelque [barré : maladie] seignie de netz que a ma fille de La Coste, laquele

    l’accompagnay [barré : iusq] avec monsieur le cardinal d’Armaignac iusques

    de quelz quartiers puis lan 1567 vous estes en arrerage,

    comme le Turc a pris quatre gallères et quatre nefz

    et prens pour le reste des cinc cents escus lettre

    icy et des armarmes

    leur debvoir. Quant aux fromages

    foys mys le pied, il se fachera plus de lasiste

    jour de VIIbre 1571.

    legations dudit cardinal et aultres ses collègues qui

    en parfaicte santé longue et heureuse vie. De

    mandemens d’Ay et Seray souffrent et suportent cessent

    et variable.

    réduire le conseil privé à certein nombre de robe,

    leur mancquera ne foin ne avoyne, pain, vin, ne chair de moton, danrées

    advis. Lon avoyt quelque doubte que si le grand commandeur successeur du

    recepte generalle », et me prins garde dans le conseil que sur cest article,

    que la veriffication du don demandée par madame la grand de Savoye

    A Callaiz, ce XXVIIIe jour de janvier.

    les catholiques de Fribourg et Soleure quest que quand

    petitz lèvent voz actions, aussi que ne vous donnés pas grant peyne ny peur du contrayre. Je nay point

    comis des estatz de Daulphiné

    sa maistresse parce quil y a ung consellier de la court qui est

    quavions presenté ou pour le moins ung double que navons [ ??],

    les povres gens estoient menassés [barré : et] les ay supportés

    soubz lobeyssance du roy pour son service

    monseigneur, vous augmenter ses graces et vous tenyr en sa saincte guarde. De Crest,

    [121] en Piedmont et crainctz que la levée que se faict à Milan

    recommandations ; quand leur escriprés, ils recepvront sil vous plait mes

    priant le Createur vous tenir,

    garde, avec très longue et très heureuse

    santé et longue vie. De votre mayson , à Grenoble,

    sachemina à La Mure. Mays le cappitaine Curebource

    discourir de ce qui pourra succeder entrecy et avoyr

    Votre très humble et très obeyssant

    hors [barré : desi] lons se promet les necociations ???

    monseigneur, vous avoyr en sa garde. De

    monseigneur, vous avoyr en sa garde. De

    de vivres et de toutes choses que est audit Daulphiné

    aussi des moiens que je lui pus donner qui ne lui faudront poinct,

    novembre dernier advant que jeusse des nouvelles de

    Serviteur à vous faire

    à icelles. Elle a gardé sept jours la

    me batie tant de vos biens que je suys

    il men ont fayct

    de retour. Jehan de Vaulx, ung des archers qui a gardé cinq jours

    ce XIIIIe jour de febvrier 1574.

    à jamays. Jehan de brunel

    les peult guarder de guières entreprandre sur eus ny sus leur circonvoysins, comme jespère faire par

    a du tout requis actes à moy Predut,

    contrainct y demeurer, atendant votre bon plaisir que

    Votre très humble et obeissant

    du roy, et presque midy quil navoit aucung resantiment.

    dire, à leur servisse, nayant soubs votre pouvoir

    à lhivert de pardeça et bien rigoureux. Ma dite dame

    perdu mille escus. Et actandant vostre comandement,

    le sest oblié. Pour le moins, ne la je receu.

    nera, car nest

    monsegneur, quil vous donne en santé longue et très heureuse

    ci ce peult garder ; qui cera tout ce que je vous dyrey

    de la frontière fussent renforcées, ne qu’il y eust aucunes garnisons de

    Pour ne nous laisser surprendre, faictes que ayons

    mieux et moing prisonière, que la royne d’Angleterre luy promet des montagnes

    Ilz disent encor qu’il y a ung très mauvais menage

    parti pour aller en Lorraine à cest effect.

    Je supplie les bonnes grâces de madame et de messieurs d’Evènes et de Laval, de recevoyr mes très humbles recommandations.

    luy.

    plus longue, je la finiray par mes très humbles

    d’Ourche vous yra trouver, de quoy elle a bonne

    ledit seigneur marquis. L’armée des Vénitiens est à Corfou attendant Don Jehan d’Austria

    encaure ceste, conbien que je croit que la savez, que le Gua

    dudit Bonaventure à Grenoble et luy dist en pleine rue que s’il eust

    à de montaignars.

    envoyé du Daulphiné. Hyer ilz le vindrent trouver

    d’icelluy je le vous envoieray et en feray

    promesse de vous faire paroistre leur bonne volonté, la

    que dans la cour de parlement. Monsieur, si vous

    aulx soldatz, il y en ha tant icy ou aulx environs que je ne cuyde pas, s’il

    advisé que je nen lestime en avoir besoing. Il na besoing

    Cest de monsieur de La Trimoule].

    faict malvays donner liberté à foulz et enfens

    si je le trouve enquores à la court, je luy diray

    de ceulx de la religion, comme elle a esté accordée

    falir de mon costé de ce que je pourray,

    de sufizantes informations pour mener ledit Guascon

    Sy cela est, l’on ne fera rien de cest iver.

    affectionné serviteur

    raisons ny argumentz bons et probables, sinon pour la partie

    Je ne doubte pas que lons ne tache de saider de

    de Chapponay

    [183] à la St Michel dernier. De ceulx de La Cailhe,

    nepveu en ceste ville, me samble n’en seroit que bon ;

    commandements avant que partir.

    de Dieu l’issue vous sera aussi honorable et advantageuse que le

    le tout passe. Je vous supplie très humblement

    ladite religion de telle façon et qu’ilz ayent leurs chefz, leurs

    De mon voyage de Lyon jay à faire à femmes,

    graces soit bonnes. Et ma fille ma escript quelle ha de

    Votre très humble

    pour sa retrete et non suspectes, mesmes

    envoié dune comtesse d’Alemagne à quy si devant

    p[barré : our]ar moy. Je nay rien moins an opinion que de

    Anthoine Collonne feist mettre en batailhe son armée,

    Votre très humble allié et serviteur

    m’a dit que pour certain on la tint vraye à Rome plus de quatre

    Votre très humble et obeissant

    afesionné serviteur

    votre plus affetioné

    vat du per avec monsieur de Saincte-Foy qu’est estimé le plus grant teologien et le plus digne precheur

    descouvrirent au-dessoubz de votre garde robbe nefve sept hommes,

    porteray son proces à Grenoble à messieurs les gentz du roy,

    et puysque les choses alloint ainsi, qu’il seroit peut-estre

    semble seroyt propisse pour regarder sur toutz voz affaires, et que je

    tenir tousjours au nombre de voz tres humbles et tres obeyssans serviteurs, qui

    de soldatz, le nombre des cathollizés ou à catholizer est de

    que l’an dire gare. S’il est aynsi qu’il soyt retiré de rechef

    St Andre et mondit fils prendront en ceste se leur plaist

    mains ung mois que s’il l’atandoit ung jour. J’ay

    m’asseure que vous y employerés de telle volonté que je suys

    païs de vous envoyer cest home exprès.

    de prier Dieu pour votre prosperité, comme faiz

    comme ilz font. Ilz y preschent d’ordinaire en sept

    parolles, combien qu’il le nye à présent comme dict est, dequoy je ne

    travalhe le plus. Si les ungns et les autres

    pas plaisir. Jespère quil le [barré crien] prendront mieulx de moy que dung

    faire paié della et m’ayant samblé que l’estoit autant

    heureuse vie. De Paris, ce XXIIIe novembre 1572.

    De Simienne

    [v] de . Par deça l’on m’a dict que monsieur de Sault

    faire le mauvais et s’excusoit fort des articles

    Voz très humbles et très obéyssantz serviteurs

    bone grâce, je prie le Créateur qu’il vous done,

    havoyt de feu monsieur le comte. Je vous prye me faire entendre

    deuxieme décembre 1572.

    maulvais temps l’aura arresté en quelque lieu,

    en celle despense. J’ay parlé à mondit seigneur de Nevers

    Je panse ne me ferés se tort de

    les ai préveu et vois ordinèrement, mais pour cella,

    vous et plusieurz mes proches parans ne soyés grandemant

    grand moien de s’i acheminer, toutefois l’ons parle

    ceste volunté qu’il a de retorner de par deça et de

    Votre bien humble et affectionné

    Veu toutes lectres de ces comptes qui monte plus de deux cens trante mil

    Je n’escripray rien pour cest heure à monsieur de La Roche,

    de le nouvele oppinion pour prendre ajuration de luy et se catholiser et

    Le passaige desdits Corsses.

    lettres à la court que de leur parler, prier et protester

    anvyron cent soixante livres, y conprenant la contre souche

    toiles ne chargassent ledit Chélègue. Je ne suis

    chambre. Le sieur de Mauvissière est de retour d’Angleterre

    seront asseurés de la résolution des secours estrangers et qu’ils

    touttesfois, vous luy en pourrés aussi escrire car peut-estre

    et seray bien marri si n’en puis avoir le moien pour luy

    bien le loysir de my randre à temps et à heure. Nayant aultre chose pour astheure ?

    Argond. Et surce, attendant vos commandements,

    monseigneur, vous donner très longue et heureuse vie.

    quarante et cinquante et après qu’il[s] ont faict

    Il est vray monseigneur quy depuis troys jours j’ay receu

    Vostre mère

    se seroit le meilleur. Qui est tout ce que je vous peux mander

    passee à Enconne. Je masseure quilz auront ce joudhuy gaigné Avignon.

    Votre bien humble et affectionné

    esperer briefve issue de ce siège quoy qu’il nous couste.

    Nieul près la Rochelle, ce XXI febvrier.

    siège où nous ne recepvons point enquores

    pour, sil vous plaist, comander quon rende ung pacquet à monsieur

    fournir despuis mon partement cent livres de la pancion

    Jay adverty les chevaulx legiers du seigneur

    vous plaira me honnorer de voz commandementz, daussi

    qui ne sont encores catolisés le[s]quelz

    d’Angleterre et d’Allemagne de mesmes que on la entendu dallieurs.

    advertir votre seigneurie. Ceulx qui sont catholizés

    des Adrés sep decleré pour eux

    ne scauroit faire avec [barré : plusieurs] beaucoup plus grand nombre.

    monsieur La Roche, lequel desire comme il m’escript

    puis que on ne peut de moins patience, comme vous dictes, [nisi domus]. Pour le regard du

    les postes on mette dessus l’heure de la reception on pourra cognoystre

    tousiours plus obligez à vous fere très humble service

    estremement

    puys que je n’ay aulcung comandement de vous [mots barrés] et aussy que la

    du XVIe du passé. Je ne scay quelle response vous

    monsieur de Gordes en bonne santé, longue et heureuse vie. Du camp de

    monseigneur vous donner en très bonne sancté et longue vie, accomplissement

    compagnie descend là bas devers mondit seigneur le mareschal sil vous plairra

    vous a pleu me fayre part. Estant asseuré que de celes du Langue

    monsieur le viccayre sans quil en face poinct

    une des quatre compagnies qui est allée en Languedoc; et sestant presenté occasion

    [64 v°] remercier très humblement votre magesté de leconomat

    et fondé comme il fault. Quand l’estat de mes affaires de dela et loccasion

    faire consideration au contenu dicelle et my vouloir ayder et souvent sellon

    [barré : reschal de Dampville, il sen ala dans Privas cheux son beau père]

    avecques IIIc chevaulx // [marge gauche : // bons ou mauvays] et bien Vc harquebusiers, où je

    moyen pour la monstre de la compagnie de monsieur de Nemours et la mienne,

    estatz escriront et produiront plus à plain par devers leurs

    nuit, lyssue du chasteau et la haulteur des bledz et le païs

    De neufville secretaire

    humblement y vouloyr pourveoyr [barré : à la]. Je vous envoye

    insolences qui règnent, parquoy je vous prie sur tout que desirez me

    règnent. Par quoy je vous prye, sur tout que desirez me contenter, de les faire

    à tel estat que sans la vante de

    commandemens dautre que de vous. Mondit sieur le conte faict bien tout ce quil peut

    dudit feu Guilhaume de Chaste tant que besoing

    Et affin de pourveoyr à se que sera de besoing, tant en ledite ville d’Avignon

    Marche et Fienssaye : VIm pains VI p. v.

    massacrés silz se trovent en lieu au quel Dieu ny

    venir, quil vous playse me fère antandre si je puis fère

    de nous fornir de bledz et [barré : aude] aultres

    le deffault et reffus faict par André Alanson, dudit lieu, disens

    et fère entendre come je suis encores dobtenir ayant esteés ces lettres

    personnages pour faire ce reiglement sans vous conformer aux expeditions

    jamays creu de

    à vous faire service

    Votre très humble et hobeissant serviteur

    lon doubte estre grosse et ne la ausé mettre en chemin ny la laisser.

    à Beaucayre. Maintenant je suis de retour en ce lyeu, Dieu mercy,

    Monsieur, vous ne trouverés sil vous plait mauvais que

    mais voz lettres sont en Daulphiné où, partant de Paris au

    chargées de souldartz et de munitions quy prenoict la route

    de change pour Naples, parce que lon ne peut

    quil fauldra davantage, je nachepterey

    la piece.

    Votre très humble et très hobeissant serviteur

    devoyent aller [barré : aux] à daultres princes estoyent pour

    Grenoble, ce XXVIIIe jour de septembre

    et les soldatz qui sont à leurs maisons en deslogent

    Il semble que lon crainct quelque nouvelle elevation et troubles ès provinces de

    lons vouloyt quil prestat seiement et y entrat [p..]

    que sont encores icy à honneste pris sellon lannée ; daultres

    duc d’Alve eust peu accorder avec le prince d’Aurenge, on eust peu faire verser

    monsieur levesque de Paris sémeut aucunement comme ne le trouvant

    estoit sus le bureau, et à larrivée de monsieur le president de Portes,

    Votre très humble et obéissant serviteur

    ilz iront audit Genève pour le faict de laliance, ilz y

    receu la lettre que monsieur d’Evènes dit mavoyr escrit du XVIIIe du passé. Jay veu la responce du sieur de

    Bourgel

    logé où estoyt monsieur de Marcieu et la damoyselle

    dautant que monsieur de Sauve a esté absent [s ??]

    jusques à present. Mais la petite prinse quavons

    et votre, avec deliberation de nespargner

    ce Ve febvrier 1574.

    pour aller en Flandres ne nous en face escanter

    excuses.

    monsieur, en très bonne santé, très longue et très heureuse vye. De

    vie. De Gap, ce VIIIe febvrier.

    se huitiesme febvrier.

    [149] estoyt jà dedans par le moien dudit Achard et dung

    responce de vous qui me faict supplier le Createur

    serviteur

    plus desés, mais y arrivant et voyant le cours et

    Grane, ce Xe de fevrier 1574.

    Grane, ce Xe de fevrier 1574.

    sur tout es endroicts où il les eust fallu

    Dieu aidant, mais aussi esse tout ce que je puis faire. Il vous dira

    la retrancher à cent hommes, sil vous pleisoit comander à

    Très humble service

    fiebvre continue despuis remise à double

    du tout à vos depans an sette vile.

    bon sens [sans] les en

    [219] Ce jourdhuy, Bonvert ma monstré une lettre que vous luy escripvés

    lesdits prisonniers, m’a monstré ung decharge qu’il a dudit Labarre de

    Votre très humble et très obeyssant serviteur

    ce moyen de nos soldatz pour le conte d’Alleyrac et entredemmont ou ceus de Dieulefit et Poyet de Laval sest entendent ourdinayrement. May si leurs cavallerye vient du cousté de Taulignan ou de Dieulefit,

    notaire pour sen servir en temps et

    jen suyvrey.

    serviteur De Malloc

    Labé de Gadagne part dans deux jours pour Pologne.

    pièce ni poudre pour ataquer ung coulombier ! Je me

    la comtesse me prie vous beiser de sa part humblement

    je finerey ma letre par mes très humbles et affectionées

    pas reysonnable

    vie. De Guilhestre, ce XXVe febvrier 1574.

    pour asteure, vous beysent les meyns très humblement,

    à votre bonne grace, nous prions Dieu,

    comme aussy vous ferés de ses braveurs de parole si vous les avés

    Monseigneur, vous donner en très bonne santé longue et heureuse

    car, de croyre chascung en cela vous scavés que cest. Je ne

    vie. De Grenoble, ce dernier septembre mil Vc LXXII.

    scay pour quoy La Roche ne se retire, car il voyt assés quon

    Voz très humbles et obeissans serviteurs,

    ne demande rien à ceulx qui vivent en leur mayson, observant

    les commis des estatz de Daulphiné

    la declaration et ordonnance de sa magesté ; quant à vous descharger

    Bourgel

    de despence, je nentens poynt que vous en fassiés aucune si

    cest pour le lard et la pouldre que vous y avés mis. Je vous

    Messieurs,

    prie len retirer, car le ne puis entendre à qui telle mu-

    j’espère aussy fère

    nition doyt servir, veu que le soldat ayant [barré : neuf] douze livres

    de sorte qu’aucune

    [v°] se doyt norrir et tenir munitionnaire. Si vous y alés tous les

    chose ne me sera

    jours, je nentens pas pourtant que vous entriés en despence